Une visite qui tourne cours? (PV Samuel )

Félicia était venu tôt dans le quartier industriel, extremement tôt. A trés grande vitesse sur sa moto, elle jurais dans sa langue natal envers les types à qui elle avait commandée son marbre. Elle faillit même rentrer dans une voiture, mais elle s'en moquait. Elle était tellement énervée qu'elle ne pensée qu'à une chose, collait son poing dans le nez du type qu'elle avait eu au téléphone. D'ailleur, elle arrivait au entrepot de marbres, et elle put voir deux gars filait à l'anglaise. Elle était plutôt connu chez les vendeurs pour son exigence sur la qualité du marbre. Hors celui qu'elle avait reçu était plus que poreux, c'était une vrai passoire. Comment voulez vous conservait des corps, avec une merde pareille. Arrivant au comptoir, elle vit un type qu'elle n'avait encore jamais vu, un gars gras comme un porc et avec le nez qui allait avec. Un nouveau.

Vous voulez?

Je viens pour la commande de marbre que j'ai reçu hier. Ce n'est pas du marbre que j'ai reçu, mais des éponges. Qui c'est occuper des commandes la semaine derniére?

Moi, m'dame et suis fier de ma premiére commande, alors dite pas que l'marbre était poreux.

Jurant, la fossoyeuse sortit un morceau de marbre de la commande de la veille et vit la tête du type palir. Sois il avait devinait ces pensées, c'est à dire la forte envie de le lui mettre en pleine tête, soit il avait compris qu'il avait commis une bourde.

Ca, vous voyez, c'est la merde que vous avez commander pour les tombes du cimetiére. Hors, les gens qui viennent au cimetiére, viennent pour respirer un air frais lorsqu'il rendent visite à leurs défunt. COMMENT VOULEZ VOUS QU'ILS PUISSENT RESPIRER EN PAIX, SI LE CIMETIERE PUE LA CHAROGNARD, A CAUSE DE CADAVRES EN PUTREFACTION POUR CAUSE DE MARBRE POREUX ? ALORS, VOUS ALLEZ REPRENDRE CETTE FOUTU COMMANDE ET M'ECHANGER CA CONTRE DU MARBRE, DU BON MARBRE. Compris?

Effrayait, le type filas en quatriéme vitesse, sans demandait son reste. Félicia soupiras un grand coup. Bon sang, qu'est ce que ça faisait du bien de crier un bon coup. Baillant un grand coup, elle se rendis compte qu'avec tout ça, elle n'avait pas pris le temps de boir son café. Sortant rapidement, elle allas au café des ouvrier et squattas une table, pour commander son café.

Je me dirigeais assez tôt vers un endroit qui m'était encore inconnu. J'allais me promener, prendre l'air. Probablement m'arrêter dans un café pour déjeuner, et plus tard, pour manger. Dans la soirée, j'irai probablement à l'extérieur de la ville. J'étais donc près du centre ville, quand une malade passa en trombe sur sa moto, et passa à quelques pouces de foncé dans ma voiture. Plutôt inquiet que surpris, je décidai de changer de direction et de suivre la motocyclette. Cette dernière s'arrêta dans le quartier industriel, au côté des entrepôts de marbre.

J'attendis quelques minutes, pour voir si elle aller sortir ou bien rester là. Effectivement après quelques temps, la conductrice de la moto sortit de l'immeuble, et se dirigea vers le café des ouvriers. Je pris encore quelques minutes, puis je décidai d'entrer moi aussi. J'en profiterais pour manger un morceaux.

En entrant, je localisai la femme, puis je me rendit au comptoir.

- Je vais prendre le combo numéro 3 s'il vous plait. Je serai assis là-bas.

Je suis ensuite aller vers la table où était la raison de ma présence ici. Affichant un magnifique sourire charmeur, je dis :

- Vous me permettez que je m'assieds?

Félicia manquas de posait ces pieds sur la table et de s’étalait sur sa chaise, comme lorsqu’elle était chez elle, mais se rappelant où elle était, elle se contentas de croisait les jambes et de se massaient les tempes, en attendant que son café arrive. Mais au lieu de ça, c’est un bol de café et une bonne grosse assiette d’œufs et de bacon qui arriva. Félicia regardas la serveuse et soupiras. Elle connaissait cette petite depuis qu’elle était arrivée, il y a dix ans. Sa première cliente, qui avait enterrée sa mère et qui avait passait le plus clair de son temps devant sa tombe. Un jour, la fossoyeuse en avait eu marre et l’avait virer du cimetière à coup de pied au fesses, en lui disant qu’elle était jeune, qu’elle avait une vie à prendre en main, et que sa mère n’aimerait pas qu’elle restait plantait là a rien faire. Elle «était revenu juste une fois, pour la remercier et lui donnait l’adresse où elle bossait. Depuis, elle venait là à chaque fois qu’elle venait râler, ou commander du marbre.

