Une étrange place pour un Werewolf! (pv Félicia Faust)

Werewolf Messages : 25 Date d'inscription : 02/06/2010

François avait décidé de sortir de sa maison pour prendre de l'air, de plus aucun Werewolfs n'était encore venu pour le voir, alors il avait du temps pour lui tout seul. Pour cette occasion, il s’est dit qu'une marche pourrait lui faire le plus grand bien. En marchant, il observait la lune qui n'était pas encore pleine cette nuit, mais elle éclairait le ciel noir avec ces amies les étoiles, un spectacle merveilleux a regardé. Bien que cette nuit était magnifique, un petit courant d'air frais soufflait à travers les arbres et essayait de traverser les vêtements, mais ce vent n'arrivait aucunement à traverser le manteau de François qui était très chaux. Il n'avait rien à craindre du froid, mais il faut tout de même bien s'habiller. Il continua son chemin en observant cette fois si les gens qui discutaient entre eux et riaient a bon cœur, d'autres se gelaient sur place en attendant l'autobus arrivé et certains couraient pour une raison qu'il ignorait. Bref, il y avait beaucoup de personnes cette nuit que François ne fût pas très sûr de pouvoir trouver une place ou être seul, il ne devait pas se décourager pour autant puisqu'il devait sûrement exister une place dans les environs. Après un petit moment de marche, il découvrit un cimetière sombre ce qui ne le surprenait pas du tout. On racontait beaucoup d'histoire d'épouvante par rapports les cimetières, c'est ici que les âmes des morts se promenaient et hantait tous ceux qui venaient gâcher leurs sommeils, des histoires pour effrayer les enfants.

Si celui-ci avait été jeune, il avait cru à cette histoire sans hésiter, mais là c'est bien différent. Il n'y croyait pas une seule seconde, les morts ne se mettraient pas soudainement à sortir en lui demandant de partir ou que leurs corps se mettent a bougé comme tout zombie. Il fallait une grande imagination pour s'imaginer toute sorte d'horreur... Mais au fond, il croyait aux âmes... mais pas ce qui concerne d'eux en mal. L'Ulfric entra donc dans le cimetière en pensant qu'il pourrait enfin être seul. Cependant, il ne savait pas que bientôt se doux moment calme pourrait se détruite en morceau. Il s'accota sur une tombe et ferma doucement les yeux pour profiter de ce doux silence. Celui-ci se brisa quand il entendit un bruit de pas. Il se concentra au bruit pour pouvoir repérer de qu'elle coter ça venait, il devait être prêt à tout moment si c'est une attaque qu'il allait recevoir. Il s'éloigna de la tombe et tourna la tête vers l'endroit ou le son provenait, ça s'approchait de plus en plus, mais d'un pas lent, ça pouvait bien être un vampire ou toute autre créature qui aime bien les endroits qui donneraient la chair de poule.

*Voyons qui ça peut bien être. Sûrement pas un esprit qui veut se venger.*

Félicia emmenait ces outils de gravages lorsque François était assis devant une tombe. Mais ce n'était pas sa destination. Elle allais dans la partie Sud du cimetiére, où quelqu'un devais bientôt prendre place. s'asseyant en tailleur devant le bloc de marbre, la fossoyeuse werewolf sortis la lettre qu'elle avait reçu. Un homme de 90 ans venait de mourir et les clients étaient des Irlandais, qui lui avait demander de graver un symbole celtes; soupirants, elle commença à graver le nom, puis le prénom du défunts. Puis viens le symbole celte. S'essuyant le front, la werewolf se remit au travail, faisait des courbes agréables à regarder pour quelqu'un qui apprécier l'art. On voyait bien l'héritage de l'étrange fossoyeuse. Son travail duras bien une bonne heure, et elle était tellement absorbée qu'elle n'entendais pas le moindre bruit environnant. Finalement, le dernier coup de burin retentis. LA pierre tombal gravée était fini. Soufflant, la fossoyeuse se relevas et fit craquer sa nuque, avant de rebrousser chemin et de revenir vers sa cabane, pour tomber nez à nez avec François. Surprise de voir quelqu'un à cet heure si, la belle sourias et dis:

Et ben, c'est pas une heure pour venir rendre visite au mort.

