Un curieux client! (P.V Gabrièl/Jonathan.) Terminé!

La nuit était jeune, il devait être aux environs de 21h. Il faisait beau et le ciel était dégagé. Une très belle nuit en perspective. Les rues étaient presque désertes, à l'exception des quelques marginaux ou travailleurs de nuits allant et venant selon leurs envies ou occupations. C'était par cette nuit claire, après s'être nourri, que Gabrièl décida qu'il était temps pour lui d'aller en ville pour régler quelques affaires. Aurora n'était pas encore assez familiarisée avec l'ère moderne pour comprendre correctement comment payer les comptes, il avait prit sur lui de s'en occuper. De toute manière son amie avait besoin de très peu pour être heureuse, c'était surtout pour aller avec le flot du temps. Voyageant à la vitesse surnaturelle qui était si habituelle aux vampires et aux loups garous, il cherchait un lieu précis.

Ses contacts lui avaient parlé d'un Loup garou qui travaillait comme détective privé et que aucuns cas ne résistait. Voulant voir si ce qu'il cherchait existait encore avant de faire la commission aux entreprises locales capables de recréer un tel lieu, il ce dit qu'un être d'un certain âge pourrait lui être utile, surtout s'il connaissait cette ville mieux que lui, ce qui n'était pas tellement difficile, vu que jusqu'à tout récemment il était un éternel vagabond. Une fois assuré par l'odeur musqué qu'il était au bon endroit, il monta les escaliers à un pas de mortel, puis cogna à la porte comme un être civilisé, puis attendit la réponse.

Jonathan montait les escalier de son appartement au pas de course en terminant d'attacher ses boutons de veste. Il venait de sortir de la douche et terminer de se raser et s'habiller, il faut être présentable pour un client. Arriver devant son bureau, il appuya sur un bouton d'activation de l'intercom depuis son téléphone de bureau. Le téléphone était relier à une troisième ligne relier jusqu'à un intercom à l'entrée. La porte était vérouilles par un système de verroux à barre de fer se déverouillant à distance. Les fenêtres étaient également formement protéger et la fondation même de ce lieu était robuste. construit par des juifs réfugier pendant la seconde guerre mondiale, ils n'ont absolument rien négliger question sécurité... Mais rendu là, ont pourrai plutôt dire fortification...

Le détective jetta un coup d'oeil sur un écrant sur bureau, relié a une caméra pointé sur l'entrée. Des vêtements s'y tiennes debout, mais dans le vide! Un vampire, cela semble évident! Cela faisait un bail qu'il n'avais pas eut de client parme les ruches... Prudence est de mise, mais il n'allait tout de même pas tourner le dos a son gagne-pain. Il appuya sur le bouton d'activation d el'intercom pour parler à travers ce dernier à son éventuel client.

- Investigation Lestage, bonsoir monsieur. Vous venez pour une demande d'enquête?

un bouton de réponse se trouvait juste en dessous de l'intercom extérieur, pour que ce dernier puisse lui répondre.

Gabrièl fût légèrement surpris par le bruit de l'intercom. Il avait beau être au courant de la technologie moderne, mais cela ne voulait pas dire pour autant qu'il était un expert! Prenant une petite minute avant de trouver le bouton pour envoyer son message, il y posa son doigt et pesa avec le moins de force possible. Cela ne ferait pas bon effet du tout! Une fois assuré qu'il ne briserait rien par accident, il s'éclaircit la voix et répondit d'une voix calme et polie:

-Bonsoir à vous aussi monsieur. Oui, en effet, je suis ici pour déposer une demande d'enquête. Pourrais-je entrer je vous prie?

En fait, il aurait été bien à mal de s'introduire par infraction! Les vampires faisaient de bien piètre cambrioleurs! Incapables d'entrer dans un domicile privé sans la permission d'un des habitants! Il n'était certes pas le plus âgé de sa race, mais pourtant malgré son âge respectable, il n'avait jamais trouvé réponse aux limitations des morts vivants qu'ils étaient. Et devenir un cobaille dans une unité scientifique ne le tentait guère, de là sa résignation à ses limites.