J’ai commandée qu’un café, et une tasse, pas un bol.

Peut être, mais te connaissant, tu n’a pas du avaler grand-chose avant de venir.

Les deux femmes commençaient à se chamailler, lorsqu’un drôle de type lui demanda avec un sourire charmeur s’il pouvait venir s’asseoir à ces côtés. Faisant un simple signe de tête pour lui montrait qu’elle était d’accord, la jeune femme s’apprêtas à répondre à la serveuse, mais celle-ci avait déjà filait, faisant un clin d’œil complice à la fossoyeuse. Rhaaa cette gamine, j’vous jure. Plantant sa fourchette dans une tranche de bacon, la fossoyeuse regardas enfin l’inconnu, qui n’était pas mal à première vu.

Que puis-je pour vous ?

Alors que j'arrivais à la table, la femme était en plein débat avec une serveuse. S'en était presque embarrassant d'arriver à un tel moment. Cependant, alors que j'étais là, la serveuse s'éclipsa et la dame me fit signe que je pouvais bien m'asseoir. Je pris donc place devant elle. En entamant son repas, elle me demanda ce qu'elle pouvait pour moi. C'était simple, elle avait faillit se tuer en fonçant dans ma voiture.

- Pour être directe, je suis le conducteur de la voiture que vous avez faillit percuter plus tôt ce matin. Je me demandais pourquoi vous étiez si pressé et pourquoi vous aviez ainsi mis votre vie en danger.

Mon déjeuner arriva avant qu'elle ne réponde. Deux œufs, quatre tranche de pain grillé des patates rôties et deux saucisses bien chaudes, le tout accompagné d'un verre de jus d'orange. Je n'avais jamais aimé le café. Puis, soudainement, une odeur particulière parvint à mes narines. À travers les vapeurs délicieuse qui émanait de la nourriture, je puis reconnaitre l'odeur d'un autres Werewolf... un Werewolf qui m'était inconnu. La journée n'allait peut-être pas être aussi banale que je l'aurais cru.

Félicia manquas de s’étouffer lorsque l’homme révéla qu’il était le propriétaire de la voiture dans laquelle elle avait manquait de s’encastrer. Elle avait été tellement furieuse après avoir reçu cette commande de marbre, qu’elle avait complètement oublier la façon dont elle conduisait. Rougissant à cause de son absence de self contrôle sur le moment, et aussi parce qu’elle avait manquait de s’étouffer, la fossoyeuse de massas la nuque, gênait, et reposas sa fourchette avant de dire :

Excusez moi, lorsque je suis énervée, j’ai du mal à garder mon sang froid, et j’avoue que je n’ai pas vraiment fait attention à la façon dont j’ai conduit.

Elle n’allait quand même pas lui dire de suite qu’elle était fossoyeuse et qu’elle c’était énervée parce qu’elle avait reçu une commande avec une qualité de marbre pourrie. Maintenant qu’elle y pensait, c’était une raison assez ridicule. Ravalant une bonne rasade de café, la louve blanche soupira et se frottas de nouveau la nuque.

Je vous ai pas fait trop de frayeur au moins ?

Elle me dit qu'elle eut une passe de frustration. C'était compréhensible en ce cas. Moi même si on allait au delà de ma limite, je pouvais être très violent. Elle devait se sentir mal, car ses joue avaient virées au rose. Soit parce qu'elle s'était étouffé, ou alors pour une tout autre raison. Puis, elle sembla s'inquiéter pour moi. Sa question relevait du fait de si j'avais eu pas, ou non.

La peur. Ce mot me fit repenser aux différentes Guerre dans lesquelles j'avais combattu, à la frayeur que j'avais ressenti alors. Rien n'était comparable aussi, à la frayeur que j'avais ressenti lorsque je l'avais tuer Elle...

- Ne vous en faites pas pour moi. J'ai connu bien pis croyez moi.

Puis, afin de changer de sujet, je me dis qu'il fallait bien commencer une bonne conversation. Après une bonne bouché, je lui posai une question toute bête.

- Vous faites quoi dans la vie? Si ce n'est pas trop indiscret.

La fossoyeuse se détendit en écoutant son interlocuteur lui dire qu’il avait connu pire qu’une chauffarde dans son genre. Souriant, elle fini d’avaler son café, contente qu’il ne lui en voulait pas spécialement. Puis il lui posa la fameuse question. Quel était son métier. Soupirant, la jeune femme reposas son bol et regardas son interlocuteur.

