Une bonne fois pour toute... (pv Felicia/Jonathan)

C'était se soir que la lune entrera dans sa phase, celle qui fait plonger toutes les créatures de la nuit en fièvre lunaire, le moment ou les plus chauds vices deviennent ardemment contagieux. Pour plusieurs, c'est un moment tant attendu, mais pour John, celui-ci comportait un lot de risque puisque l'atmosphère était déjà étouffante, annonçant une fièvre particulièrement fort cette semaine. Il roulait à en négliger la circulation par moment, se rattrapant au dernier moment pour s'éviter de coûteuses amendes. il était sur un piste et pas question de la lâcher, un loup ne renonçant jamais à sa chasse, car la cible était la louve la plus imprévisible de la meute. Ayant tendu l'oreille sur les écoutes radio de la police locale, il avait entendu parlé d'une jeune femme aux cheveux blanc au comportement quelque peu suspect dans le vieux quartier industriel, la section totalement désaffecté... Pas de doute, c'est Félicia. Elle ne l'avait pas écoutée la dernière fois, elle était aller à l'hôpital alors qu'il lui avait fortement recommander. Elle aurai pu mettre son identité totalement en péril simplement en faisant cela, heureusement pour elle que les médecins qui lui firent la radiographie à ce moment était nouveau. Au moins, il y a un côté positif derrière tout ça, cela a donner au détective privé ce qui pourrai être la pièce manquante du puzzle. il y a quelque chose d'anormal incrusté derrière la tête de Félicia, ont dirai une boucle d'oreille. Peu importe comment c'est arrivé là, il devait la trouver et résoudre le tout se soir, impossible de dire s'il pourra la maitriser plus tard se soir, alors que lui même sera hors de lui.

Destination, enfin! John gara son jeep dans le vieux stationnement à l'asphalte craquelée de toute part. Il se dévêtu totalement avant de sortir du cockpit et, une fois totalement nu, il en sorti et huma l'air ambiante. Pas de doute, elle est encore ici, son parfum est encore bien fort par-ici, Elle est sûrement à l'intérieur du vieux bâtiment abandonné à quelques mètres devant lui. John sorti de son véhicule, referma la porte du jeep après l'avoir dérouillé et libéra la bête en lui, adoptant sa forme animale. Le grand et puissant loup au poil blanc de neige marié au noir de jais entra par une ancienne entrée pour camions 10 roues et poussa un long et fort hurlement de loup voulant rameuter les siens près de lui. L'écho y était fort, impossible pour la louve blanche de ne pas l'entendre. C'était le cri de défi, inciter la louve à s'en prendre à lui, un loup expérimenté et au long vécu de combattant, plutôt qu'à qui qu'on que d'autre. Ce ne sera pas très difficile, il ne sort que deux ici, la bagarre est donc inévitable si cela doit en arriver là. John tenta de la piste à l'odeur plus profondément dans le vieux bâtiment poussiéreux, alerte et prêt à toute surprise...

Félicia était finalement allait à l'hôpital pour passer une radiographie et voir si elle avait quelque chose dans sa nuque, ou alors si ces crises étaient du qu'à un problème mental. Elle du attendre trois heures dans le couloir avant d'avoir les radios et les explications qui allait avec. D'ordinaire, cela pouvait durer plus longtemps, mais comme il n'y avait personnes dans l'hôpital, tout fut réglé rapidement. Et apparemment, personne n'avait remarquée sa vrai identité. Rentrant chez elle, elle réfléchit a se que le médecin lui avait dit. Elle avait bien quelque chose de coincer dans sa nuque, mais c'était beaucoup plus proche de son cerveau qu'elle ne le penser. Et elle savait de quoi il s'agissait, rien qu'en regardant la forme. Pleurant, elle repensas au crash de l'avion, a sa mère et à ces sœurs, et au boucles d'oreilles qu'elle avait fabriquée pour ces petites jumelles. Sortant une petite boites d'un tiroir, elle l'ouvrit avec précaution et en sortit trois petites boucles d'oreilles pour enfant, faite en argent, avec de minuscule perles incrustée et de fines particules d'or, une paire complète, et l'autre, séparait de sa jumelle, censée être perdu au fond de l'océan, mais finalement coincée dans sa nuque. Sa seule et unique œuvre joaillière, crée pour ces défuntes petites sœurs. La fossoyeuse passas toute l'après midi dans une sorte de transe, avant de s'endormir, et tomber dans une sorte de somnambulisme qui l'emmenas jusqu'au vieux entrepôts de la ville, pour finalement entrer dans un entrepôts qu'elle avait achetée il y a peut de temps, où elle stockée du marbre.

