La fin du cauchemar (Pv Jonathan. Sujet chaud, adulte seulement)

Félicia était allongée au sol, sur des débris d'avion et sous sa forme de louve, complètement ensanglantée, la nuque déchiquetée, complètement immobilisée par un gigantesque loup noir et blanc. Et alors qu'elle essayait de se dégageait, des mains sortant de terre la maintenait au sol, tandis que la tête de ces sœurs et celle de sa mère la regardait, en la suppliant de la rejoindre. La fossoyeuse hurlas de terreur...

Et se réveillas, en sueur, dans son lit, dans sa cabane, dans son cimetière. En sécurité. Haletante, la belle s'essuya les yeux d'un mouvement de main, puis regardas tout autour d'elle, pour vérifier qu'elle ne cauchemardait plus. Non, c'était bel et bien la réalité. Habillait d'un vieux pantalon noir et d'un t-shirt blanc, la cou bandait pour protégeait sa nuque le temps qu'elle cicatrise... et la boucle d'oreille qui avait été coinçait dans celle-ci, posait sur la commode, à côtés de sa jumelle et de l'autre paire, complètement lavée. Se levant doucement, elle allas regardée les paires de plus prés, puis les emballas, une à une dans un mouchoir couleur argent, puis pris sa pelle et sortis.

Jonathan ne semblait pas être dans le cimetière actuellement, car elle ne sentait qu'une vielle odeur de lui. S'enfonçant plus au nord dans le cimetière, elle arrivas devant un espace grillagée, fièrement décorait à la russe. Quatre tombes ornait cette espace clos, dont deux extrêmement proche. Et c'était ces deux tombes qui intéressait la fossoyeuse, car elle se mise à creusait devant elles, deux trous distincts. Plongeait dans son travail, elle était comme coupait du monde extérieur, ne s'arrêtant que lorsqu'elle atteignit les deux petites cercueils. La fossoyeuse les ouvrit avec délicatesse, même si leur contenu était vide. Enfin , plus pour longtemps, car elle glissas tendrement les deux paires dans leur cercueil respectifs, les refermant en leur adressant une dernière prière dans sa langue natale, et une dernière caresse familiale. Refermant les trous, elle s'autorisa enfin à pleurait ces sœurs disparu. Contrairement à son père, mort à la guerre, et a sa mère dont le corps avait été retrouvée, ceux de ces sœurs, avaient sombré dans les profondeurs de l'océan. Finalement, elle plantas une dernière fois la pelle en argent dans le sol, et s'assit dos à celle-ci, songeuse. Elle avait fossoyeuse pour pouvoir finir son travail familiale. Mais maintenant que c'était fait, qu'allait-elle faire de sa vie. Rentrait dans la meute, ou repartir arpentait les routes. Surtout qu'elle était enfin débarrassée de son mal. Soupirant, elle se grattas la nuque par pur réflexe et ronchonnas en se rappelant qu'elle ne devait pas y toucher.

Félicia était si songeuse et absorbée dans ses pensés qu'elle ne vit même pas Jonathan approcher. Il l'avait ramener chez elle et servi d'infirmier pendant son repos. Le soleil avait décliner depuis les quelques heures qui se sont passé et John fini par avoir faim. Il parti chasser plutôt et puisque le gibier est rare dans ce coins-ci de la forêt à cette période de l'année, trouver un bon cerf bien nourrissant fût quelque peu ardu. Mais, chasseurs déterminés et inlassables que sont les loups, il ne renonça pas tant qu'il n'eut pas trouver une proie adéquate... Ce qu'il fini par trouver.

Il revint près de Félicia nu et sous forme humaine, un cerf déjà éventé et étripé sur l'épaule. Elle devait être sacrément plongé dans ses penser pour que même l'alléchant parfum de viande rouge saignante et encore chaude ne la fasse point réagir. Elle n'avait peut-être pas faim. Indifférent, John laissa tomber le corps du cerf au sol et s'approcha de Félicia,. Alors qu'elle commençait à se gratter la nuque, il lui saisi fortement la main pour l'empêcher d'en faire d'avantage, le regard sévère mais un léger sourire en coin trahissant le tout.

-Il ne faut pas, les blessures causés par l'argent mettent du temps à guérir, il ne faut pas leur en demander encore plus...

Il la relâcha aussitôt et vint s'asseoir à même le sol à côté d'elle, n'ayant littéralement aucune gêne au sujet de sa totale nudité. Il admira les deux tombes jumelles tout comme Félicia le faisait.

- De la famille, n'est-ce pas?