- Bien sur. La porte de mon bureau est la seconde à votre droite dans le couloir principal. Entrer s'y volontier, je vous s'y attend.

Et il arrêta l'intercom pour appuyer sur le bouton de dé-verrou de la porte. Il la tin appuyer un bon moment le temps que ce dernier l'ouvre. La sonnette était là pour ça...

Pendant ce temps, John glissa sa main dans son tiroir pour vérifier si son pistolet Teaser y est bien encore et c'est le ca.s Il referma donc le tiroir et s'assit a son bureau. Alors là, l'odeur typique au vampire, ce léger parfum de putréfaction avorté... Ont peut pas dire que de l'eau de Cologne ne leur ferai de tort. Mais ça, c'est un commentaire de werewolf à l'odorat un peu trop fine parfois.

Décontracte, il ne se gêna pas de s'asseoir bien confortablement dans son fauteuil de bureau. Si se Vampire avait rusé pour entrer et s'en prendre au résident, il allait avoir une sacré surprise de se rendre compte que le résident a beaucoup de... Poil de la bête. Enfin, il y a de créatures de la nuit comme il y a des hommes. D'ici quelques secondes, se sera le moment de vérité...

Gabrièl entra une fois l'autorisation donné. Il ce dirigea alors vers le bureau avec un pas normal et une démarche confidente. Il n'était pas le moins du monde nerveux. Pourquoi le serait il? Ce n'était pas comme s'il avait de mauvaises intentions ou que le propriétaire des lieux en avaient! Si tout ce passait bien, cette affaire irait comme sur des roulettes. Une fois devant la porte désignée, il frappa 3 fois, puis entra sans autres préambules. Ses longs cheveux couleur corbeau bougèrent au rythme de ses mouvements, puis il décida d'attendre l'autorisation de refermer la porte et de s'asseoir. Généralement les loups garous et les vampires préféraient se tenir loin l'un des autres, certains étaient même complètement paranoïaques! Et d'autres, tout simplement timbré...en fait, il y avait des créatures de la nuit comme il y a des hommes...tout le monde était différent.

Il darda ses yeux noirs non cernés-preuve qu'il était rassasié- sur le maître des lieux et l'observa un moment que par simple curiosité. Puis, il étendit son bras droit vers le détective, avec l'intention de lui offrir une poignée de main. Avec un léger sourire en coin, il déclara avec amusement:

- Oserez vous me serrer la main ou avez vous peur que je morde? Soyez rassuré, j'ai très bien mangé et mon régime me défends le sang de Werewolf. Je me nomme Gabrièl Fitzroy, enchanté.

C'était plus fort que lui. Il avait eu envie de laisser tomber une petite farce pour détendre l'atmosphère, il ne restait plus qu'à voir ce qui ce passerais ensuite....

L'odeur n'était pas si désagréable que ça même au seins de son bureau, en fin de compte. Il pu finalement analyser son interlocuteur, cheveux noirs long et lisse, yeux noirs, attitude maitre-de-lui, bien alors! Il fit sa présentation quelque-peu.. Originale. le werewolf fit un léger sourire en coins en se levant et lui serra la main d'une bonne poigne, sans être trop fort bien sur. il ne faut pas être brusque et faire mauvaise impression envers un nouveau client.

- Oh rassurez-vous, le premier qui essayera de me mordre, peu importe qui il soit, aura naturellement beaucoup de mal à me digérer. Jonathan Lestage, bienvenue! Asseyez-vous je vous pris...

Ont peut dire que c'est un réflexe naturel. John a toujours été naturellement porté à répliquer avec un humour quelque peu intimidant. Déformation professionnelle, ont peut dire. Il attendit que son client soit assis sur une des deux chaises en face d eosn bureau avant de s'asseoir à son tour derrière ce dernier. Il activa quelque chose sur son bureau, un petit gadget en forte de briquet de matin plaqué acier... Un brouilleur d'onde. Ce petit objet, pourtant illégal, interceptait toute ondes dans la pièce, que se soit celle de cellulaire ou de micros cachés...