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François vue parfaitement la silhouette de la personne qui semblait s'approcher et qui était autre qu'une femme vu les formes de la silhouette même si son linge semble un peu l'effacer. À se demander ce qu'une femme pouvait bien faire dans un cimetière? Bien que lui aussi ont pourrait lui poser la même question, a cette heure dans un cimetière ses a vous donner des idées sordides. Quand elle fut assez près de lui pour la voir, il la regarda de haut en bas en regardant chaque détail. Elle était plutôt grande comme femme, elle possédait des yeux couleur noisette, ses cheveux étaient d'un gris argenté qu'on ne voyait pas tous les jours. Elle les avait très court et une petite natte sur le coter gauche, sans oublier sont visage était très jolie il fallait l'avouer. Pour ce qui est du corps, on ne pouvait pas trop cernés quoi que se sois avec le vêtement qu'elle portait et qui était d'un style plutôt particulier! Enfin, chacun son style, mais s’il elle avait été habiller de cette façon dans le temps ou il est née, elle aurait été indigne. Maintenant, les personnes pouvaient porter tout le style qu’il voulait que même parfois ont regardait certains étrangement. En l'observant en silence, il pu voir qu'elle avait des outils de gravages... alors, il avait sans aucun doute que cette femme ne faisait que son travaille tout s'expliquait, mais pas sa présence a lui. L'inconnue posa sont regard sur celui de François elle venait de le remarquer là sur place, elle devait se poser dénombrable de questions à propos de lui.

Par exemple, que vient faire un homme comme lui dans un cimetière, est-il là pour réveiller les morts et toute autre question a s'imaginer. Bref, la femme lui fit un sourire et lui dit que ce n’est pas une heure pour venir rendre visite au mort. Il faut bien l'avouer, elle avait toute en fait raison... mais il n'était la aucunement pour visité un mort, il préférait les laisser dans leurs tombes. De plus, il n’y avait aucune de sa famille qui se trouvait dans le cimetière, tous étaient morts dans le passé le temps où il avait une famille merveilleuse dont il regrettait de ne pas les avoir transformés en werewolf eux aussi. Ainsi, il serait avec eu en ce moment avec les autres membres de la meute. Il ne restait plus que Samuel dans ce temps... mais il était vraiment solitaire depuis le fameux jour, qu'il n'avait pu trop contacte tout les deux a croire qu'il devrait continuer a vivre sans personne avec qui partager sa vie. François posa son regard sur les tombes qui se trouvaient pas loin d'eux, s'il avait au moins sa famille qui avait été enterrée ici se serait été moins pénible puisqu'il pourrait les visiter tous les jours. La vie pouvait être cruelle parfois, mais il fallait le supporter pour continuer à vivre. L'Ulfric reposa son regard sur la femme et ce ré accota contre une tombe sans la lâcher du regard. Il ne la connaissait pas donc il devait quand même rester sur ses gardes, car tout pouvait arriver.

-Je ne suis pas là pour visiter un mort, puisqu'il n’a personne ici que je connaisse...

*Ils sont morts dans le passé...*

-Je suis là, car je cherchais un endroit ou rester seul et qu'elle merveilleux endroit pour rester tranquille. Tant que je ne dérange pas les morts, je crois bien qu'ils peuvent accepter ma présence. Mais vous, je crois deviner que vous êtes ici, car vous travaillez dans ce cimetière... vu les outils que vous portez. Je me demande s'il vous arrive de trouver les soirs longs sans personne pour vous tenir compagnie. Il faut dire que votre travail se fait seul.

