Un quotidien chamboulé... (P.v Félicia/John)

Six heure du matin... Et le soleil faisait encore son paresseux de l'autre côté de la forêt entourant le cimetière. Le bruit d'une moto, une bonne vieille Harley Davidson ronronnante, vint se taire dans le stationnement du cimetière. Son conducteur mit le pied au sol, puis sont second vint l'y joindre. Le détective privé Jonathan G Lestage n'avait pas encore fini sa journée. La veille en début soirée, un étrange client nommé Gabrièl Fitzroy vint lui offrir un contrat bien singulier. Lui dénicher une forge aux installation et à la manière ancienne pour réparer une rapière d'argent à la grande valeur. Avant de partir en quête des installations, John devait impérativement rendre visite à une amie commune, cette très chère Félicia, qui était bijoutière de profession, donc une artisane à l'art ancien chevronnée. Pour être certain de son coup, le détective privé devait discuter avec l'artisane sur les types d'outils, matériaux et d'emplacement le ai besoin pour faire la tâche telle que son client l'entend...

Il passa dont le portail de fer du cimetière sans histoire, faisant le même détour que d'habitude pour aller saluer les tombes de ses anciens camarade de guerre, tombé depuis des décennies durant. Un salut militaire soigné, quelques secondes pour un peu de dignité et il se remit en route... Mais un vacarme lointain vint alerter les oreilles du détective. Ont aurai dit un fracassement de marbre. Mais qu'est-ce que... Ah non, John avait oublier un détail... Serai-il possible que...? Inutile de poser des question, il parti en course folle en direction de l'origine du vacarme pour en avoir le coeur net...

La soirée avait bien débutée pour la belle louve blanche, elle avait fermée le cimetière assez tôt, avait pris ces narcoleptique et avait même put dormir dehors, en short et débardeur, dans son bon vieux hamac. Une bonne soirée en somme. Sauf que le réveil ne fut pas des meilleurs. Une violente douleur aux cervicales la réveillas, lui annonçant se qu'elle redoutait temps. Le retour en force de ces crises de démences. Elle avait bondit hors du hamac pour se barricader dans l'entrepôt où elle stockait son marbre, avait passée une chaîne autour de son cou et c'était à la violence dont elle ferait preuve. Mais rien ne c'était passé comme prévue. La transformation animale eu bien lieu, mais son esprit fut propulser dans un coin de son subconscient, et la part sombre qui l’habitait ressortit plus violente que jamais. L’animal brisas ces chaînes et se jetas sur le marbre comme une démente, brisant ma pierre à coups de griffe et de crocs, sans sentir la douleur, alors que Félicia, elle, la sentait. Elle ne pouvait rien faire, juste attendre que la bête se calme et retournas dans un coin de son esprit. Puis une violente douleur à la tête, puis une autre et encore une autre. Et un rugissement de démence. La fureur tentait de détruire la porte blindée, pour sortir et détruire et tuer. Priant pour que tout s’arrête, la fossoyeuse put malheureusement constatait que le pire arrivas. La porte explosas, laissant la bête sortir de sa prison, un impressionnant morceau de métal dans la patte avant droite, faisant hurler intérieurement la fossoyeuse. Soudain, elle redressa la tête, reconnaissant une odeur familière. Jonathan. Pas ça. Tout mais pas ça. La bête avait elle aussi sentit l’odeur et hurlant de satisfaction, se jetas en direction de sa proie.

Et oui, ce qui confirma sa crainte était bien là. Le fracas de la porte avait de toute évidence été créé par une force surhumaine et bestiale bien commune chez les métamorphes de tout genre... Et laquelle de ces créatures vint en ce cimetière, laquelle peut justifier autant de rage déchainée... Félicia. Malgré son regard d'acier, le détective pris note de chaque détails de la scène. Une superbe mais furieuse louve blanche de taille humaine en sorti, crocs et griffe prêt au carnage déjà commencé. Les deux se fixèrent se défigurèrent, la haine aveugle empestait l'air... Et pourtant, derrière les yeux de la louve, John cru percevoir la détresse de Félicia caché derrière, ne voulait pas de mal à son ami. Cela attristait le détective malgré sa posture de fer, mais pour redonner à Félicia son plein contrôle, il allait devoir l'affronter avec violence. À plusieurs reprise, John avait dans le passé fait bien des choses dont il n'était pas toujours fier. Blesser, tuer, dévorer... Mais cette fois et pour son amie, il s'en tiendra au stricte minimum, il pacifiera cette louve avec toute sa force s,il le faut... Quel dommage, une si belle et gracieuse louve. Il s'en voudra plus tard!

Elle le chargea, alors il prépara une réception digne et ferme, il mi un pied à l'arrière et plia les genoux pour se stabiliser et leva ses poings comme
à la boxe, il calcula chaque mouvement de Félicia, la distance, le temps et... Baaangh! pile à posté il lui envoya un solide et puissant coup de pied circulaire pour la catapulter à douze mètres plus loin. Ceci n'était qu'une parade, une précaution. Aussitôt à nouveau en équilibre sur ses deux pieds, il arracha sa veste et déboutonna son pantalon pour ne pas s'encombrer de vêtements inutile salors qu'il se transformerai. Jamais John n'affrontait de werewolf par les armes. toujours crocs contre crocs et griffes contres griffes. Il devait faire vivre, les werewolf ont un métabolisme surhumain et la louve blanche doit déjà être en train de se relever de son embrouille... à condition qu'elle le soit été, bien sur.

