Quand la soif prend le dessus [P.V Gabrièl] [Avertissement: Propos Sexuel]

Faëry, modératrice Messages : 264 Date d'inscription : 07/04/2010 Age : 38

Qu'avait-elle encore fait pour mérité cela? Elle en avait aucune idée. Seulement, elle avait recu une demande de la part de la propriétaire de "Poussière Lunaire" pour reviser certaine paperasse. Seulement, il semblerait que cela ne pouvait attendre à demain. Soupirant, elle marchait lentement dans les ruelles éclairés avant d'ouvrir la porte du Cybercafé. Ses talons aiguilles bleus nuits résonnèrent sur l'entrée de marbre blanc avant qu'elle grimpe les quelques marches qui la séparait de l'imense salle remplit d'ordinateur, de table ainsi que du comptoir avec des tabourets. Heureusement, Cassiandre se trouvait là, souriante et visiblement heureuse de me voir:

-Evelyne, ma sauveuse! Je suis vraiment désolé de t'appeler si tard pour cela. Mais ta secrétaire m'a dit que tu ne serais pas disponible avant cette heure-ci alors... désolé...

-Ce n'est pas ta faute Cassiandre... Alors, ces paperassses?

-Dans mon bureau... Vas-y je te prépare ta boisson préféré...sa ne sera tardé.

Tandis que Cassiandre s'afférait derrière les machines, je me dirigais lentement vers l'autre escalier qui menait sur un couloir remplit de cadre avec des couleurs vivantes. Plusieurs portes numérotés qui sont des salles pour des discussions de groupe ou réunion privé, tout dépendant du nombre de personnes mais ce n'était pas ce qui intéressait Evelyne. Elle monta de nouveau l'escalier au fond du couloir et arriva devant la porte de l'office du Poussière Lunaire. Elle ouvrit la porte et alla s'installer sur la chaise confortable du bureau et alluma l'ordinateur. Elle en profita pour enlever sa veste de jeans, laissant entrevoir son bustier jaune puis elle croisa les jambes sous le bureau avant de tirer le clavier vers elle. Ses cheveux légèrement frisés n'était pas attachés mais bien libre. Quelques secondes plutard, Cassiandre entra en trombe dans le bureau avec un eau pétillante au gout fruité:

-Voilà, comme tu l'aimes. Oh, j'ai oublié, tu as un visiteur. Je le laisse entré?

Avant même que je puisse dire non, car j'avais vraiment hâte de finir cette paperasse, je voyais Gabrièl dans l'embrassure de la porte. Je lui souris.

-Bien, je vais vous laissez seule alors...

Puis elle quitta tout en souriant à Gabrièl puis elle referma la porte derrière elle. Puis je demanda à Gabrièl:

-Que me vaut l'honneur de ta visite? Il est rare que l'on se croise deux nuits d'affilés...

Gabrièl avait exactement fait ce qu'il c'était dit la nuit de la première attaque de W.A.N au port, près du bateau de son amie Evelyne. Il avait re localisé son terrain de chasse dans le district où la plupart des Faërys s'étaient établis. W.A.N ne démordait pas, il chassait au moins une équipe de chasseurs à chaque deux soirées! Ces bougres étaient intelligents, ils tentaient des percées un peu partout, mais Gabrièl ne manquait pas de ressources non plus! Il avait payé quelques visites à de jeunes vampires traînant dans les environs à la recherche de proies faciles. Après les avoir tabassés correctement, il leurs offraient de travailler pour lui temporairement ou bien de mourir définitivement. Fitzroy avait éliminé sans remords tout ceux et celles ayant décliner son offre. Il considérait maintenant la possibilité d'aller voir Lestage pour contracter les services de la meute locale de loups-garous pour une surveillance diurne. Bientôt W.A.N allait devenir plus désespéré et frapperait lorsque les vampires ne pourraient pas protéger le district! Bien entendu, Fitzroy avait tenu tout ça mort! si les ruches environnantes apprenaient qu'il jouait sur leurs territoires ou s,il envisageait de créer sa propre ruche, il aurait les anciens au cul et ce n'était pas une situation idéale! Décidé de renseigner Evy au moins sur la situation, il décida de la traquer, quoi que son glamour rendait la chose difficile, mais pas impossible, surtout pour lui qui était habitué à son odeur distinctive.