L'homme qui était accroupis à côté avait l'air d'un type solide, aussi, voir plus grand qu'elle, avec une peau bronzée assez agréable à regarder, et un regard des plus mystérieux qui ferais fondre n'importe qu'elle femme. Sauf notre fossoyeuse. Chose peut courante pour un homme, celui-ci avait les cheveux longs. Par contre, il sentait le loup. Un werewolf? Dans tout les cas, la fossoyeuse restas assez méfiante. L'homme réajustas sa place contre le marbre tout en continuant de l'observait, jusqu'à lui dire qu'il n'avait aucune de rendre visite au mort, puisqu'il ne connaissait personne ici. elle non plus ne connaissait personne, et pourtant, elle vivait avec eux. Qu'elle ironie, non? Enfin, d'après ces dires, il recherchait un endroit pour rester tranquille et que le cimetiére était le meilleurs des endroit pour être en paix. En tout cas, il avait remarquée ces outils, car il le lui fit remarquer.

Et oui, je travaille ici, et je vit même ici. Justement parce que j'aime le calme et que comme vous l'avez remarquer, il n'y a pas plus calme qu'un cimetiére. Et puis, se ne sont pas les voisin qui raconte des ragots par ici. Pas de comméres.

Puis elle réfléchis à sa question. A savoir si elle ne trouver pas les nuits trop longue tout seul. A vrai dire, elle n'avait jamais vraiment penser à ça. Elle était tellement habituer à la solitude maintenant, avec ces crises, qu'elle ne se poser plus la question. Et puis, elle était narcoleptique, donc en générale, avec ces drogues, elle avait un sommeil de plomb. Mais malgré tout, il lui arriver des fois de rester assise sur sa chaise, les pieds sur la table, à discuter avec les morts en sirotant un verre de vodka. Folle ? Non, pas tellement, juste... disons une fossoyeuse qui avait l'habitude de la solitude et qui essayait de la tromper en discutant avec des êtres disparut depuis des jours, des mois ou des années.

C'est vrai qu'être fossoyeuse... c'est un métier pour les gens qui ont l'habitude d'être seul. Et qui préfére être seul.

La werewolf regardas l'homme et un bref instant, elle crut voir de la tristesse dans ces yeux. Un homme à l'apparence solide, mais qui en réalité, éprouvait une grande tristesse... Peut être était il comme elle? Bah, elle ne le saurait surement jamais. Faisant signe à l'inconnu de le suivre, elle l'emmenas jusqu'à sa cabane, sur laquelle se trouvait des verres empilait les un sur les autres et une bouteille de vodka a demi vide.

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François pouvait un peu sentir le loup sur elle, mais il ne pouvait être aussi sur qu'elle soit un Werewolf, bien qu'elle pourrait être un métamorphe qui avait la possibilité de se transformer en loup ou qu'elle avait un contact avec un werewolf, mais il avait plus l'impression que c'est elle qui l'était. Bien que cette femme sois une werewolf sont odeur lui était pas familier donc elle était une solitaire, le genre qui n'était pas bien accepté de ceux qui vivaient en meute alors ceci touchait L'Ulfric. Il devait se méfier d'elle après tout, mais il n'avait pas envie de partir maintenant, car il souhaitait connaître cette werewolf qui n'avait jamais encore rencontré. Son coter curieux le poussait a connaître cette femme si ça doit finir en une bagarre mortelle ou une tout autre situation différente. Il respecta la femme en la laissant parler et en l'écoutant attentivement ce qu'elle avait à lui dire sur la question qui lui avait offert. L'homme avait deviné juste pour ce qui est du travail, elle travaillait affectivement dans le cimetière, mais il fut surpris de constater qu'elle vivait même ici dans cet endroit où les histoires les plus horribles étaient créées. Pour François, cette place est bien étrange pour une werewolf, mais puisqu'elle aimait le calme elle avait bien le droit d'y rester. Les ragots. Elle avait un bon point pour ce qui est de ceci, l'Ulfric entendait souvent des ragots par les autres werewolfs sur des endroits les moins visités qui semblaient être un endroit ou on en revient jamais en vie des conneries quoi! De plus en vivant seul son contact avec personnes, elle n'était jamais en présence de dispute qui finissait en bataille que François devait intervenir comme un papa qui essais d'arrêter deux enfants ignorants. À ces moments-là, François rêvait de disparaître dans un endroit où il serait seul jusqu'à ce que cette bêtise cesse.