Totalement nu, l'homme envoya un dernier regard surchargé d'avertissement et aussi tranchant qu'une épée de ses yeux d'azur à la louve. Il marcha d'un pas calme en sa direction puis se métamorphose instantanément en un grand loup à la fourrure mi blanche de neige et noir de jais, puissamment bâtit et aux cros et griffes acérés comme des lames de rasoirs. Les fort grognement qu'il lança à la louve, plu petite que lui, était fort menaçant et plein de représailles. Le duel des loups était commencé...

La bête eu soudainement la respiration coupée lorsqu'elle reçu le coup de pied circulaire dans les côte. Propulsait plus loin, l'animal déchaînait atterrit dans les tombes, brisant plusieurs pierres tombales en même temps, lui causant une légère ouverture au dessus de l'oeil, mais rien qui ne puisse déranger la bête. Se relevant en se secouant négligemment, la créature fonças de nouveau vers sa proie, tandis qu'intérieurement, la fossoyeuse essayait tant bien que mal de reprendre le contrôle de son corps. Crocs dehors et griffes sortit l'animal ne pensait qu'au carnage qu'elle allait pouvait causer en déchiquetant son étrange proie, qui, d'être humain, était passer à la forme de loup imposant. Mais qu’importe, seule la soif de carnage intéressait la bête. Sautant sur le dos du loup, la créature lui mordit le dos, enfonçant ces crocs dans la peau de son adversaire pour que celui-ci ne fuis pas, le lacérant de coup de griffes. Félicia, elle ne pouvait que supporter le fait qu’elle attaquait inconsciemment son ami. Repliait dans son subconscient, la fossoyeuse tenter d’oublier le son et le goût du sang. Elle savait qu’il n’y avait qu’un seul moyen pour qu’elle arrête, c’était d’être mise ko.

Les avertissement n'ont servi à rien, elle était déjà en pleine charge. Sachant très bien que l'attaque était inéluctable, le loup pris l'ultime défense et se solidifia comme un roc de la tête aux pattes. Les crocs et les griffes de la louve en furie étaient certes très douloureux, mais moins dommageable que s'il n'étaient pas paré à encaisser le tout. Le loup relâchait de douloureux grognement de colère tout en s'agitant violemment, sans résultat. Il devait trouver une solution pour se libérer de son emprise, quelque chose de beaucoup plus solide qu'une fondation de cabane ou une pierre tombale... Mais bien sur! Il y a un grand rocher à une douzaine de mètre d'eux. Réunissant toute ses forces et faisant fi des souffrances, il chargea le rocher, Félicia sur son dos et, au dernier instant, sauta en se revirant sur son flanc. Félicia fût donc catapulté première dans le rocher, directement suivi de John qui en profita pour l'écraser de tout son poids avant de sauter à nouveau pour revenir quatre pattes au sol. Ne risquant pas de lui laisser d'opportunité, Il bondit à nouveau sur elle et l'écrasa de tout son poids, enfonçant griffes dans le ventre de la louve et crocs paré à la mordre au niveau de la nuque... Pourquoi autant d'acharnement à la garder envie... Car c'est son amie, il la veut bien vivante. Se sera la soumission ou rien!

La bête continuait de lacérer de coups de griffe le détective, mordant de plus belle son dos lorsque celui-ci se mit à bouger pour commencer à faire un étrange rodéo. Brusquement, le loup fonças droit sur un rocher, et au dernier moment, pivotas pour que se soit la créature qui encaisse le coup. Grognant de colère, la bête ne put qu’arrêter de mordre sa proie pour tenter d’esquiver le coup, mais en vain. Elle se prit le rocher en plein côté droit, enfonçant sous le coup le morceau de métal dans sa patte avant, faisant hurler intérieurement et extérieurement l’animal et Félicia. Sa respiration fut coupée lorsque Jonathan en profita pour la charger. La bête fut rapidement mise en position de soumission par le détective, mais retroussas les crocs de plus belle. Son adversaire ne pouvait qu’une chose dans les yeux de la créature, de la démence et une forte envie de carnage, et même si c’était assez loin, une profonde tristesse. La bête se mise à claquer brusquement des mâchoires, tentant d’atteindre le cou de Jonathan, griffant son ventre avec ces pattes avant, jusqu’à se qu’il l’a lâche. Renversant son adversaire, elle reculas, put pris de l’élan pour le renversait à terre à son tour. Malgré ça, elle boitait, et cela pourrait jouer en sa défaveur.

Le combat augmentait en intensité tout comme en acharnement. Sa charge réussi tout comme ça ruse, mais ce ne fût que de courte duré. Félicia utilisa son instant de déséquilibre à son avantage et pris John à revers, lui enfonçant ses griffes maintenant plus profondément dans les trippes et ses crocs pointus qui lui éraflaient le cou. Le loup relâcha des grognement de douleur tout en fixant Félicia dans les yeux. Le regard démentiel de Félicia croisa les yeux injecté de sang et plein de rétribution, lui jurant que lorsqu'il se libèrera, ça fera très mal!