Il la traqua ce soir jusqu'à ce web café. Ce qu'il avait appris pour différencier une fée en glamour d'un humain? Un humain sens toujours quelque chose et souvent, un glamour est tellement efficace qu'il efface même les traces d'odeurs personnelles, ce qui laissait un trou dans les sens supérieurs des vampires et des loups garous. Mais rares étaient les immortels réalisant cette faille. Lui même venait de la réaliser que tout dernièrement. Une fois à l'intérieur de la bâtisse, il demanda poliment à rencontrer Evelyne et lorsque l'employée le conduisit jusqu'à un bureau coquet et le fit entrer, il fut content de voir Evy en un seul morceau. Il s'avança et s'assied à une chaise en face d'elle et commença:

- Je sais, généralement je ne flâne pas souvent dans les environs, j'ai toujours été un peu nerveux en la présence de créatures capables de faire de la magie capable de blesser un vampire, mais certaines choses ce sont produites et m'ont incité à changer de terrain de chasse. Je vais aller droit au but car je te dois bien ça. W.A.N te veux. Elle te veux toi et toutes les Faërys que ses employés pourront rafler. Cela fait trois semaines que je chasse dans le district et mes associés et moi nous nous débarrassons d'au moins une équipe de chasseurs à chaque deux soirs. J'ai tout d'abord pris la protection du district en main seul mais bien vite j'ai réalisé que je serais vite dépassé.

J'ai donc traquer tout les vampires qui trainent aux alentours et je les ai tabasser jusqu'à ce qu'ils acceptent de travailler pour moi. J'ai éliminé sans pitié tout ceux qui ont refuser. Mais cela ne peux pas continuer, bien vite W.A.N tenteront des attaques en plein jour pendant qu'on sera en stase. J'ai envisagé faire affaire avec la meute locale de Werewolfs pour une garde diurne, mais je me suis dis qu'il valait mieux que je te mette au courant pour que tu agisses aussi de ton côté. Je suis navré de ne pas avoir venu te voir avec ça plus tôt, mais je viens tout juste de trouver une méthode de comment te traquer malgré ton glamour. En fait, j'ai trouvé au lever du soleil ce matin, alors j'ai filé en sécurité. En plus, je dois jouer mes cartes très près de ma veste comme l'expression le dit. Si les Anciens vampires apprennent mes actes, ils voudront m'éliminer vu que je joue avec les ressources de leurs ruches ou ils croiront que j'essaie d'en créer une. Donc, il faut vite régler ça. Je suis fort oui, mais même moi je ne serai pas capable de vaincre tout les Anciens seul!

Termina t-il on ne peux plus sérieusement.

Faëry, modératrice Messages : 264 Date d'inscription : 07/04/2010 Age : 38

Et bien, C’était une chose auquel je ne m’attendais pas. Certe, on avait un lien d’amitié assez fort même si nous avions pas le loisir de nous voir souvent. Mais pour qu’il se déplace pour venir me tenir au courant de ses derniers agissements étaient une marque d’affection auquelje ne m’attendais pas du tout de sa part. Non pas qu’il est égoisse. Mais vous voyez beaucoup de gens qui risquerait leur vie, qu’elle soit réelle ou tout simplement donné par une transformation quelconque, pour une fée ? Nous sommes un véritable plat délicieux pour eux. Notre sang n’est rien comparable à ce que le sang d’un humain ou d’un animal peuvent leur procurer. Une véritable frénisie tout simplement. Mais toujours est-il qu’il faut réussir à l’avoir. Toute fois, je savais Gabrièl assez gentlemen pour cela. J’étais prête à parier qu’il s’était abreuvé avant de venir. Et c’est bien l’un des seuls vampires que je connaisse qui est capable de résisté à mon glamour aussi longtemps.