Félicia sursautas en sentant une main agrippait la sienne alors qu'elle essayait de grattait sa nuque. Se retournant vivement, elle aperçus qu'il s'agissait seulement de Jonathan. Soupirant de soulagement, elle sourie à sa remontrance sur le fait qu'elle ne devait pas gratter sa plaie. Celui-ci était couvert de sang chaud, provenant surement du cerf qu'il venait de tuer. L'odeur du sang et de la viande chaude lui mirent soudain l'eau à la bouche, comme s'il n'avait pas mangeait depuis des lustres. Alors, si en plus il recouvrait le corps de son ami, qui avait déjà été son amant... Détournant la tête pour éviter de penser a se genre de choses, la belle regardas de nouveau les tombes, un sourire triste sur les lèvres lorsque Jonathan lui demandas si c'était des gens de sa famille. Hochant doucement la tête, Félicia fit ces présentations post mortem.

Mon père, ma mère, et mes deux petites sœurs, dont les corps se trouvent au fond de l'océan. La seule chose qui restées d'elle, c'était ces boucles d'oreilles... Merci de ne pas avoir détruite celle qui était coincée dans ma nuque.

La louve blanche laissas son ami s'assoir à ces côtés et posas sa tête sur son épaule, comme un louveteau cherchant du réconfort auprès de ces ainés. Malgré son ventre gargouillas à cause de l'odeur du sang, elle ne laissas rien paraitre, profitant simplement du silence environnant.

- Humm... Je comprend. Ont a tous passé par là chacun son...

Il allait terminer sa confession de compassion au sujet du deuil que beaucoup de Werewolfs portent au sujet de leurs familles, alors que subitement il tourna la tête sèchement vers l'est... Elle est là, la lune venait de se lever. La magnifique lune, marraine protectrice des loups. Et se soir est la première soirée de fièvre du mois...

Comme d'habitude, les werewolfs ressentent la fièvre comme si un éclair les traversaient de face à dos. Et c'est bel et bien le cas, un puissant frisson traversa John comme la balle de fusil grand calibre transperçant un corps de bord en bord. Ça frappe, puis un puissant frisson glace subitement le long de l'échine pour ensuite laisser une forte vague de chaleur enflammer le corps au complet. Il relâcha tout son souffle d'un seul long relâchement et secoua sa tête vivement, bataillant ses cheveux ainsi. Le désir argent pris possession de son corps en le temps de le dire et il y avait une louve à côté d'elle. Pauvre Félicia, à peine elle venait de commencer à régénérer que déjà, elle allait devoir subir les caprices bestiaux de John.

Sans laisser aucune chance ni opportunité à Felicia, il la pris avec possessivité et la retourna face à lui, les doigts dans les cheveux sur chaque flanc de la tête, il guida avec force sa tête vers la sienne pour l'embrasser fougueusement...

Félicia avait les yeux fermait lorsqu'une déflagration envahit son corps, moins violente que lorsqu'elle avait ces crises, mais belle et bien là. Une impressionnante bouffée de chaleur l'envahit, elle remplissant de désir. C'était une sensation qu'elle avait peu connu et pour cause, il s'agissait des fièvres lunaires. Elle pouvait sentir son corps réagir, la pointe de ces seins étaient déjà dur comme du marbre. Et apparemment, elle n'était pas la seule à réagir, elle pouvait sentir Jonathan se raidir auprès d'elle. Et avant qu'elle ne puisse réagir, le détective l'avait installer sur ces jambes, ces mains de chaque côtés de la tête, l'embrassant fougueusement. Des éclairs de désirs jaillirent dans le corps de la fossoyeuse à chaque caresses que leur langues effectuaient. Haletante, ces mains caressèrent le torse couvert de sang, et une douce envie la traversas. Couchant doucement le détective, elle coupas court à leur baiser et se mise à laper le sang recouvrant le corps de Jonathan, n'en laissant aucune goutte. Relevant la tête, elle regardas le détective avec ces yeux remplis de désirs.

Elle est tout aussi enivrer que lui par la fièvre, il n'y a aucune doute. Elle oublia subitement sa peine pour lui sauter dessus et elle se mit à lui lécher le corps jusqu'à lui retirer la moindre goute de sang de cerf. Son regard disais tout, elle le voulait et lui la voulait, alors pas une seconde à perdre. Il la tenait déjà dans ses bras, alors la soulever n'était pas un problème. Il l'amena à l'intérieur de la maison et la jeta presque négligemment sur son lit. Il se retourna pour fermer et verrouiller la large porte de bois de la cabane de Félicia, avant de relacher un puissant grognement et sauta directement sur le lit de cette dernière.