Il devait impérativement trouver une solution pour se sortir de là et vite avant que les crocs de Félicia finisse de lui briser la nuque. Instinctivement, il posa ses deux pattes sur le ventre de la louve en furie et lui redonna la monnaie de sa pièces. Il lui laboura le ventre de ses griffes, longuement, de haut en bas, ne se gênant pas d'être méchant et avec force. Lentempement, il lui ouvrait la fourrure jusqu'au sang, souhaitant que sa tactique marche et génère assez de douleur vive chez la louve pour que cette dernière lâche prise instinctivement...

Félicia était pliée en deux à cause de la douleur, mais la bête qui avait pris sa place ne ressentait toujours que fureur. Malgré ça, le détective pouvait sentir la bête faiblir sous ces assauts. Intérieurement, la belle trembla lorsqu’elle croisa le regard injecté de sang de Jonathan, qui lui faisait une promesse, silencieuse certes, que dés qu’il pourrait se libérait, il la ferait souffrir. Effrayait, plus par elle-même que par son ami, la fossoyeuse tentas de nouveau de reprendre le contrôle, pour être une nouvelle fois expulsait plus loin dans les méandres de son esprit. Puis brusquement, la bête roulas sur le côté, griffant un peu plus le ventre de Jonathan, pour lui donnait un violent coup de tête et éjectait celui-ci à son tour contre le rocher. Le cimetière était en mauvais état, et la fossoyeuse auras du mal à le remettre en état. Secouant vivement sa tête pour éviter de faiblir, la bête hurlas sa rage et fonças de nouveau vers le détective. L’assaut final apparemment, car l’instinct animal de la créature savait qu’après, elle devrait fuir. Se jetant sur le flanc de son adversaire, la bête dévoila tout ces crocs, prêt à massacrer le loup à terre.

L'effet de sa ruse attira en bout de ligne beaucoup plus d'animosité de la part de Félicia que d'obtempération, malheureusement. Elle réussi à faire preuve d'une sérieuse poussée d'adrénaline, non seulement pour se dégager de son étreinte, mais aussi pour le projeter contre le rocher et aboutir coucher sur ses quatre pattes repliés. Les griffes de la louve qui lui écorchèrent le ventre et le torse ne l'aida pas plus, cet instant de vive douleur empêcha le loup de réagir promptement. À moitié sonné, il analysa enfin la situation avec une meilleure position. Sa propre rage semblait alimenter celle de la louve, ainsi lui lui offrait sans le savoir la clé de sa possible victoire. Il devait se réveiller, était=il un loup alpha oui ou non? Si oui, il devait prouver être tout aussi malin et rusé que fort et impitoyable... Mais oui, c'est là la clé qui changera tout! Félicia est la puissance bestiale déchainée et sans raisonnement, il devait écouter son instinct et ruser avec une d'ardenr pour remporter la victoire, le cerveau vainc le muscle... Mails il y a un hic, un que John reconnait l'importance primaire mais qui ne le laissera pas sans remords... Il allait devoir faire réellement mal à son amie et sur une base volontaire. C'est un choix cruel, mais c'était ça ou sa vie, il se détestera plus tard....

La louve chargea pour donner le coup fatal au loup... Mais le loup l'attendit de pattes ferme. au dernier moment, il roula sur le dos pour éviter les crocs de la louve de justesse et, avec une finesse foudroyante, redressa le cou pour mordre la patte blessée de la louve. s'entrainant avec elle de par sa prise ferme, il inversa les rôle et ne perdit pas une seconde pour remonter sur elle et l'écraser de tout son poids tout en saignant à blanc sa patte, la tournant, lui brisant les os, lui découpant les tissus, en faisant gicler le sang. il continua jusqu'à se que sa patte soit rendu si molle et hors d'usage avant de la relâcher et la regarder droit dans les yeux en grognant maintenant plus fort, avec beaucoup plus d'avertissement et d'hostilité. Sans sa patte, les espoir de la louve de se redresser étaient vains. Si tout marchait comme John l'avait instinctivement imaginé, le combat allait finir d'ici quelques secondes... Pourvu que sa colère se calme, il ne supporterai pas de la blesser encore gravement d'avantage...

La bête poussas un grognement de victoire en voyant son adversaire à terre et que celui-ci ne bougeait pas. Le goût du sang et de la chair lui faisait perdre la tête, au point qu’elle ne vit pas le piége que lui tendait le détective. Car celui-ci roulas au dernier moment pour esquivait son attaque, et mieux lui mordre sa patte déjà blessée. La créature fut rapidement bloquait sous le poids du mâle alpha, qui lui réduisait en charpie sa patte avant droite. La douleur fut telle que la bête fut éjectée dans son coin habituel, dans l’esprit de Félicia, jusqu’à ce qu’elle réapparaît de nouveau lors d’une prochaine crise. Félicia put en profitait pour reprendre sa place. Le corps de la louve fut pris de convulsions, et bientôt, celui-ci fut remplaçait par le corps humain de Félicia. Repliait sur elle-même, totalement nue, si ce n’est qu’elle avait toujours la chaîne autour de son cou et le morceau de métal coinçait dans son bras déchiquetait, elle pleurait de douleur en serrant son membre détruit contre elle. Douleur causait par son bras, mais aussi par le fait qu’elle avait fait ce qu’elle craignait par-dessus tout, attaquait quelqu’un dans le cimetière, chose qu’elle avait réussis à évitait jusqu’à maintenant. Elle évitait de regardait le détective en face, se contentant de rester prostrée dans cette position fœtal.