Bref, j’avais déposé les papiers sur le bureau pour me lever et ensuite aller m’asseoir sur le devant du bureau tout en regardant Gabrièl droit dans les yeux. Il semblait paniquer, apeurer ? J’en doute mais il semblait n’apprécier guère ce qu’il me racontait. Et je le conçois, je ne l’appréciais pas beaucoup mais je me devais me rendre à l’évidence, mon peuple n’était plus protégé par cette entente mais maintenant le point de mire de cette organisation. Qui les avait incité ? Que sont les informations qu’ils détiennent et surtout, qu’elle est le bon choix à faire ?

D’un seul coup, je devins inquiète. Comment ne pourrais-je pas l’être, la sécurité de mon peuple en dépendait. Puis, je me sortie de cette torpeur et reprit vie. J’ai survécu mille ans, je suis la dirigeante et surtout, ils n’arriveront jamais à mettre la main sur l’un de nous. Puis, je recroisa le regard de Gabrièl et ajouta :

-Merci, c’est grandement apprécier. Jamais je n’aurais cru que tu aurais pris de tel risque. Quel idée, ce n’est pas le moment de te mettre les autres ruches à dos pour moi. Quant aux werewolfs, j’ai des connexions mais je doute qu’il sacrifice leur propre liberté pour protéger les miens. J’imagine que si je me tourne vers cette option, j’aurais surement un énorme prix à payer. Sincèrement Gabrièl… je me penche pour toucher sa joue du revers de la main; ne risque pas ton éternité pour ma sécurité. Évite l’attention, je n’aimerais pas … les mots restèrent en suspension dans mes pensées puis je changea d’avis et ajouta : Nous n’arriverons jamais à gérer les deux… les anciens et W.A.N si une chasse aux fées est déclarer. Je ne saurais plus où donné de la tête…

Puis, je lui offre un demi sourire. J’appréciais sa compagnie, le perdre me ferait énormément mal tout comme perdre un membre de ma race.

Gabrièl afficha un sourire a sa mine inquiète. Donc elle n,était pas si indifférente qu'elle le laissait croire! Généralement le vampire excellait pour lire les humeurs et les pensées évidentes des humains, mais jouer à ce petit jeu avec une fée aussi ancienne ou sinon plus ancienne que lui n'était pas le même jeu! Il s'étira un peu, faisant rouler ses muscles de créature de la nuit, pour passer ses mains derrière la tête, prenant une pose de relaxation. Il finit par lui dire:

- Allons donc Evelyne! Tu me connais mieux que ça! Oui, je ne suis pas homme à prendre ce genre de risques à l'habitude, je l'admets. Mais par contre, ton amitié m'est suffisamment précieuse pour prendre quelques risques! De plus, je dois avouer que de me nourrir des chasseurs qui autrement viendrait te nuire me donne le sentiment d'être utile. Je ne suis pas seul dans la combine, mes ''associés'' aussi aiment une bonne bagarre et du sang frais qui coulent a flots. Nous sommes chanceux pour le moment, nous n'avons subis aucunes pertes, sauf les vampires qui ont refusé mon offre que j'ai du malheureusement éliminé pour ne pas qu'ils vendent la mèche! Je crois qu'ils ne s'attendaient pas à tomber sur un ''costaud'' de ma trempe lorsque j'ai fais ma visite...

Au nom de notre amitié, je me devais bien de te donner un coup de main! Je croyais pouvoir résoudre la situation sans t'impliquer toi et ton peuple, jouant ainsi à l'ange gardien, déchu dans mon cas, mais gardien quand même. Un peu d'action fait toujours du bien, la civilisation peux être d'un ennui parfois! Sinon bon, si tu as besoin de fonds monétaires pour une milice, j'ai des tonnes d'or espagnol caché autours du globe, il me suffit de faire une expédition à l'une de mes caches et hop! tout est réglé!