Il continua à l'embrasser goulument alors qu'il lui arrachait les vêtements directement de sur le dos, la dénudant en l'espace de quelques secondes. Elle était déjà très excité à en croire la fermeté de ses généreux seins, seins que John ne se gêna absolument pas de saisir avec force. Il continua à déguster ses douces lèvres pulpeuses avant de venir s'aventurer dans son cou, nez et lèvres en premières ligne d'assaut. Ce n'est qu'une question d'instant avant que le jeu ne s'embarse vraiment...

La louve blanche se laissas portait par le puissant détective, qui n'eus aucun mal à la transporter jusqu'à la maison de la fossoyeuse, et ceux malgré le fait qu'elle l'embrassait avec une fougue des plus puissante, ce qui aurait fait perdre la tête à n'importe quel homme. Le trajet fut rapide, et la belle fut rapidement jetait sur le lit, débarrassait de ces vêtements et prise d'assaut par ces lèvres qui la faisait tant frémir. Les mains de Jonathan se saisirent avec vigueur de ces seins, la faisant gémir de plaisir. La dernière fois, elle n'avait pas vraiment su lui donner du plaisir, alors cette fois, elle n'allait pas se prier. Souriant d'un air malin, la belle retournas brusquement son partenaire, se retrouvant au dessus de lui, mais en sens inverser. Autrement dit, la tête au dessus du sexe de Jonathan. Et celle de Jonathan sous le sien. Un air coquin sur le visage, la louve blanche, commenças doucement à caressait du bout de la langue le gland de son amant, soufflant dessus pour le titiller, le caressant du bout des lèvres, avant d'y aller plus franchement, le prenant en bouche et le suçant.

Ont ne peux pas dire que cette louve blanche n'est pas du genre entreprenante, ce qui va de pairs avec son caractère fort. Le revirer sur le dos était totalement de son initiative, mais aussitôt fait, le délice commença déjà. La sensation de la langues de la belle sur son gland et son souffle froid termina de solidifier le membre de John à son long maximum, et presque aussitôt, l'hypnotisante sensation de ses pulpeuses lèvres le fit grogner d'avantage. Il va sans dire, il venait de lui rendre le service d'une vie et apparemment cette dernière tenait à le récompenser dignement, ce en quoi elle réussissait très bien jusqu'à maintenant.

Gratuitement servi, John dégusta à son tour. Il laissa vagabonder ses baisers sur les douces et chaudes cuisses de la louve et laissa ensuite vagabonder sa langue près du sexe de cette dernière aux endroit qui rend folle de plaisir toutes femmes. Il devait et voulait la faire mouiller le plus possible, car il ne savait jamais jusqu'à quand il allait maitriser sa bestialité intérieure et une fois déchainer, il la prendra prête ou pas. Alors par un ultime respect envers son amie et seconde fois amante de nuit, il fit de son mieux pour la satisfaire au plus... Et humm, il n'a jamais perdu l'art de le faire, ont dirai bien...

Plusieurs minutes d'écroulements ainsi et finalement, John senti la bête affamé e chair féminine prendre le dessus. Il se retira en rampant sur le dos vers l'avant et se redressa assis, s'assurant que Félicia reste bien en place. Résultat, ils sont tous deux en place, Elle est chaude, bien positionnée et lui a le fer de lance prêt à l'assaut. Il lui saisi les hanches posséssivement et hop! En donnant un fort coup avant de hanches en même temps, il la pénétra de dos bien profondément. Il entama ainsi la danse voluptueusement assaisonné d'une légère fougue fortement animale, grognant de plaisir. Il la fit danser sur lui au rythme de sa cadence imposée mais qui semblait leur faire tant de bien à tout deux...

Félica s'activait pour donner le plus de plaisir à son amant, une certaine façon de lui remercie de l'avoir soulagée de son fardeau. D'ailleurs, ne lui avait elle pas dit un soir que le jour où elle serait délivrée, elle ferait l'amour à un homme, pour croquée de nouveau la vie à pleine dents! Un gémissement étouffé par le sexe de Jonathan lui échappas lorsqu'il commenças à laper sa source de plaisir avec avidité, ainsi que d'autre qui suivirent, lui faisant accélérait le rythme de sa fellation. Elle pouvait sentir le membre être au maximum de sa force et de sa puissance entre ces lèvres, prêt à la prendre. Se qui ne tardas pas. Elle pouvait sentir les mains du détective se crispait sur ces hanches, l'instant à s'assoir sur lui, la pénétrant ainsi de dos. Poussant un petit glapissement, la belle s'écarta doucement, embrassant passionnément son ami, qui pouvait avoir ainsi un très bon accès à ces seins. Les mouvements de bassin se faisaient plus passionnant, plus bestiale au fur et à mesure.