Ça avait marché... Mais à quel prix. Encore plus vite qu'il manifesta sa rage plus tôt, il la fit disparaître. En une seconde, il passa de loup furieux et vindicateur en un adorable toutou bien calin et affectueux. Il se redressa sur ses pattes pour cesser d'imposer inutilement son poids à la jolie louve et amena son museau au niveau de son bras blessé, Il saisit le morceau de métal qui transperçait le bras de Félicia dans sa gueule et en un unique geste rapide, lui en extirpa d'un seul coup, sans lui causer d'autres douleurs inutiles. Il recracha le morceau de métal rouillant par le sang et commença à lécher les plaies de Félicia, avec douceur et gentillesse. Les Werewolfs régénères naturellement à une vitesse fulgurante, mais cette attitude à lécher les plaies entre werewolf est seulement une façon instinctive pour calmer la douleur. Étant déjà loup garous tout les deux, il n'y avait aucun risque de contamination par la lycantrophie, ils l'étaient déjà totalement...

Après avoir tenté de calmé la douleur de son amie, le grand loup vint de coller à elle tout rond. Cette dernière est nues et la fraiche tombe, il ne voulait pas qu'elle prenne inutilement froid. Dégageant encore une forte chaleur sous son épaisse et soyeuse fourrure, il vint se couche rà ses côté et fit de son mieux pour la recouvrir sans l'écraser. Toutes ces attentions était une grande façon unie de demander pardon, ça se lisait en ses yeux. Les yeux bleus de John étaient redevenus brillant et chaleureux, libéré de la colère et plein de bonté...

Félicia crut vaguement sentir l’imposant loup se retirait d’au dessus d’elle et en ouvrant faiblement les yeux, elle put voir celui-ci saisir entre ces crocs le morceau de métal qui lui traversait le bras, pour mieux le lui arrachait, d’un coup sec, mais franc. Serrant les dents pour ne pas crier d’avantage, la belle laissa ces plaies être léché par Jonathan, qui tentait de se faire pardonner en lui faisant oublier sa douleur par se geste d’affections. Puis elle put sentir le grand loup se collait à elle, la protégeant du froid qui tombait, la recouvrant de sa fourrure sans lui faire de mal. Posant son front bouillant contre la fourrure du détective, la belle essaya de reprendre une respiration normale et de calmer ces larmes, mais elle n’y arrivas pas. Elle pouvait sentir certaines de ces plaies cicatrisées, mais celle à la tête lui donnait le tournis, et celle au bras lui avait fait perdre pas mal de sang, lui donnant un aspect encore plus pâle que d'habitude Ce fut après un long moment qu’elle put articuler quelques mots, la tête enfouis dans l’épaisse fourrure du mâle Alpha.

Pardon… je ne voulais pas ça….

Il fit ce qu'il avait à faire, maintenant que cette dernière était totalement calmée, elle se colla à lui et profita de bon cœur de son épaisse et chaude fourrure pour se tenir bine au chaud, ce que John appréciait. Son front était brûlant, signe que cela a dû lui demander beaucoup physiquement et qu'elle en subissait maintenant les effets secondaire. Mais malgré cette fatigue écrasante, elle trouva la force de lui demander pardon de son mignon accent russe. Sentant que la fraiche avait terminer de tomber, le grand loup se redressa et fit quelques pas sur le côté pour se re-métamorphoser en forme humaine. Changer de forme est épuisant et douloureux, mais heureusement ne prend pas de temps. À nouveau humain, Il se laissa tomber lascivement au sol à côté de Félicia et l'entoura de ses bras, la collant affectueusement. Il n'y avait aucune raison d'y avoir de gêne, les deux se connaissaient bien dans leur plus totale nudité.

- Tu n'es pas la seule a demander pardon... Je me hais d'avoir été obliger de t'infliger ça...

Il la rassura encore un moment, alors que l'ube se levait... Mais bien vite, l'auybe disparût derrière un voile de nuages gris et épais, signe que de forte spluies s'amenaient. Remarquant cela, John se redressa sur ses genous et aida Félicia à se relever lentement et doucement.

- La pluie s'en viens et ça va tomber sévère. Viens, vaux mieux rentrer chez toi et discuter de tout ça autour d'une bonne bouteille de vodka, qu'en dit-tu?