Faëry, modératrice Messages : 264 Date d'inscription : 07/04/2010 Age : 38

J'arqua un sourcil à ses propos. Non pas que le tout m'étonnait. Seulement, c'était la première fois qu'il me dévoilait aussi aisément ses sentiments. Je ne dis pas que je n'étais pas au courant, seulement le ressentir sans le dire c'est une chose mais le dire à voix haute en est une autre, Ce que nous ressentions tous les deux l'un envers l'autre n'était pas de l'amour mais une belle complicité, une amitié sans faille. Pourtant, moi comme lui, nous sommes prêt à tout pour défendre ou protéger l'autre. Mes actions le prouvent très bien lorsqu'il était au prise avec les chasseurs de prime au port. Et voilà que j'apprenais qu'il avait monté une équipe de nuit qui allait de un, s'occuper de ces fouteurs de trouble et de deux, se rassasié par le fait même. Je m'en réjouissais mais je m'inquiètais, c'était plus fort que moi. Le plus drole la dedans, c'est que nous avons vécu presque un siècle et depuis que l'on se connait, cela ne change rien au fait.

D'un sourire espiègle, je soupira en m'approchant assez prêt. Déposant ses mains sur le bord du fauteuil, je me retrouve donc au dessus de sa tête et je prend parole pour lui dire dans le blanc des yeux:

-Gabrièl Fitzroy, que tu prennes de tel risque ne m'empêchera pas de m'inquièter pour toi. T'auras beau me dire que tu es un vampire très agé, je te demande juste de déguerpir au lieu de jouer les Héros si les choses tournent mal. Tu peux me promettre ça? Quand à ton or, je suis assez aisé, tu en fais déjà beaucoup. Je vais faire une rencontre avec les dirigeants afin d'en parler et d'en arrivé à un consensus commun. Je ne suis pas la seule touché après tout. Seulement, j'espère évité d'en arrivé à un carnage ou une guerre ou pire encore, si la justice humaine s'en mêle...

Puis, je scruta le visage de Gabrièl avant d'ajouter en changeant complètement de sujet:

-Comment arrives tu à ne pas devenir fou en ma présence? Mon glamour ne devrait pas te permettre d'être aussi serein...

Gabrièl écouta attentivement le discours de son amie. C'était quand même chou le fait qu'elle s'inquiète aussi pour lui. Même la majeure partie des créatures de la nuit avaient tendance à oublier que malgré la quasi invulnérabilité physique des vampires, ils pouvaient aussi être touchés émotionellement, quoi que c'était plutôt rare. Mais le fait que la fée le considère comme un être pouvant ressentir était réconfortant. Elle lui fit encore la leçon de ne pas jouer aux héros. comme si cela était son genre! S'il n'aurait pas eu de l'affection et le plus grand respect pour la cheftaine des faërys, il n'aurait même pas monté une escouade de nuit anti W.A.N ! Il aurait sûrement laissé un mot sur la situation vu que cette espèce était très rare et ne souhaitant pas avoir l'extinction d'une race sur la conscience, mais il n'aurait pas employé autant de moyens.

À la fin, pour la calmer, il dut lui promettre qu'il ne jouerait pas aux héros et ne ferait pas de gestes stupides. C'est alors qu'elle changea de sujet. De pourquoi son glamour ne le rendait pas complètement fou. Il haussa alors les épaules et prit une mine pensive, pour enfin répondre:

- Je crois sincèrement que c'est l'habitude et aussi le contrôle quasi absolu que j'exerce sur mes instincts. Je te fréquente plutôt souvent ces dernières années et je prends toujours garde à ne pas laisser mon côté prédateur prendre le dessus vu que je suis en société dernièrement. Je n'ai pas de preuves tangibles, mais c'est ma théorie et ce qui est de plus plausible dans mon cas. Je dois avouer que tu sens vachement bon et que cela me mets l'eau à la bouche, mais comme je me nourri toujours jusqu'à plus soif avant de venir te voir, je suis capable de supporter ton glamour. J'ai même mémorisé sa flagrance particulière pour pouvoir te traquer plus aisément!