Je suis la fossoyeuse du cimetière SilverWolf. Je m’occupe des enterrements, de l’entretien du cimetière et d’autres petites choses, comme taillait le marbre qui composera les tombes des défunts. Mine de rien, c’est un travail assez artistique. Et vous, que faites vous dans la vie.

La louve blanche garda une expression des plus neutres, regardant l’homme qui lui faisait face. Il dégageait la même odeur qu’elle, celle des werewolfs, mais en même temps, il ressortait de lui une aura d’ancienneté. S’il était vraiment un werewolf, il devait certainement l’être depuis plus longtemps qu’elle. Donc, elle avait intérêt à rester assez méfiante ou du moins, tentait d’éviter de se faire repérait.

J'avais poser une question sans réfléchir à l'après coup. Je n'avais pas pensé au fait qu'elle me renverrait très probablement l'interrogation. Elle me demandait donc, ce que je faisais dans la vie. Voyons voir... J'avais été fermier, coureur des bois, draveurs, milicien et soldats. Cependant, je n'étais pas encore retourner travailler depuis la fin de la seconde guerre. Qu'est-ce que je pourrais bien lui dire? Que j'avais plus de trois cent ans? Que j'ai un vétéran de la seconde guerre? C'était insensé. Je devait trouver une raison pour mon argent, sans que ça montre vraiment que j'étais...vieux.

- Je...euh...je suis dans un entre deux. Depuis que j'ai terminé mon service militaire, je n'ai pas encore vraiment cherché un autre travail.

J'espère que ça allait apaiser sa curiosité, si c'était bien cela. Puis il me revint cette odeur de Werewolf. Je devais identifier cette personne. Il était cependant mal aisé, avec l'odeur de café et de déjeuner. Je devais pourtant l'avoir sous le nez. Le gros poilu là-bas? Non, trop gras. Le petit dans le coin là? Non, bien trop chétif. Si ce n'était pas un travailleur...ce devait être...

Félicia finit rapidement son assiette, ne laissant aucune trace de bacon ou d’œufs dans son assiette. On aurait dit qu’elle sortait du lave vaisselle. Enfin bref, l’homme lui dit qu’il avait fini son service militaire et qu’il était en train de recherchait du travail. Malheureusement pour lui, elle n’embauchait personne au cimetière, à cause de ces crises, et surtout qu’elle se débrouillait bien toute seule. Remarquant qu’il semblait chercher quelque chose ou quelqu’un, la jeune femme en profitas pour observait l’entrepôt de marbre qui semblait s’activer suite à son engueulade. Tant mieux. Reportant son attention sur l’homme, elle le vit reniflait les odeurs alentour, comme s’il cherchait quelque chose de précis.

Vous cherchez quelqu’un ?

Les jambes croisées, la tête appuyait sur le dos de ces mains, la louve blanche souriait tranquillement, totalement repus après se petit déjeuner copieux. Penchant la tête sur le côté pour mieux l’observait, elle reniflas à son tour les odeurs, et sentit l’odeur du werewolf, et compris enfin ce que cet homme, ou autre werewolf recherchait.

Oui, c'était presque sûr maintenant, c'était de elle qu'émanait cette odeur de loup... Pas étonnant qu'elle n'ai pas peur de la mort. À sa question je ne pu m'empêcher de tout de même trouver quelque chose d'autre à dire. Ce serait probablement indiscret... Ou peut-être pas. Il était vrai, avant, que c'était particulièrement dangereux de dévoiler sa vrai identité. Mais maintenant c'était un peu moins grave, voir même pas du tout. Certains pouvait ne pas le supporter, mais d'autres pouvait en venir au sang. Quel différence, ce ne sont pas des mortels qui me ferait perdre la vie...pas après ce que j'ai vécu.

- En fait, j'eus cru reconnaitre un certain type d'odeur. Passant dans ma mémoire les odeurs du sirop d'érable, de l'épinette et d'autres chose, j'en suis venu à la conclusion que ce que j'avais en fait senti, c'était l'odeur d'un semblable...ou plutôt d'une, semblable...

Je déposai ensuite mes yeux sur mon assiette, où il restais bien trop de nourriture. Avalant une saucisse en trois morceaux, puis en prenant une gorgée de jus d'orange, dans un calme assez serein, je pris la peine d'avaler avant de prendre à nouveau la parole.

- Je vais être plus franc avec vous... Je suis Samuel Beaucourt, fils de François Beaucourt. Mon service militaires s'est en fait terminer en 1946...