Il faut dire que cette louve blanche savait comment jouer la nymphe... Et ont ne peux pas dire non plus que John ne fais pas penser à un dieu guerrier de la Grèce antique ou des panthéons du nord. Elle se colla à lui, dos contre torse, créant ainsi un chaleureusement contact entre eux. La douce sensation de la peau satinée de la louve excita d'avantage le loup qui ne se priva aucunement d'en demander davantage. Tout en répondant langoureusement à ses baisers, il entoura les flancs de Félicia de ses bras et lui saisi ses seins bien fermes dû à son excitation. Une réaction des plus masculine, il en va de soit. Lorsque l'opportunité de profiter de la fine fleur de la féminité d'une femme se point, la laisser filer deviens presque criminel, surtout en pleine fièvre.

Il continua à savourer les bonté du corps de Félicia, son mouvement bestiale dansant en cadence avec le siens, le doux parfum tombant de la pointe de ses cheveux couleur neige, la tendresse de ses lèvres et e son cou... Jusqu'à ce que finalement, l'étincelle de domination dans l'âme de John remit le feu aux poudres. Il la repoussa vivement à quatre pattes sur son propre lit, quitte à se libérer d'elle une instant pour se replacer et la reprendre en levrette. Ses vilaines pattes sur les hanches à nouveau, il la chevaucha sauvagement bien droit et au panache fier, contradictoirement à la lueur animale qui enflammait ses yeux. Non mais qu'est-ce que c'est bon!

La fossoyeuse restas ainsi collée au détective, l'embrassant avec passion, baiser entrecoupait de glapissements de plaisir. Ces mouvements bassin se faisait tantôt rapide et puissant, tantôt doux et langoureux, mettant au supplice sous partenaire qui pressait ces seins pour l'incitait à recommençait sa course au plaisir. Mais elle put rapidement sentir l'instinct animal envahir de nouveau son compagnon de jeu et celui-ci l'incita à se mettre à quatre pattes, pour la prendre fougueusement en levrette. Cambrait, la louve blanche laissait le mâle prendre possession, totalement soumise à lui. Ces gémissements se firent plus animal, chose qui semblait plaire au fière détective. Ces mains serraient fermement ces hanches, à la limite de la douleurs pour Félicia, mais d'une certaine façon, c'était agréable. Le corps luisant d'une fine couche de sueur, sa peau pâle de Russe ressortait plus que d'habitude, et ces cheveux prenait une légère teinte argentée à la leur de la lune, donnant l'impression qu'il s'agissait d'une de ces déesse du grand Nord.

Les gémissement de plaisirs des deux loups ainsi que le claquement rapide et résonnant des hanches du grand loup contre les fesses bien rondes de la louve blanche faisaient symphonie dans la cabane. Il étaient tout deux en transe de pure bestialité, cela ne faisait aucune doute. John, totalement subjuguer par son momentum, Senti que ce n'était qu'une question de minutes avant qu'il ne vienne. il avait bien apprécier ces quelques instants de majesté, mais il voulait autre chose. Il voulait jouir en elle, avec elle, dans un bon synchronisme, il laissa son instinct le dicter encore une fois pour la meilleure des finales et fini par trouver...

Il sorti d'elle pour la seconde après lui avoir procurer encore une bonne vague de plaisir torride et la retourna sur le dos. Pour la troisième fois, il ne lui laissa que très peu de temps pour souffler, car il se replaça entre ses cuisses bien écarter et empoigna ses seins une dernière fois pour la coller au lit sans possibilité de résistance. Il se remit avec bonne joie à la tâche et donna le maximum. à ce stade, leurs gémissements devenaient des cris de pur bonheur. Il allait venir sous peu, dans un dernier geste instinctif, il saisi la gorge de la jolie louve avec fermetés sans toutefois l'étrangler pour la forcer à le regarder dans les yeux quand il entrera en ultime déchainement de jouissance...