Mais jamais il ne pourrait vivre seul dans sa vie, car il aimait bien la compagnie des personnes et parfois il voulait être seul pour un petit moment. Alors que l'inconnue n'avait pas trop le choix de rester seule auprès des morts. Jamais il ne pourrait comprendre comment elle pouvait faire pour endurer cette solitude a des moments, elle devait sûrement espérer tomber sur quelqu'un pour avoir un peu de compagnies pour passé le temps comme en se moment même. Un long silence s'installa entre les deux personnes qu'on pouvait entre le vent souffler comme dans les films ou a se moment même on croirait qu'un zombie sortirait de la terre pour rompre ce silence. Cependant, ils n’étaient aucunement dans un film d'horreur! L'Ulfric fut quelque peu surpris quand elle lui fit signe de la suivre dans ce cimetière, il c'est très bien qu'il doit avant tout se méfier de cette femme, mais la curiosité était plus fort que l'envie de s'éloigner plus d'elle. En la suivant il pouvait découvrir beaucoup plus de choses à propos de cette werewolf et en cas d'attaque il n'était plus un bébé il c'est ce défende et de plus il est très bon. Il la suivit en gardant le silence tout en enregistrant dans sa tête les détails du cimetière pour ce rappeler du chemin qu'il prenait pour allez ou elle désirait lui montré. C'est alors qu'il vit une petite cabane qui prouvait très bien qu'elle vivait dans ce cimetière et a l'intérieur, le loup empestait plus que toute autre odeur. Il n’avait plus de doute là-dessus, mais souhaitait comprendre pourquoi certains werewolfs étaient seuls. François observa la maison et vit tout de suite la bouteille de vodka qui traînait sur la table. Quel bon moyen pour combler la solitude qu'un bon verre d'alcool.

-Je vois que vous êtes une femme qui aime bien prendre en verre d'alcool en toute tranquillité. Moi aussi j'aime bien, en dirait que l'alcool est le meilleur moyen pour la solitude, mais tout dépend de qu'elle sorte de solitude...

Il posa son regard sur les verres et en prit un dans sa main en regardant a l'intérieur, il avait été déjà utilisé bien avant son arrivé. Il posa son regard sur la femme et lui pointa le verre qu'il tenait.

-Pourrais-je avoir un verre propre ou vous préférer garder à vous toute seule toute cette bouteille de vodka, vous savez je peux m'en contenter de juste un si a peux vous poser problème. Bien sûr c'est a vous de choisir puisque cette votre vodka et votre petite maison qui est sans dire une merveilleuse place pour la tranquillité.

L'étrange fossoyeuse laissas au visiteur le temps de bien enregistrait le chemin qui menait à sa cabane. Elle était bien assez contente d'avoir un peu de compagnie, surtout que sa derniére crise avait été assez violente pour qu'elle détruise la porte de la remise où elle conservait son marbre. Une porte blindée qui plus est. Foutu crise de colére. Jurant, elle plias les doigts avec précautions. Tout son avant bras droit était bandées, justement à cause de cette crise, car en déboitant la porte de ces charniéres, elle c'était bléssée au bras, une joli balafre lui traversait l'avant bras. Un morceau de métal c'était logée dans son bras, et même si les plaies des werewolf cicatrisait rapidement, la douleur était toujours là. enlevant sa veste noire et craseuse, elle finit en chemise blanche,assise sur sa chaise, se massant le bras, souriant en l'écoutant dire qu'elle était le genre de femme qui aimait bien boir son alcool en solitaire.