Soudain, elle fut prise de convulsion, et la bête revenu, se lacérant la nuque de ces pattes aux puissantes griffes pour atteindre cette choses qui lui faisait si mal. Sa partie humaine voulait récupérait se bijou, unique vestige de ces sœurs, tandis que l'autre voulait détruire cette source de douleur. Brusquement, l'automutilation fut interrompue par un hurlement que la louve connaissait bien. Jonathan. Une nouvelle fois, son ami était venu la retrouver au mauvais moment. Répondant violemment à son hurlement de défi, l'impressionnant louve blanche, jaillit de derrière une colonne de marbre, percutant et projetant son adversaire contre une autre pile de marbre. Celui-ci put apercevoir le sang coulait de la nuque de la bête.

Si John préférait les combats honorable de face entre-loups, Félicia semblait avoir une prédilection pour les attaques surprises. Au moins elle eut la décence de le prévenir d'un hurlement. Pas de doute elle est de mauvais poil, simplement à l'entente de son furieux cri. John eut donc le temps de raidir tout ses muscle juste avant d'encaisser la charge de la louve blanche sur son flanc. l'impact fût brutal, mais il en faut beaucoup plus pour impressionner le vieux guerrier émérite qu'est John.

Ce n'est pas la vue, mais l'odeur qui donna la puce à l'oreille au grand loup blanc et noir... L'odeur du sang, du sang de werewolf. Son poil passait du blanc au rouge derrière sa nuque, elle connait donc la raison de ses rages incompréhensible. Ce minuscule bout d'argent était insuffisant pour la tuer mais juste assez pour déranger son système nerveux et l'hippocampe, le réseau des instincts et des sens. Tout s'explique maintenant, elle a voulu s'en débarrasser, alors il peut bien lui donner un coup de main... Seulement voilà, si elle pouvait arrêter de le harceler ainsi, se serai bien!

Avec toute sa force, il donna tout le jus dans se spattes et la repoussa vivement. Il se retourna vers elle, droits et le poil hérissé, les crocs sorti et grognant prêt au combat. Il la regardait à la fois comme un tuteur regarderai son adolescente rebelle et comme un sergent devant un soldat récalcitrant. Il en faut beaucoup plus pour impressionner le guerrier émérite qu'est John.

Malgré le rude impact, le détective ne semblait pas avoir subit trop de dommage et surtout, il la repoussas rapidement, ce qui énervas la bête. Montrant plus furieusement les crocs et grondant du plus profond de son âme, tandis que Félicia tremblait au fin fond de son subconscient. Elle devait de nouveau se battre contre son ami, et de nouveau, elle ne pourrait pas agir, seulement encaisser les coups, ressentir la douleur et souffrir en silence en observant la scène. Les deux énormes bêtes se regardaient, se tournant autour, a une distance respectable, grondant et montrant les crocs. Puis soudain, se fut l'attaque, Félicia se jeta le Bolverk, mordant de toute ces forces sa patte avant, là où elle avait été blessée la dernière fois. La bête était horriblement rancunière, et elle n'avait pas oublié la blessure de l'autre fois. Enfonçant profondément ces crocs, elle bondit hors d'atteinte du bolverk tournant autour de lui, se moquant de lui. Elle semblant vouloir l'affaiblir, comme il avait fait avec elle la dernière fois. Le sang sortant de sa nuque coulait doucement et maintenant, c'était une sorte de fin collier rouge qui entourait la gorge de la furie blanche, lui donnant presque un air lugubre et inquiétant, se qui allait très bien avec sa profession de fossoyeuse.