- Puisque nous sommes tout les deux des créatures de la nuit, nous nous devons de faire preuve de beaucoup de prudence. Avant de commencer, je dois vous faire savoir quelques points. J'accepte de travailler publiquement en général, mais je refuse catégoriquement tout contrats impliquant un membre de la meute locale, peu importe qui soit-il. Je garde bien entendu le secret professionnel envers mes clients s'il ne sont pas hostiles aux miens, mais je peux mettre fin a toute entente si je le juge bon de le faire, n'importe quand. Sinon, si vous but ne sont pas en conflits avec les miens, et bien je tiendrai mes engagement jusqu'au bout. Cela vous conviens-il? Si oui, comment puis-je vous aider, monsieur Fitzroy?

Fitzroy... Un nom britannique, John en metterai la main au feu...

Gabrièl s'assied lorsque le maître des lieux l'invita. Ayant encore quelques vieuxs réflexes d'humains, il ajusta ses vêtements et s'éclaircit la gorge après s'être légèrement gratté le menton. Il roula des épaules pour être mieux dans son blouson, puis une fois ajusté, il répondit:

- Je comprends parfaitement Monsieur et je respecterai notre entente et vos critères. Si tout ce passe comme je le souhaite, votre meute ne sera pas du tout incluse dans l'affaire, sinon un peu Miss Félicia Faust. Voyez vous, j'ai près de 900 ans et j'ai fait un peu de tout dans ma longue vie. Chose encore plus rare, je suis indépendant, je n'appartient à aucuns clans. Du temps des rois de France, de Louis XIII à Louis XVIII j'ai joué aux espions et aussi au maître d'armes. J'ai en ma possession une rapière fabriquée par l'ancêtre de Miss Faust et qui porte les armoiries de Louis XIV. Malgré le fait que j'en ai pris bien soin, le temps commence à être dur sur mon épée. Voyez vous, elle fût forgée pour être utilisée par un vampire et pour pourfendre mes ennemis, humains ou créatures de la nuit. Mais dans son état actuel, elle risque de ce briser si je me heurte à un vampire moyennement fort ou bien à d'autres créatures capables de me défier.

Je ne suis pas vantard, mais même si je ne suis pas un ancien, je suis doté d'une force très considérable et d'une vitesse supérieure à tout ceux de ma race. De là l'implication de Miss Faust. Elle possède les talents requis pour remettre ma rapière en état, mais pour cela, il lui faudrait une forge antique et tout les outils nécessaire. Je suis un grand voyageur et je me suis arrêté ici pour un temps il n'y a que très peu de temps. J'ignore donc si un tel établissement existe toujours. C'est ici que votre aide me serais précieuse. J'aurais besoin que vous enquêter et tenter de trouver une telle forge, sinon, bien me référer à des professionnels qui seraient capables de reconstruire une forge. L'argent n'est pas un problème, j'ai suffisamment joué aux flibustiers, corsaires et pirates il y a quelques siècles pour me faire un sacré magot, par contre la devise est dépassée! Je n'ai sur moi que de l'or espagnol et le marché noir local...hé bien, disons que j'évite d'attiser leurs envies. Je ne crains pas une bande d'humains corrompus, mais ma colocataire n'est pas invulnérable. Je change donc mon or en devise courante peu à peu... c'est le gros de l'histoire. Qu'en dites vous?

Termina t-il. Il n'était pas vraiment nerveux, mais il espérait vraiment que le détective accepte de l'aider. Être obligatoirement nocturne avait plusieurs désavantages dans la société de nos jours!

Ça, c'est ce qu'on appelle être détaillé. Aucun bref peut-être, mais dans le métier d'investigateur privé, vouloir être bref signifie manquer de professionnalisme. Chaque petit détail peut avoir une grande importance, ainsi il faut patience, écoute et surtout savoir laisser le client s'exprimer totalement, sans rien bousculer ni ralentir.

Au final, il détourna le sujet plusieurs fois certes avec ses histoires de piraterie, d'or espagnol et de marché noir ont John n'y compris que la moitié... Mais il y songera plus tard, l'importance actuelle était le contrat. En clair, il voulait reforger une rapière ancienne venant de la France de Louis XIV, il connaissait les talent d'artisane de leur connaissance et amie commune, cette chère Félicia Faust, et cherchait aussi une forge d'époque pouvant permettre à Félicia de faire son travail adéquatement. Il va sans dire, ce ne sera pas dans l'immédiat que cela sera fait, mais c'est bien faisable. Une membre de la meute est concernée, mais il s'agit d'une bonne amie et sans aucun risque visible à sa vie ni problème envers la meute. Tout semblait bien en ordre...