Félicia restas encore un moment contre l’épaisse fourrure du werewolf, les yeux fermés, essayant de calmer sa douleur lorsqu’elle sentit celui-ci s’écartait d’elle pour redevenir humain, et mieux se laisser tomber à ces côtés, l’entourant de ces bras, dans lesquels la fossoyeuse enfouis sa tête. Ne se souciant pas du tout de leurs nudités respective, qu’elle avait déjà le temps d’apprécier pleinement, la belle essayas de se concentrait sur cet élan d’affection pour oublier la douleur qui émanait de son bras alors que celui-ci essayait de guérir. Elle put vaguement entendre Jonathan dire qu’il se haïssait pour lui avoir fais subir ça. Secouant doucement la tête : la fossoyeuse lui dit :

Tu n’a pas à te haïr… si tu ne l’avait pas fait, je t’aurai sans doute tuer, et ça… je me le serais jamais pardonner…

Les deux werewolfs restèrent dans la même position pendant un long moment, jusqu’à se que l’aube pointe le bout de son nez, pour mieux se cachait derrière les nuages de pluies. Jonathan se mit alors à genoux et l’aidas à se redressait, chose qu’elle fit, non sans grincer de douleur. Elle avait l’impression d’avoir un marteau piqueur dans la tête. Lorsqu’il lui proposas de rentrez chez elle pour ne pas se prendre la pluie et qu’en même temps, ils pourraient boire un peu de vodka, la belle ne put s’empêcher de sourire.

D’accord pour rentrait, mais pas de vodka se matin.

Boitillante, son bras valide s’appuyant sur l’épaule de Jonathan, la fossoyeuse retournas chez elle, assez lentement mais sûrement. Arrivait chez elle, elle s’écroulas sur son lit au matelas dur, et s’enroulas dans les couvertures pour se réchauffer, tout en tendant une au détective.

- J'ai vue la mort de face trop souvent pour me laisser intimidé par elle. C'était un combat à forces égales. Au pire, nous serions tous deux k.o à l'heure qu'il est.

Un commentaire orgueilleux et quelque peu belliqueux, mais les werewolfs ont pour défauts commun de se sur-estimer par moment, surtout ceux qui ont vu les siècles s'écrouler. Il l'aida à se relever car cette dernière avait encore être endolorie et sous le choc du combat, donc son équilibre n'était p-e pas encore totalement rétablie malgré leur régénération surnaturelle. Ont peut dire que quand deux werewolfs s'affronte, le terme ''choc des titans'' prend vie. Il lu servi de béquille en passant le gracieux bras de la fossoyeuse autour de sa puissante nuque masculine autour de sa nuque et il la soutint pour la transporter avec sécurité jusqu'à sa cabane.

Il la déposa sur son lit en lui faisant signe qu'il reviendrai sous-peu. Il couru malgré la pluie commençante aller ramasser leurs vêtements et trouve rune porte d'alternative à la réserve de marbre, soit une table nue installée verticalement pour bloquer l'accès. Cela fait, il revint à l'intérieur à la course ca rla pluie commençait à tomber de plus en plus fort. Heureusement pour lui, il rentra pile au moment ou le plus fort de la pluie tomba. Son corps humide et luisant, il referma la porte et se secoua un peu, d'une façon quelque peu... canine...

- Ça va mieux?

Félicia laissas Jonathan s’expliquais, puis elle le laissas partir, sûrement pour aller chercher ces habits avant que ceux-ci ne soit trop humide. Mais vu la pluie qui s’abattait, elle se doutait bien que malgré tout, ces habits seront mouillés d’une manière ou d’une autre. Attrapant sa pelle pour s’en servir comme d’une canne, ma fossoyeuse boitas jusqu’à son vieux poêle et mit quelques bûches dans le feu pour pouvoir réchauffer les habits du détective, ces habits à elle étant en morceaux dans la remise de marbre saccagée. Puis elle regarda son logis en se laissant doucement tomber contre le vieux poêle qui la réchauffa. Un logis de l’ancien temps. Il n’y avait rien de moderne dans cette petite cabane. Même pas une prise électrique. Des fois, elle avait envie de changer tout cela. Puis elle se disait qu’elle était bien dans se vieux logis qui lui rappelait son enfance rassurante.

Fermant les yeux deux secondes, la belle se rappela la dernière phrase de son mentor. « Vis dans le présent bon sang. A force de vivre dans le passé, tu vas devenir folle. Je suis sur que croquer la vie à pleines dents t’irais mieux. » . Dire que celui-ci était parti pour lui trouver un remède. Tssss, à tout les coups, il c’était arrêter pour traîner avec des filles de joies et avait oublier se qu’il cherchait. Grommelant, elle se relevas et retournas s’asseoir clopin clopant sur son lit et se roula en boule sur celui-ci, avant de regarder deux vieilles photos, l’une étant l’unique souvenir de sa famille, l’autre, celle de son pervers de mentor. Perdu dans ces pensées, elle se rendit compte de la présence de Jonathan que lorsque celui-ci entras en claquant la porte derrière lui, s’ébrouant tel un vrai loup, ces vêtements mouillés à la main. Y avait pas a dire, mouillait par l’eau ou la sueur, son corps était magnifique. Lui lançant finalement une serviette, la louve sourit et lui dit :

Mon poêle est allumé, vas donc étendre tes habits là bas pour qu’ils se réchauffent. Et essuie toi, tu vas tomber malade.