Il n'était plus question de faire marche arrière, comme il ne l'a jamais été d'ailleurs. Cette jeune louve indisciplinée a besoin d'une solide correction à nouveau ont dirai bien. Ils se regardèrent mutuellement avec des yeux d'assassins, puis elle passa à l'attaque, lui mordant la jambes. Sur le coup, se fut très douloureux et le loup serra les crocs par orgueil de ne pas le laisser paraître. Mais lorsqu'elle le libéra en quittant la portée du Bolverk, le grand loup de jais et de neige redevint stoïque. Les werewolfs sont célèbres pour leur force et endurance surhumaine, mais aussi pour leur régénération naturel ultra-rapide, si bien que la morsure de Félicia se referma en quelques secondes. John resta sur la défensive un instant pour constater la situation. Contrairement à lui, la blessure de Félicia ne se régénérait pas car elle était en contact avec de l'argent. Elle est donc en sérieux désavantage, mais il pourrai lui être fatal si John ne lui retirait pas avant qu'elle en se vide de son sang.

Il passa à l'action à son tour, fonçant vers elle d'une bravoure héroïque sans se soucier ne serai-ce qu'une seconde à l'intimidation de la fossoyeuse. avec grâce, il sauta par dessus une caisse et pris un puissant élan pour atterrir, pattes à l'avant et griffes sorties, sur le louve blanches, espérant l'immobiliser pour lui arracher son mal au plus vite...

La bête semblait heureuse de son mauvais coup, mais malheureusement la blessure qu'elle lui avait faite à la patte se refermas rapidement. La bête grognas, maudissant la fameuse endurance des werewolfs. Alors que lui récupérée, sa blessure à elle, qu'elle c'était causée elle même ne cicatrisée pas. Mettant dans un coin de sa tête la douleur, on plutôt la refilant à Félicia, elle poussas un grondement de défi envers le bolverk tandis qu'il lui fonçait dessus. Elle esquivas sa première attaque, mais n'avait pas prévu que celui-ci rebondirait sur une caisse pour atterrir sur son dos. Hurlant de douleur en sentant les griffes du loup s'enfonçant dans son dos, la louve ensanglantée bondit à son tour, se jetant sur plusieurs caisses dans l'espoir d'éjecter l'imposant loup. C'était un étrange rodéo qui commençait, où deux loup se livrait à un bien étrange combat. Les bonds qui faisait la bête faisait jaillir plus de sang de sa nuque et bientôt la tête lui tournas, ces pattes tremblaient. L'argent commençait à faire son effet destructeur.

Elle pouvait se débattre comme elle voulait, sa blessure l'affaiblissait d'avantage à chaque effort. Aveuglée par la rage, elle ne comprenait pas qu'elle perd ses forces et qu'elle devenait à chaque seconde de plus en plus à la merci du Bolverk. John le senti lui... Et c'est maintenant ou jamais pour la libérer de son calvaire!

Le grand loup retint son souffle, enfonça son museau dans la plaieet saisi tant bien que mal le bijoux argenté avec ses crocs. L'anneau s'enroula autour d'une dent et, rapidement, John tira sèchement pour enlever le bijou en causant le moins de douleur et de dommage possible. Aussitôt retirer, il recracha le bijoux qui alla s'échouer sur le sol poussiéreux plusieurs mètres plus loin.