C'est vrai, mais cet alcool me rappelle mon pays natal. C'est pour ça que j'aime le boire comme un Français bois un bon vin. Ca me rappelle des souvenirs.

Son accent russe ressortait assez bien, assez harmonieux pour ne pas jurer avec le lieu. Mais elle rougit en entendant dire que les verres n'étaient pas propre. Assez maniaques du ménages, elle ne supportait pas quand quelque chose était sale, et là, c'était le cas. récupérant les verres en jurant dans sa langue natal. Entrant dans sa cabane, on pouvait voir l'intérieur être correctement rangée. On comprenait pourquoi le cimetiére était nickel. Sortant deux verres propres, la louve blanche laissas la porte de sa cabane ouverte pour pouvoir l'aérée.

Encore désolé pour les verres sales, c'est pas dans mes habitudes.

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François écoutait attentivement la femme werewolf qui disait qu'elle buvait de l'alcool qui lui rappelait son pays natal. Ceci semblait ressembler étrangement au chef qui buvait toujours en se souvenait de son passé, ils semblaient avoir beaucoup de ressemblance tous les deux qu'on aurait dit que c'était le destin qui avait fait en sorte qu'il se rencontre, mais bien sûr ce n'était pas le cas. Il l’observa en train de ce masser le bras comme si elle souffrait de quelque chose, elle avait du s’accrocher a un endroit ou elle c’était fait attaquer ou toute autre raison possible. Cette femme avait un accent que l’homme avait bien entendu une fois, il ne pouvait pas trop dire de quel pays ça venait, mais lui aussi devait avoir son accent québécois qui ressortait toujours même en fréquentant les mêmes personnes. Il lui arrivait de dire des mots québécois que certains ne savaient pas trop ce qu’il voulait dire par là, mais il essaya de moins le faire pour que ça ne pose aucun problème à ceux qui voulaient le comprendre. Avec son fils c’était tout a fait différent, ils parlaient sans retenir le mot québécois puisqu’ils sont les deux d’origine, mais ça faisait bien longtemps qu’il n’avait pas parlé a son fils… sa propre famille, ça l’attristait un peu. Quand François lui dit s’il pouvait avoir un verre propre, il vit les joues de la femme devenir rouge soudainement par cause qu’elle était gêner que sa sois si sale, elle prit les verres en jurant dans une langue que comprenait pas François, mais a l’entendre il était sûr qu’elle jurait.

Un sourire apparu au coin des lèvres de François qui souriant rarement, mais quand elle se retourna, son sourire disparu rapidement qu’elle n’avait pas pu le voir. Il ne voulait pas qu’elle voie que cette petite scène l’amusait elle pourrait le prendre très mal. La werewolf déposa un verre en face de lui et il se versa tout seul de la vodka dans son verre et prit une gorgée dont il sentit tout chaud à l’intérieur de lui. L’Ulfric regarda la vue qu’ils avaient sur le cimetière qui était aussi propre, il devinait très bien que c’était cette femme si qui s’occupait du cimetière pour qu’il soit si propre vu ce qu’elle venait de lui dire. Elle s’excusa de ce qu’elle venait de faire, mais ce n’était aucun problème pour lui. Le chef prit une gorger et observa la maison encore une fois, il vit un poil blanc qui était sur un meuble… ça devait être autre qu’un poil de loup. Il était même sûr qu’elle sentait que c’était un werewolf…

-Écoutée, je n’ai pas envie qu’on reste infiniment sur nos gardes tous les deux. Je sais que vous êtes une werewolf et vous savez très bien que j’en suis un. Je viens d’une meute et vous non, vous n’avez rien a craindre de moi je ne vais pas vous attaquer par cause que vous êtes solitaire, mais si vous le souhaiter je peux le faire. Je veux juste que nous parlions tranquillement sans que nous commencions à nous méfier de l’un de l’autre. Je sais que je suis supposé me méfier de vous, car vous êtes seule, mais je ne pense pas qu’il y a quelque chose de vilain d’être dans aucune meute.