Ce n'était pas à John de se questionner de la décoration rudimentaire du coin, malgré que le câble et le téléphone serai super ici. Mais après tout, il avait l'habitude de ces recoins isolés mais accueillant. Il venait de très loin au nord de l'Angleterre après tout, dans une maison de ferme forestière à une heure à pied du village le plus proche. Même si cet endroit avait les apparences typiquement slave, l'ambiance lui était instinctivement familière. Alors que Félicia lui lança la serviette, il l'attapa avec adresse et la remercia avant de se secouer frénétiquement la tête et les cheveux dedans, une fois encore de façon faisant sembler à un chien sortant de son bain. Il passa la serviette sur l'ensemble de son corps, se séchant rapidement. Ce spectacle devait être au grand plaisir de l'audacieuse fossoyeuse qui devait sûrement le dévorer du regard. Malgré une légère point d'amusement dans tout ce revirement de situation, John resta bien sérieux. Il n'y aura rien de poussé car officiellement, il est actuellement en affaire. une fois sec, il mit tout ses vêtement près du poêle au feu bien vivant en son sein et se rapprocha du lit de Félicia, tout ça sans aucune gêne de sa totale nudité.

- Merci pour l'acceuil... Mais tu me permet?

Il prit une couverture chaude et épaisse dns l'étagère près de son lit et l'ouvrit bien grande avant de venir s'asseoir à côté d'elle, les enveloppant tout eux dans la couverture. Leur deux chaleur corporelle unie recouverte par la couverture ainsi que la chaleur du feu gagnant de plus en plus la pièce... Et sans oublier qu'il est très difficile de donner un rhume à un Werewolf, déjà à la santé surnaturellement amélioré. Le mentor de Félicia ne luia sûrement pas appris... Mais pour sa part, John venait d'être témoins jusqu'à quel point Félicia peut être dangereuse si ce problème n'est pas vite régler. Il va devoir consulter le Vargamor, le sorcier de la meute, dans els plus brefs délais.

- Ça va aller?

Félicia regardas son ami attrapait avec adresse la serviette, ne cachant pas le fait qu’elle apprécier la vue du corps mouillé et en train d’être essuyer. Puis elle lui fit de la place à ces côtés lorsqu’il venu vers elle, reposas ces vieilles photos sur la table de chevet, pour les contemplait de nouveau, ne sortant de ces pensées que lorsqu’elle sentait une couverture épaisse sur ces épaules et la présence de Jonathan à ces côtés. Posant sa tête sur l’épaule du détective, la jeune femme respirait profondément, appréciant pleinement le silence environnant, tout en songeant à un moyen de ne plus avoir de crise. Maintenant qu’elle y pensait, son mentor ne lui avait il pas dit qu’elle avait sûrement fait une hémorragie interne ou un truc du même genre ? Peut être qu’elle devrait aller à l’hôpital et passer un scanner pour voir si elle n’avait une merde dans le cerveau. Après tout, chaque crise était déclenchée par une violente douleur à l’arrière du crâne. Sursautant en écoutant le détective lui demandait si ça allait, elle sourit, puis répondit après avoir soupirer.

Oui, ça vas mieux je te remercie. Je pensais juste… à certaine chose.

- Humm... Tu es sûre, ton front est brûlant.

Il pouvait mieux le sentir maintenant qu'elle avait posé sa tête sur son épaule. il y avait une odeur de sang derrière tout ça, avait elle été plus gravement blessé qu'il le croyait d'abord? C'était très possible, leur duel pour leur survie fût d'une monstrueuse violence. Ayant survécu à trop de guerre pour ne pas rester là à se croiser les doigts. Il dirigea son regard plein en celui de Félicia et vérifia le degré e dilatation de ses pupilles, y fouillant si son regard était précurseur de grand mal. Il fût heureux de n'y voir que de l'épuisement et quelques expressions de douleurs retardataires. De ses connaissance en premier soins, il pouvait déterminé que son hémorragie bien présente aurai sûrement tué à petit feu un humain de constitution normale. Mais pour son cas, sa réalité de Werewolf venait sûrement de lui sauver la vie. L'hémorragie était non seulement stabilisé, mais faisait en plus marche arrière en voie à la guérison. Cela rassura le grand loup, même s'il devait en faire part à la louve blanche et lui imposer le repos.

- L'hémorragie se stabilise par lui même, ta régénération va tout arranger mais pour ça, pas e travail aujourd'hui! Tu dois te reposer jusqu'à retrouver tes forces au maximum! Nourri toi bien, surtout en protéine et bois beaucoup d'eau! Le cimetière peut attendre demain... Mais j'ai quelques détails à parler avec toi, mais ne t'épuise-pas pour moi, si tu veux dormir, dit le moi et je repasserai demain.

Son ton était un étrange mélange d'autorité indiscutable et d'inquiétude bienveillante. Étrange, une imposition digne d'un officier d'armée suivi d'une tendresse digne d'un grand-frère protecteur. Cette situation mettait John dans un état tout aussi délicat envers lui même, séparé entre l'ainé autoritaire et l'ainé bienveillant.