Il se redressa sur ses pattes pour libérer Félicia de son poids écrasant. Elle venait d'être libérer d'un fardeau qu'elle subissait depuis des dizaines d'années, mais certaines de ces plaies seront lente à régénérer étant donner qu'elles ont été en contact à de l'argent. À un premier coup d'oeil, le bijoux n'a pas été assez loin pour être mortel et n'a pas toucher le système nerveux ni aucun faisceau sanguin important, elle devrai s'en tirer. Par reflex animal, John se mit à lécher les plaies de la louve blanche, croyant subconsciement que sa salive l'aiderai à guérir plus vite. De guerrier inflexible et impitoyable, le voilà devenu le plus doux des gardien, ironie n'est-ce pas?

La bête continuait à bondir dans tout les sens, roulant sur les côtés et se jetait contre tout les morceaux de marbres qu'elle avait à proximité, mais rien n'y faisait, l'imposant loup ne lâchait pas prise. Brusquement, elle put sentir le bolverk enfonçait ces crocs dans sa nuque, la faisant hurler de douleur. Voulait-il l'achever, et ainsi se débarrasser une bonne fois pour toute de la menace qu'elle représentait? Au plus profond d'elle même, Félicia tremblait de peur et de douleur. La brûlure de l'argent, ainsi que la douleur provoquait par les crocs de Jonathan la rendait complètement folle. Puis soudain, plus rien. Plus de brûlure, plus de douleur. Juste le sang qui coulait de sa nuque. Elle put vaguement entendre un tintement typique d'un bijou qui tombait au sol. Son ami lui avait arraché son mal. Tremblante, elle s'écroula sur le sol, avant de redevenir doucement, mais surement, humaine. Une humaine frissonnante de froid, avec la robe qu'elle portait en lambeau. Une robe que connaissait bien Jonathan, vu qu'il la lui avait déjà enlevée. La belle put sentir la langue de loup léchait les blessures qu'il venait de lui causer. Soupirant, la belle tandis difficilement le bras, pour attraper le bijou qu'elle avait cru si longtemps perdu, mais qui finalement, était toujours restée au prés d'elle. Mais elle ne put l'atteindre, celui-ci était beaucoup trop éloignée d'elle pour qu'elle puisse le récupérait. Posant doucement la tête sur le sol de froid de l'entrepôt, le bras toujours tendu vers le bijou, elle regarda le détective avec un sourire au lèvres et s'évanouit en lui disant :

Merci.

Une simple parole pour en dire beaucoup. Elle sombra dans l'inconscience, évidement, surtout après l'ultime effort qu'elle fit pour se rendre jusqu'à son bijoux empoisonné. Le grand loup se demanda bien pourquoi elle tenait tant malgré, malgré tout ce que cette babiole lui a fait subir depuis si longtemps. Enfin, seule elle le sais et pour y mettre tant d'énergie, c'est que ça dois être important.

À peine elle eut fermer les yeux, le bolverk repris sa forme humaine à genoux à côté d'elle. C'étant déshabiller avant de sa métamorphoses, il était totalement nu et la peau couverte d'une légère couche de sueur, faisant luire son corps musclé et endurci. Ses yeux lupins continuèrent e briller par les reflets d'ombres et de lumières de cet endroit poussiéreux. Il souri en la regardant ainsi coucher, ont dirai la belle au bois dormant. Dommage pour la robe, elle était belle... Et surtout dommage qu'elle la couvre encore aux bons endroits.

- Ne restons pas ici, tu dois reprendre des forces...

Il allait la prendre dans ses bras, mais remarqua d'un coin de l'œil le bijoux argenté pour lequel elle se donna tout ce mal pour récupérer en vain. Il arracha un lambeau déchirer de la robe de Félicia et s'en servi pour attraper le petit œuvre d'art entre des doigts. Repliant le tissus soigneusement autour du bijoux, il le mit dans la main de Félicia et la souleva pour l'amener jusqu'à son Jeep. Elle est désormais toute sage comme une poupée russe, se plait à penser le bolverk...

(Sujet Terminé. Suite au Cimetière.)