- Vous avez-votre homme, monsieur Fitzroy. Je charge le paiement à l'heure, ainsi je commencerai demain matin dès 6h, J'irai voir ma bonne amie qui est aussi la vôtre, cette chère Félicia Faust et lui demander conseil au niveau du matériel. Une fois cela fait, je fouillerai l'état de fond en comble s'il le faut pour vous trouver une forge adéquate, quitte à la trouver dans les milieux ruraux les plus reculer. Je vous tiendrez au courant et je vous laisse ma carte...

Il prit une de ses cartes d'affaire soigneuse placée en pile sur son bureau pour la lui tendre.

- S'il y a quoi que se soit que vous voulez me faire savoir pour améliorer notre recherche, n'hésitez pas.

Gabrièl afficha une mine satisfaite. Le détective allait prendre l'affaire! Dans un laps de temps raisonnable, il devrait obtenir des résultats! Il écouta attentivement les derniers détails sur les méthodes de travail du loup garou et hocha la tête positivement tout en prenant la carte et la rangea dans une poche de sa veste. Il fouina dans une autre poche intérieure, puis en ressortit une bourse ancienne en peau d'animal et la laissa tomber sur le bureau, produisant un bruit sourd et de pièces s'entrechoquant. Il dit donc au détective:

- Il y a dans cette bourse environ 1000 pièces d'or espagnol. J'ignore comment cela donne dans la devise actuelle mais cela devrait couvrir vos dépenses et vos honoraires pour un moment. Malheureusement je n'ai pas encore le téléphone! Être un vampire sans serviteur est un peu désavantageux, mais pour me trouver il vous suffit d'aller au vieux phare abandonné. Je partage le ''logement'' avec une fée nommée Aurora. Généralement elle n'aime pas être diurne, mais contrairement à moi, elle n'est pas morte durant le jour! Dès le coucher du soleil je me réveille et généralement une heure ou deux après le coucher du soleil je reviens de ma chasse quotidienne, c'est le meilleur temps pour me rencontrer.

Le simple vue de cette bourse était étrange, mais le son d'un métal s'entrechoquant mit enfin la puce à l'oreille que John attendait. Il avait donc dit bien vrai, du véritable or espagnol? Alors là, voilà qui est étrange. Ayant vécu près des amérindiens du nord de l'Amérique pendant quelques années étant habitué a troqué ses services contre bien des choses, il avait connu des des moyens de se fair epayer... Avec avec 1000 pièces d'or, John sentait que la fonderie locale lui devra un sérieux chèque. Le marché en vaux l'affaire.

Il allait prendre une gorgé dans un bouteille d,eau fraichement débouché, mais la simple entente du nom d'Aurora lui fit avaler une gorgée de travers et manqua de s'étouffer. Quoi, il habite dans le même phare qu'Aurora, la mystérieuse mais charmante et gentille fée qui lui offrit le gite... Et partagea son lit, de bon coeur après un léger service rendu? Le monde est-il vraiment aussi petit, comme le dit l'adage?

- Quoi, vous... Vous êtes le co-locataire d'Aurora, la fée de la nuit... Mais... C'est une amie à moi aussi.

Gabrièl haussa un sourcil lorsque le détective s'étouffa avec une gorgée d'eau et ce retint de rigoler. Donc Aurora était aussi une amie commune? Hé bien! comme quoi un vampire et un Loup Garou pouvaient avoir le même genre de fréquentations! Il décida de répondre:

Hé bien c'est tout récent. J'ai ''emménagé'' il y a quelques jours. Pour faire une longue histoire courte, je chassais un cerf dans un coin de la forêt tout en envisageant un nouveau refuge où les enfants qui sèchent les cours ne pourront plus venir me cambrioler durant le jour et j'ai senti son odeur. Curieux, je suis aller voir et nous sommes vite devenu amis. Sa présence me change de ma sempiternelle solitude et moi je l'aide à mieux comprendre le monde moderne. Vous auriez du voir son visage s'illuminer lorsque je lui ai offert une nouvelle robe! On aurait dit un enfant à noël!

enfin bon, pour en revenir à nos moutons, si vous la connaissez, vous saurez facilement comment me trouver! Ahh aussi si vous pourriez me référé à une personne fiable qui pourrait faire entrer l'électricité, le câble et le téléphone au phare cela m'aiderait beaucoup! Malheureusement ces services ne sont pas offert de nuit!