Félicia passas vaguement sa main sur sa tête pour essuyait le sang qui commençait à sécher et sentis que la plaie était déjà refermer. Grattant le sang séché pour le faire partir, elle rassura d’un geste de la tête le détective aux cheveux d’or, avant de dire :

C’est toujours comme ça après mes crises. Et ça commence toujours par des maux de tête insupportable à l’arrière du crâne, comme si quelque chose me perforait continuellement le cerveau, mais que celui-ci se régénère et que tout recommence sans cesse… Je devrais peut être aller passer un scanner à l’hôpital après tout. Peut être qu’un morceau de la carcasse d’avion c’est coincée … Non, je délire complètement, si c’était le cas, je serais déjà morte.

Soupirant, la fossoyeuse ne put s’empêcher de se frotter l’arrière du crâne. Malgré tout, c’était une hypothèse probable, car c’était au niveau de ces fichus douleurs qu’elle avait eu son hémorragie, lors de l’accident d’avion. Perdue de nouveau dans ces pensées, la belle ne remarqua pas le regard que lui portait Jonathan lorsqu’il vérifia si elle allait bien. Finalement, elle se contentas de redressait la tête lorsqu’il lui dit que l’hémorragie de son bras c’était calmer, mais qu’elle devrait se reposer et surtout ne pas travailler aujourd’hui.

Et comment j’explique aux clients la porte défonçait, le marbre broyait et les arbres déracinait ?

Se laissant tomber sur le côté, dos contre le matelas, et tenant son bras blessé contre elle, la fossoyeuse réfléchit rapidement, mais du admettre qu’il avait raison, elle ne pourrait pas travailler demain. Faisant finalement un signe de la main pour s’avouer vaincue, Félicia écoutas les dernières phrases de Jonathan ; Il avait des question à lui posait. De quoi réveillait sa curiosité.

Des questions ?

- Je m'occuperai de la porte... Mais toi, tu dois te reposer!

Elle est têtue celle là, pensant trop pour des détails passant en second plans, s'obstinant pour rien devant les risques... Cela fit sourire John, qui se reconnaissait lui aussi dans ce grand élan de témérité et d'entêtement. Les Werewolfs sont d'une nature très tenace malgré les risques et l'adversité. Il manifesta discrètement un léger sourire tout en commençant à lui faire un massage de tête. Massant avec un mélange bien modérer de force avec beaucoup d'adresse et de doigté le cuir chevelu de la louve blanche. Il comptait sur l'effet apaisant d'un tel geste pour 'asurer que Félicia ne s'entête pas trop à passe rà la prochaine étape... et Par ailleur, John non plus ne se sentait pas presser. Les mouvements de ses doigts dans les cheveux blanc de neige de la jolie louve libérait un délicieux parfum quelque peu enivrant... Il se laissa ainsi hypnotiser jusqu'à ce qu'il la jugea maintenant mieux reposée pour pouvoir répondre à ses question sans trop s'épuiser d'avantage, il prit la parole...

- J'ai été engagé par notre bien connu Gabrièl Fitzroy, un vampire quelque peu bavard de ses expériences, pour retrouver une forge de modèle antique dans la région. Il m'a parlé de toi et de tes talent d'artisane... J,ai donc besoin de toi, j'ai besoin que tu me décrive quel type de forge tu as de besoin et quel matériel requis. Pour le service, je partagerai avec toi cinquante-cinquante la prime. Ça te vas?

Félicia grommelas en entendant Jonathan la sermonner comme une gamine, mais ne boudas pas plus. Elle laissas celui-ci lui massait la tête, souriant tellement cela lui faisait du bien. Après tout, restait au lit ne lui ferait pas de mal, alors tant pis, elle le laisserait s’occuper de la porte. Se laissant aller contre le torse nu du détective, sans intention particulière, mais pour mieux profiter de cette chaleur réconfortante qu’il lui procurait, alors qu’il lui expliquait pourquoi il était là se matin. Gabrièl Fitzroy, le vampire qui c’était fait voler sa rapière l’autre fois, lui avait fait par de sa requête à rechercher, voir reconstruire une forge, et Jonathan était venu lui demander de l’aide.

Pour le matériel, j’ai pu tout sauvait, avec ma défuntes mère et mes défuntes sœurs. Pour l’architecture…

La fossoyeuse se séparas à contre cœur de son ami et avanças en s’appuyant sur sa pelle pour aller jusqu’à sa bonne vieille commode, puis sortis de vieux parchemins, contenant les plans qui avait servit à construire la forge de ces ancêtres et les matériaux dont les anciens avaient besoin pour la construire.

Je ne lui ai pas parlait des plans, car je ne le prenais pas au sérieux, ce pervers, mais s’il a fait appel à toi, c’est qu’il l’était sûrement. Et garde toute la prime, si l’argent m’intéressait, je ne ferais pas fossoyeuse.

Pervers... Ce mot fit grogner de méfiance le détective. Il savait qu'il se connaissaient, mais John ne croyais que les Werewolfs question relation. Si Félicia ne l'aime pas vraiment, il ne pouvait pas la forcer de lui rendre ce service, même pour un client. De son point de vue, John a pour crédo de ne jamais aider un individus jugé nuisible ou énervant. Même si Félicia n'est pas encore "politiquement" membre de la meute, il la considèrera comme tel pour ce coup... Reste maintenant quoi faire, ou plutôt quoi choisir. La sentir se coller contre son puissant torse l'influença sans que la jolie louve blanche ne s'en doute... Ah les femmes, elles et leurs charme naturel allant au delà du rationnel, souvent...