Félicia sentait qu'elle n'allait pas tarder à venir, son corps était en feu , ces cris étaient emmêles à ceux de son amant, ces mains étaient crispées sur les draps de son lit. Mais elle put rapidement sentir le détective sortir d'elle, en avait il assez? Pas le moindre du monde. En effet, celui-ci la retournas pour qu'elle allongeait dos au lit, lui au dessus d'elle, la pénétrant de nouveau, de cette façon bestial qui lui allait si bien. Ces seins étaient de nouveau emprisonnaient par les mains avides de Jonathan, mains qui se déplacèrent jusqu'à son cou, la forçant à le regardait dans les mains. Les mains de la louve enlaçant le dos du puissant mâle, elle plongeas son regard dans celui de l'homme qui lui faisait l'amour avec passion et fougue, se perdant dans ces yeux rappelant le ciel. Soudain, une décharge de plaisir l'envahit, la traversant comme un éclair traversant les nuages. Criant d'extase, la belle se cambras sous le détective, enlaçant brusquement ces jambes autour de son bassin, ne voulant pas qu'il la quitte dans un pareil moment.

Elle vint juste avant lui, la dernière vision d'elle se courbant sous lui, criant de plaisir et enlaçant son amant de la nuit de ses douces jambes autour de ses fortes hanches donne le coup de fouet motivateur final.

Il donna toue le jus qui lui restait dans une transe 100% animale, fixant intensément d'un regard intense les doux yeux couleur miel doré de la louve blanche. Encore un peu, ce ne sera pas long... Et ça y est, l'éclair de pur plaisir le traversa à son tour. Tout comme elle, il courba le dos vers l'arrière, redressant la tête pour fier le plafond, cheveux collé à sa peau baignée de sueur et donnant une vision des plus intéressante à Félicia. Encore quelques petit battement pour terminer de se déverser en elle, question de ne rien oublier et il se laissa mollement retomber à quatre pattes sur la louve, sans trop l'écraser. Il était très bien dans sa position actuelle, il n'osa donc pas sen libérer immédiatement. Le moment était venu de remercier Félicia convenablement pour ce moment unique et magique, alors il frotta son cou contre le sien, sur le même principe que deux canins manifestant leur appréciation. Il en profita pour embrasser le doux cou de la belle avant de rediriger ses lèvres sur les siennes, l'embrassant plus tendrement cette fis que dans le feu de l'action. Inutiles sont les paroles alors que les gestes disent tout...

Félicia put rapidement sentir son amant venir en elle, quelques secondes après elle. Elle put avoir alors une vision qu'elle n'avait pas eu la dernière fois. Un corps sublime, luisant de sueur, le mettant amplement en valeur, jusqu'à se qu'il s'allonge sur elle, tout aussi épuisé qu'elle. La belle louve souris doucement, appréciant pleinement se moment de tendresse, frottant elle aussi son visage contre le sien, avant de prendre par au baiser, caressant doucement les temps du détectives du bouts des doigts. Elle ne savait pas combien de temps avait durait cette partie de plaisir, mais d'une certaine façon, elle s'en moquait complètement. Ces sœurs reposaient enfin en paix, et elle était débarrassée de son mal. Tout allait pour le mieux et irait pour le mieux pendant un bon moment. Retournant doucement Jonathan sous elle, la louve blanche posas sa tête sur son torse, à moitié couchée sur lui, continuant doucement de l'embrassait, restant collée l'un a l'autre comme deux loups se réchauffant. Son vieux poêle chauffait doucement, elle ne devrait pas tarder a rentrer du bois, sinon le feu risqueraient de s'éteindre. Et pourtant, elle n'avait aucune envie de bouger, juste de rester là, allongée au côté de l'homme à la carrure de dieu Nordique.

Après un tel combat, le désir soudain de relaxer est tout ce qu'il y a de plus normal. Perdu dans ses songes, il senti la belle louve se poser tête contre son puissant torse. Il n'eut pas le désir ni la force d ela repousser, il était très bien en ce moment, au chaud collé contre une spécimen féminin des plus voluptueux dans le lit de cette dernière. Le four à bois allait bientôt manquer de combustible, mais quelle différence? Les deux loups ont jouer aux jambes en l'air assez longtemps et intensivement que la cabane restera chaude toute la nuit et peut-être plus. Ils peuvent bien rester là et relaxer après une lutte aussi acharnée, n'est-ce pas?

Le grand loup faufila son bras autours des hanches en saisissant la fesse de Félicia, fourra son nez dans les doux cheveux de cette dernière et se détendit complètement. Ça a été une belle soirée, et demain en sera la suite. Mais pour l'heure, il sentait ses yeux se fermer. Il doit être quoi, tôt dans les petites heures du matin, qu'importe... Un petit dodo ne serai pas de refus, Quitte à en oublier l'heure, le lieu, même la carcasse de cerf qui attend dehors... Bah, les fauves du coin s'en régalerons...

(Sujet Terminé)

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