Je me levai ensuite, tendant une main vieille. Vieille mais en santé et ferme. Je tendais aussi une oreille attentive, pour être sûr que personne ne m'avait entendu. De plus, je guettait la réaction de la Fossoyeuse. Peut-être connaissait-elle mon père...

Le fossoyeuse restas tranquillement à sa place, apparemment, il venait de comprendre que le werewolf qu’il cherchait était une werewolf et que c’était d’elle qu’il s’agissait. Personnellement, elle, elle s’en moquait royalement. Ce n’était pas un werewolf de plus ou de moins qui allait lui causer des problèmes pour le boulot. Au pire, elle devra juste creuser des tombes en plus. L’inconnu lui avouas finalement se qu’elle savait déjà, qu’il cherchait une odeur familière, la sienne. Le laissant calmait sa faim, elle regardas l’heure à sa vieille montre à gousset. Décidément, cette fossoyeuse sortait de l’ordinaire. Pour certain, elle pouvait paraître effrayante, mais pour d’autre, elle paraissait assez lunatique. Enfin, l’homme se présenta. Et certain le fils de l’Ulfric qu’elle avait rencontrait deux jours plus tôt. Là par contre, même si elle gardas son air calme, elle grommelas légèrement. A tout les coups, il allait lui demandait pourquoi elle restait en dehors d’une meute, et ainsi de suite. Remarquant finalement la main amicale que lui tendait Samuel, elle la serra, avant de parler à son tour.

J’ai croisée votre père il y a deux jours, au cimetière. Il se recueillait sur les tombes. Enfin, je suppose que vous allez me poser les questions habituels, a savoir pourquoi je suis une louve solitaire, qui refuse avec acharnement de ne pas être dans une meute, et tout se qui vas avec.

Elle avait donc croisé mon père au cimetière. Il est vrai qu'il aimait parfois s'y rendre. Et je ne savais que trop pourquoi. Elle fit ensuite des prétentions sur la personne que j'étais, croyant que j'allais lui poser plusieurs questions inutiles. Parce que j'étais le fils de l'Ulfric, elle devait se dire que j'étais comme lui. Elle devais se dire que je ferais tout pour lui plaire et que je voudrais inviter tous les Werewolf du coin à faire partie de la meute. Étiqueter les gens avant même de les avoir connu, mais surtout le dire de vive voix, c'est complètement stupide. Pourtant je ne lui en veux pas. C'est tout à fait normal de faire ça...

- Vous vous trompez sur toute la ligne. Je n'ai pas besoin de poser de telles questions. Je sais très bien que ce n'est pas donné à tous les Werewolf de vouloir être dans une meute. Moi même, un des seuls liens qui me tiens avec cette meute, c'est le sang de mon père. Outre cela, c'est le lien que j'ai forger pendant les guerres. Je suis le dernier qui vous demandera de rejoindre la meute. tous ce que je risque de vous demander, c'est de faire attention. Cet endroit reste notre territoire...et certain membre de la meute seront moins agréable que mon père et moi.

Sur ces mot, je déposai mes yeux dans mon assiette, repensant à tout ce que j'avais vécu avec mon père. La traite des fourrures, le changement d'empire...les deux guerres mondiales. On avait subis la perte de notre famille ensemble, et toutes les autres épreuves aussi...enfin jusqu'à récemment...

Félicia restas bouche bée, lorsque le dénommé Samuel lui avouas que même s’il était le fils de l’Ulfric, se ne serait certainement pas lui qui la forcerait à rentrait dans la meute, étant donnait que le seul lien qu’il lui restait avec la meute, c’était son père. Malgré tout, il l’a mit en garde, car les autres werewolfs risquaient de ne pas être aussi sympathique que lui. Souriant doucement, la fossoyeuse ne put s’empêcher de ricanait légèrement.

Qui irait sérieusement cherchait une werewolf dans un cimetière ? Avouait que c’est plutôt une bonne cachette, même si pour moi, c’est plutôt un lieu de vie… avec des voisins plutôt silencieux. Mais un lieu de vie agréable tout de même. Enfin, excusez moi pour se quiproquo gênant.

Décidément, cette fossoyeuse pouvait paraître effrayante certaine fois. Elle pouvait paraître assez lunatique, changeant d’humeur comme une pièce jetait en l’air tourne autant de fois sur elle-même. Se frottant la nuque, tout de même assez génée de l'avoir rengeant dans les mêmes rangs que son pére sans le connaître, le louve blanche fit signe à la jeune serveuse d'amener un nouveau verre de jus d'orange.

Ce n'est pas grand chose, mais c'est pour m'excuser de vous avoir mis dans le même panier que votre pére..

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