Beaucoup de mots, cela va sans dire. Ce monsieur Fitzroy n'a pas la langue dans la poche, c'est certain. Malgré sa grande parlote, il fit glisser quelques information étanchant sa curiosité au sujet de lui et Aurora et en plus, une nouvelle occasion de remplir un nouveau contrat. Dans le domaine du privé, toute opportunité est bonne à prendre et parfois faire profil bas vous sauve la vie.

- Trouver de bons spécialiste de ces domaine n'est pas un problème, je pourrai superviser le tout pour vous, mais tout ça va exiger un autre contrat et une autre payement... Mais chaque chose en son temps. Je me met à la tâche dès se soir. Alors sur ce monsieur Fitzroy... Est-ce tout?

Il faut bien terminer pour commencer et commencer pour terminer, après tout. Non pas qu'il voulait être discourtois et lui demander de partir, mais le travail n'attend pas, comme se dise beaucoup familier au jargon professionnel. Trouver une forge antique ne sera pas de tout repos, il va devoir se déplacer régulièrement, sûrement devoir creuser, interroger bien des gens, tout cela s'annonce devoir pendre du temps. Il espérait que son client soit patient, mais la patience est généralement une qualité que beaucoup d'immortel partageait après ne plus être affecté par le passage du temps...

Gabrièl réalisa assez rapidement qu'il avait laissé sa nature de conteur prendre le dessus. Il y avait longtemps qu'il n'avait pas pu discuter longuement avec d'autres personnes. Bien entendu Aurora discutait, mais parler avec un autre homme était aussi rafraîchissant. Mémorisant son offre de s'occuper aussi de faire installer le téléphone, le câble et l'électricité de nouveau dans le vieux phare mais il n'avait plus un sous en poche pour le moment, il allait devoir aller ce stocker à l'une de ses planques, où l'or espagnol reposait. Il ce leva donc, arrangea ses vêtements et répondit:

- Oui, c'est tout pour le moment. Pardonnez ma trop grande loquacité Monsieur Lestage, il y a longtemps que je n'avais pas échangé une discussion courtoise avec un autre homme. Généralement les hommes, peu importe l'espèce, semble préférer tenter de mettre fin à mes nuits plutôt que de socialiser! Pour ce qui est de l'autre contrat, je vous recontacterai sous peu. Merci beaucoup pour votre temps.

Termina t-il d'un ton courtois tout en tendant à nouveau son bras droit pour une autre poignée de main.

Lorsque le client se lève, la courtoisie veux que John se lève lui aussi pour serrer la main adéquatement, ce qu'il fit d'une forte poigne dignement professionnelle. Il ne fit pas de commentaire au sujet que ce dernier était très bavard, l'immortalité n'est pas naturelle après tout et chose tracas comme changement dans le comportement d'un individu devenue créature.

- Je m'y met dès demain matin à la première heure. Je dois aller consulter ma consœur de meute Félicia Faust avant toute chose, ma recherche en sera que mieux guidée. Sur ce, je vous souhaite la bonne soirée monsieur Fitsroy.

Et il l'accompagna jusqu'à la porte pour la lui ouvrir. À nouveau seul, il pu commencer ses recherches. Il allait décrocher son téléphone de bureau mais il se souvint que Félicia n'avait peut-être pas le téléphone et que son numéro n'était sûrement pas dans le bottin téléphonique. Tant pis, il raccrocha et ferma les lumières ans son bureau, il ira en personne demain. Pour l'heure, il devait prendre un repos. Cette affaire semblait être des plus longues...