Il prit un autre verre en observant la réaction de la femme avers ce qu’il venait de dire. L’homme déposa son verre sur la table et la regarda avec curiosité

-J’aimerai bien savoir comment vous faites pour arriver à endurer la solitude. N’être dans aucune meute, les loups sont d’habitude des animaux qui se déplacent en meute et reste toujours ensemble, alors que vous vous déplacer sans personne auprès de vous. Il m’arrive de rester seul quand j’en ai besoins, mais jamais je ne pourrais rester seul. Toute ma vie j’ai connu la compagnie, j’avais trois frères, j’ai formé une grande famille, j’ai vécu tant d’années avec mon fils et je me suis retrouvé dans une meute. Alors, la solitude que vous vivez est impossible pour moi. Je veux donc comprendre… si vous pouvez bien me le dire sans que ça vous pose problème que je sois un werewolf de meute.

Félicia s’assit finalement en face du visiteur et se servit elle aussi en vodka, mais but doucement. Elle tenait très bien l’alcool, mais éviter toujours d’en boire lorsqu’elle était blessée, histoire de garder les pieds sur terre. Elle remarqua autre chose aussi, c’est que l’inconnu prenait son temps pour observer les alentours, remarquant la propreté des lieux et les quelques poils blancs qui traînait ici et là. Puis finalement, il parla, pour dire qu’elle n’avait pas besoin de rester sur ces gardes, qu’il avait deviné qu’elle était une werewolf et qu’il en était un aussi et que se n’était pas parce qu’il était dans une meute et elle non qu’ils devaient se faire la guerre. La fossoyeuse restas silencieuse un petit moment, puis finit par prendre à son tour la parole.

Je suis d’accord avec vous, ce n’est pas parce que l’on est différent que l’on doit se battre. De toute façon, je suis assez neutre, tout le monde peut venir profiter du cimetière, même les werewolf, les vampires et tout et tout.

Se laissant un peu plus aller contre sa chaise, la fossoyeuse écoutas le visiteur lui posait une question. Comment elle faisait pour supporter sa solitude. On ne pouvait pas vraiment dire qu’elle avait le choix. Elle savait très bien que les loups étaient faits pour vivre en meute et elle aussi en ressentait le besoin et l’envie. Mais si elle le faisait, combien de dégâts causerait elle, combien de morts ferait elle ? Restant silencieuse un long moment, elle finit par joindre ces mains et posait sa tête dessus.

Disons que pour le moment, il vaut mieux que j’évite de m’intégrer dans une meute. J’ai… comment dire… des crises de colère, qui me pousse au meurtre et à d’autres trucs du même genre. Je ne sais pas si vous connaissait Jonathan Lestage, mais si vous ne me croyez pas, vous pourrez toujours aller lui demander. Il a vu mes mauvais états de prés, malheureusement.

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François fut soulager que celle-ci voyait les choses comme lui, il n'avait guère envie de battre cette femme qui l'accueillait avec joie dans cette petite maison, même avec l'état qu'elle avait. Il fallait bien l'avouer, c'était tout à fait différent de chez lui, l'ulfric était entouré constamment de magnifique chose qui valait cher. Alors que cette maison ne valait pas grand chose, mais il sentait une très bonne atmosphère qui y régnait et il se sentait moins seul dans cette maison. Ce n'est pas le fait qu'il soit en compagnie de cette femme... mais sa maison est si grande qu'il a parfois l'impression qu'elle est vide et il est très rare que quelqu'un passe des jours avec lui dans ce grand bâtiment. Il faut s'en attendre, il ne voit presque plus son fils et n'a aucune femme dans sa vie, à se demander s'il pourrait vraiment s'en trouver une vu qu'il ne fait pas facilement confiance aux femmes. Même si cette femme qui se trouvait devant lui semblait être une très bonne compagnie, il ne laissera jamais l'approcher de très près. C'est incroyable comme il était méfiant envers les femmes! La réponse de celle-ci le surprit, une crise de colère qui emmène au meurtre disait-elle? Si François avait ce genre de crisse, il était sûr que beaucoup de la meute aurait fini entre ses mains avec le nombre qui le désespérait. Heureusement qu'il brisait tout simplement les objets de sa maison qu'il avait sous la main.