- Je peux annuler l'affaire quand je veux tu sais. Je ne toucherai pas un rond, peut-être... Mais je ne veux pas t'inclure là dedans, surtout si tu es un élément clé. Pas question que je prenne toute la prime pour moi seul non-plus, surtout si c'est à ton grand déplaisir.

Une fois de plus, il était entre autorité de fer et impartialité juste. Il arrive parfois que John laisse les autres influencer ses décision, en particulier s'il s'agit de la meute. En plus, Le client demande à réparer une arme en argent, le fléau des métamorphes de tout genre. S'il est dit si désagréable que cela, qui ne dit pas que ce dernier pourrai retourner cet arme contre eux au moment du dernier paiement et repartir ni vu ni connu, avec tout son or et deux Werewolf en moins... Tout peut -etre politique dernière tout ça. john devait en être sur, comme il le fausait toujours. Il devait en savoir plus sur son client actuel...

- Et puis qu'on en parle, que connais-tu de lui, de ce Gabrièl Fitzroy? Sa rencontre, son attitude, se manies, n'importe quoi, je dois savoir...

Félicia grommelas en se rappelant sa rencontre avec se vampire et ces manières déplorables. Se massant doucement la nuque, la belle finit par décrire sa rencontre avec se fauteur de trouble au détective.

En fait, cet idiot c’était fait volé sa rapière par un adolescent qui l’avait découvert, ainsi que plusieurs de ces amis, en train de dormir dans son cercueil dans un vieil entrepôt, d’après se qu’il m’a expliqué. Moi, j’ai croisée le gamin alors qu’il essayait de se planquer dans mon cimetière et bon, c’est pas de nos jours que l’on peut croissait un humain avec une rapière datant d’avant les guerres. Sinon hormis ça, il a les mains particulièrement baladeuses et je n’apprécie pas trop ça de la part d’un type que je ne connais pas. J’ai l’impression qu’il se vante un peu trop. Mais sinon, je ne pourrais pas t’en dire plus.

La fossoyeuse se mise ensuite à réfléchir à la proposition du détective, à savoir tout annuler… Elle n’en avait pas vraiment envie. Elle ne pourrait peut être plus forgeait d’armes en argent, mais pour le reste, et surtout pour la joaillerie, elle pourrait continuer. Hormis un détail.

Non, on arrête rien. Tu lui copieras ces papiers pour l’aider, car j’aimerais garde les originaux pour moi. C’est peut être bien ma seule de pouvoir reprendre mon vrai métier. Mais j’aimerais que la construction ne commence que lorsque mes crises seront passer/ Je n’ai pas envie de tout détruire juste après la fin de la construction.

- D'accord.

Cette dernière avait une mystérieux mais bien clair sens des affaires, qu'elle le sache ou non. Reprendre un vrai métier, une profession digne, c'est bien après tout. Pour ce qui est de la sécurité, John n'aura juste qu'à charger une arme gros calibre en guise d'avertissement pour Gabrièl, mais pour le cas de Félicia, prévenir ne servira à rien, il faut effectivement guérir... Son prochain passage se fera donc chez la nouvelle Vargamor de la meute dans les plus bref délais. Sans aucune réponse logique, alors seul le surnaturel est apte a amener des réponse.

Son prochain plan de match bien en tête, le grand loup se releva et alla vérifier ses vêtements. Ces dernier était correctement sec, malgré encore un peu d'humidité. Ce n'est pas ça qui le tuera, certainement pas. Il commença à se rhabiller, une fois de plus sous les yeux sûrement envieux de la louve blanche.

- Je vais donc aller régler ça maintenant, je pars quérir la Vargamor et elle nous donneras sûrement enfin les réponses sur ton cas, enfin... J'espère.

Il n'osait pas le dire, mais l'affaire Félicia Faust est sûrement la plus énigmatique et compliqué qu'il n'a point eut depuis un temps déjà, plusieurs dizaines d'années, au moins. Enfin, sa ceinture bouclée et son manteau sur els épaules, il se rapprocha du lit et s'y pencha, s'appuyant sur ses deux bras de chaque côtés de la tête de Félicia. Une posture quelque peu des plus... dominante. Un loup alpha a parfois de la difficulté à ne pas faire montre d'intégrité.

- Surtout, n'oublie pas ce que je t'ai dit pour aujourd'hui. Du calme et du repos! Je m'occupe du reste.

Et pour signer le tout, il se penchat plus près pour venir lui donner un baiser sur le front, une attitude naturellement protectrice de sa part.

- Bonne journée.

Et il sorti de la cabane sans faire plus d'histoire...

» Suite d'une longue soirée... (Pv Félicia/Jonathan)(Avertisement: Sujet à fort caractère sexuel)
» Le cimetière, enquête et besogne (Pv Felicia/Jonathan)
» C'est en forgeant qu'on devient forgeron! (PV Félicia ou sur demande!)
» Une étrange place pour un Werewolf! (pv Félicia Faust)
» Une bonne fois pour toute... (pv Felicia/Jonathan)