Le nom de son homme de main personnel le surprit, ainsi elle avait fait la rencontre de Jonathan et que cette rencontre avait tourné au cauchemar. C'était très difficile de s'imaginer la scène violente qu'il avait eu entre les deux werewolfs et que cette femme aurait essayé de la tuer. Mais cette réponse le rendait encore plus curieux, Encore ce défaut qui refaisait surface en une seule seconde, ceci dit, il aurait aimé que Jonathan lui raconte sa rencontre avec cette werewolf solitaire, mais il ne pouvait quand même pas fouiller dans la vie privé de chaque werewolfs qui faisait partie de sa meute. Comment pourrait-il gérer toute ces informations en même temps et s'il installait cette règle il se devait de l'appliquer aussi pour lui... il n'aimerait pas qu'on sache ce qu'il fait. L'ulfric allait donc ne pas en parler avec Jonathan et non plus que celui-ci aussi venait de faire la rencontre de la mystérieuse femme louve. Mais une question lui trottait dans la tête, son homme de main personnel avait-il mentionné le nom de François envers cette femme en l'informant qu'il était l'ulfric? Il ne s'était pas encore présenter à cette femme et ni celle-ci, mais pouvait-il ce permettre le risque de dire son vrai nom et qu'elle découvre sa vrai identité?

-Oui, je connais Jonathan Lestage. Il est un ami à moi... Il ne m’a cependant jamais raconté qu'il avait rencontré une personne telle que vous. Peut-être avait-il peur que je prenne mal le fait qu'il parle avec une werewolf solitaire, puisque bien des membres de la meute n’acceptent pas cela. Je peux dire que je fais partie de ceux qui n'ont rien contre cela. Cependant, j'aurais bien aimé qu'il me le dise à la place que je l'apprenne par vous.

François se leva soudain de la table et se posta devant la fenêtre pour regarder, ainsi il observait les pierres tombales qui restait sur place avec un sourire au coin, Leur affrontement c'était-il produit dans ce bâtiment ci ou à l'extérieur en compagnie des morts?

-Cette question peut vous sembler étrange... se peut-il que vôtre rencontre à tourné vers un moment très intime et vous a t'il parlé d'autre membre de sa meute?

Si c'était le cas pour le moment intime, François n'était pas du tout surpris, Jonathan couchait avec beaucoup de femme alors que l'ulfric lui restait loin des femmes que possible... dure à croire qu'il s'entendait à merveille avec la différence qu'ils avaient. Ça ne voulait pas dire que François n'aimait pas le sexe, tout le contraire de ceci, mais il semblait qu'une méfiance envers les femmes c'était installé en lui par cause de son passé et de son rang. S'il se mettait à coucher facilement avec n'importe qu'elle femme, il pourrait facilement se faire avoir par une. Il était prudent concernant cela, la seule chance de pouvoir avoir une relation avec lui était de passer beaucoup de temps en ça compagnie pour ainsi il développe une confiance ou les nuit lunaire... dont les femmes doivent avoir une chance d'être choisit par lui. Sinon, les chances étaient vraiment nulles. Ont se pose pas la question pourquoi il n'avait pas de Lupa dans la meute... c'était peut-être pour cela que les membres de la meute avait l'impression que l'ulfric était froid. Sans même laisser la femme répondre, il se détourna de la fenêtre pour engouffrer son regard sombre dans celui de la femme.

- Je crois savoir la réponse de la première... laissé faire celle-ci... mais l'autre j'aimerai bien la connaître. Par curiosité bien sûr, si vous ne voyer pas d'inconvénient? Il me serait très honorable de savoir vôtre nom.

François se décida que s'il avait raconté quelque chose à propos de lui à cette femme, il lui donnerait un faux nom pour ne pas qu'elle s’aperçoit de la grande importance qu'il possède. Car si elle venait à connaître qu'il était un personnage important, elle pourrait peut-être tenter quelque chose... donc la méfiance était toujours présente.

L'étrange fossoyeuse avait le regard plongée dans son verre de vodka, songeuse. Oui, si elle n'avait pas ces crises de démence, elle serait surement dans une meute, elle pourrait profiter des nuit lunaires sans tout détruire sur son passage, et qui sais, elle serait peut être mère? Bah, il fallait pas rêvée, le jour où cela se produiras n'est pas encore là. Se laissant aller un peu plus contre sa chaise, elle écoutas le bruit du vent contre les feuilles, un simple sourire sur les lèvres. Oui, elle aimait vivre dans ce cimetière, où le silence était le maitre, contrairement à la ville où bruits de véhicules et brouhahas indécents l'aurait vite agresser. Elle put sentir un peu de surprise venant de l'homme à la mention du nom de Jonathan, et peut être au fait qu'il c'était battu avec elle. Elle se rappelait trop bien de leur combat, de la violence dont elle avait fait part et de cette envie de meurtre qui l'avait envahie, alors que son esprit avait été bloquée dans un coin de son subconscient, laissant la bête prendre le contrôle et ne reprenant ces esprits que lorsque la douleur fut trop violente pour les deux esprits. Ferment les yeux, la louve russe concentras de nouveau sur les bruits du vent, chassant ces obscures pensées.

Apparemment Jonathan était un bon ami de ce werewolf. Cela la fit sourire et elle finit par dire:

La première fois que je l'ai rencontrée, il était venu pour me faire passer une sorte interrogatoire. Pour savoir pourquoi je restais en dehors de la scène comme il disait. J'ai du lui montrait les dégâts que je causait pour qu'il comprenne pourquoi je ne pouvait pas, et ne voulait pas rentrer dans une meute. Enfin, il ne faut pas lui en vouloir, je suppose qu'il ne voulait pas en parler tant que mon problème n'était pas réglé.

Félicia observas l'homme allait vers la fenêtre et se massas doucement sa nuque. Avant chaque crise, celle ci lui faisait mal. Elle avait bien pris un rendez vous à l'hôpital, mais se ne serait pas avant un mois. Elle savait bien qu'elle risquait de dévoiler sa vrai identité, mais qui ne risquait rien n'avait rien. Lorsque que l'homme lui demandas si leur rencontre avait virée à l'intime, elle fronças légèrement les sourcils. Elle n'avait pas trop parlée de se genre de choses au premier venu. Et alors qu'elle allait lui répliquait que cela ne le regardait pas, l'homme lui dit d'oublier sa question. Apparemment, il connaissait déjà la réponse. Mais malgré tout, il tenait quand même savoir s'il lui avait parlé des autres werewolf de la meute et s'il lui avait donné des noms. Réfléchissant doucement, la louve blanche lui répondit doucement, faisant doucement tourner se qui rester de vodka dans son verre.

Il m'a parlait de la hiérarchie des werewolfs, que j'avais un peu oublier depuis quelques années. Mais sinon, il ne m'as pas donner de nom. Après tout, je n'suis pas de votre meute. Et je m'appelle Félicia Faust. Vous l'aurait surement devinez à mon accent, mais je suis d'origine russe.

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