Il fit silence un moment, laissant ses paroles pénétrer dans l'esprit de son amie. Son amie qui ma foi, était fort jolie et fort bien vêtue ce soir! Hum...il ne dirait pas non à une autre nuit ou deux avec la superbe fée, il y avait longtemps qu'il n'avait pas touché Evelyne. Qui sais? Peut-être s'il ce montrait un peu imprévisible ce laisserait elle tentée! Ce disant qu'au pire il risquait un ''non'' solide et une gifle, que cela valait bien la peine de tenter son coup! Avec un sourire en coin séducteur, il ce leva de sa chaise et poussa doucement la magnifique créature pour qu'elle tombe assise sur le bureau et sans en demander davantage, il ce pencha vers elle et alla lui voler un baiser, chaste au départ, mais de plus en plus demandant au fil du temps qui passait...

Faëry, modératrice Messages : 264 Date d'inscription : 07/04/2010 Age : 38

Il est vrai que mes charmes étaient loin de laissé plus d'un homme sans voix. Mais je mettais souvent cela sur le compte de mon glamour qui, une fois activé, ne fesait qu'accroitre ce fameux charmes qui se dégagent parfaitement de ma personne. Parfois, je pourrais dire que j'en oublie qu'il est activé. Sauf que parfois, je sais très bien que ce n'était pas mon glamour qui attire celui qui se tient devant moi mais bien ma personne. Rien n'est plus flatteur dans ces moments là qu'un peu d'attention de leur part. Et d'ailleurs, je le lis très bien dans leur regard. Et je peux vous dire que Gabriel est loin d'être attirer à moi à cause de mon glamour mais bien à cause de mon être tout entier. La personne que je suis, tout en fesant fit de mon statut, ce qui fait de moi ce que je suis, l'attire tout simplement. Non pas au point d'être amoureux, enfin, si l'amour est possible entre un vampire et une fée, dite moi le toute suite. Mais ce n'est pas le cas entre nous deux, disons juste que la chimie est là. La passion y est aussi ainsi que le fait qu'on s'attire l'un à l'autre.

Alors tandis que je gardais encore la même posture, quoi qu'un peu provocatrice, j'écoutais ses paroles avec un demi sourire sur mes lèvres. Puis j'ajouta pour conclure ses propos:

-Donc cela serait ton contrôle sur tes instincts ainsi que cette habitude que tu as pris de me cotoyé durant ses années? Tout en t'assurant de ne pas laisser ton coté prédateur prendre le dessus, tu t'assures de boire suffisament avant de venir me voir. Brillante idée, sincèrement, je ne voudrais pas voir ce que cela donnerait si jamais ce côté prendrait le dessus sur tes instincts... Non pas que j'ai peur de toi mais je ne voudrais en aucun cas, en venir à t'affronté...disons que je veux évité qu'on en vienne à ce tuer..

*Je ne voudrais surtout pas te perdre...* continua-t-elle pour elle-même. C'est sûr, Gabriel me fait toujours la cour ou pousse l'audace à des baisers chastes ou même quelques petites manoeuvres pour lui rappeler comment il me désire. Pour d'autre, cela serait offensant, pour moi, cela ne l'est aucunement. Alors quand son sourire séducteur que je reconnaissais à chaque fois que je le vois, s'afficha en fin sur son visage, je sus toute de suite que j'allais passé un merveilleux moment en sa compagnie, que déjà mon coeur fit un bond. Il se leva et me poussa lentement pour que je m'accote lentement vers le bureau. J'en profita pour m'asseoir, sachant très bien qu'il était inutile de résister et que, de tout façon, je ne le voulait pas résisté mais bien ressentir à fond ce sentiment ennivrant qui commencait déjà à parcourir mon être. Puis le baiser chastes suivit puis encore un autre, et plusieurs autres aussi ennivrant de passion et de désir, J'en avais de la misère à reprendre mon souffle mais j'adorais ce petit jeu entre nous. Tandis que je m'amusais à laisser une de mes mains vagabondé dans ses cheveux tout en gardant une emprise sur celle-ci afin de me faire plus demandantes envers ses baisers passionnés. Puis mes mains firent en sortent de laisser tombé son manteau puis lentement tout en laissant mes ongles glissé le long de son chandail, celles-ci se dirigèrent vers le bas du chandail. Toujours aussi beau et charmeur, rien n'avait changé depuis leur dernière nuit de passion. Sourire sensuelle, j'embrassa son cou avant de lui murmuré à l'oreille:

-Je t'appartiens ce soir....

Au diable la fichu paperasse, cela pouvait bien attendre une heure ou deux, si ce n'est pas la nuit entière...

Gabrièl afficha un sourire amusé et prédateur toute à la fois. Elle avait autant sinon plus envie de ça que lui! Elle lui avait même dit qu'elle lui appartenait ce soir! Oh, il allait en profiter! Il y avait assez longtemps qu'il n'avait pas eu de relations intimes. Garder le district et nettoyer le tout des agents du W.A.N prenait tout son temps! Une nuit de congé ne ferait pas beaucoup de changements, les autres allaient tenir le fort, si on pouvait ce permettre l'expression. La perte de son manteau ne le dérangea guère et son sourire s'élargit lorsque sa compagne pour la soirée le dégagea de son pantalon pour passer ses mains sur sa peau pâle. Oh il la laissa faire un moment avant de ce lancer à nouveau à l'assaut de la belle, traçant une ligne de baisers de ses lèvres sucrées jusque dans son cou, laissant un main s'aventurer intentionnellement à l'intérieur de sa cuisse gauche pendant que l'autre caressait les longs cheveux de sa partenaire.

Voulant commencer à la déshabiller à son tour, il la souleva et la plaça debout devant lui, laissant ses mains caresser ses cuisses jusqu'à ses hanches attirantes et détacha l'attache du pantalon de la belle, le laissant tomber à ses chevilles. Admirant la vue de ses cuisses et jambes longues, belles et fines à ravir mises à nue, il décida de mettre les choses égales en retirant son chandail, le laissant tomber près de son manteau. Heureusement qu'il avait laisser ses lames d'assassins à l'entrée, sinon il aurait du arrêter ses manœuvres pour s'en défaire! Saisissant de nouveau la belle par ses cuisses, il la posa à nouveau sur le bureau, retournant asperger son cou et sa nuque de baisers et de léchées tendres.

Le souffle inchangé dû à sa nature, mais ayant le sang échauffé, il lui dit alors d'une voix lascive:

- J'espère vraiment et très fortement que James ne débarqueras pas pour nous empêcher de s'envoyer en l'air, sinon ma toute belle, cette fois je le tuerai et tu te retrouvera avec un garde du corps de moins! J'ai horreur d'être interrompu en galante compagnie! Surtout quand la galante compagnie en question offre ce que tu m'offres...

Puis, voulant la faire réagir plus fortement, il laissa une main s'emparer de son sein gauche par dessus son bustier.

Faëry, modératrice Messages : 264 Date d'inscription : 07/04/2010 Age : 38

Après avoir arpenté chaque recoin de sa peau de mes fines mains, il m'embrassa de nouveau pour ensuite se diriger lentement vers mon cou. Un demi sourire en coin, je ne voulait aucunement me dérrober. Ce que jamais bien chez lui c'est que rien n'était brusqué. Chaque parcelle de mon corps allait y goutter. Mais encore, je vous semble peut-être masochiste puisque je le laisse s'aventurer vers l'endroit qui, à coup sûr, tenterait n'importe quel vampire. Une veine palpable, mon coeur qui bat à cent mille à l'heure, jouer avec un prédateur peut faire monter parfois l'adrénaline. Mais je sais très bien que Gabrièl réussira à ne pas succombé à la tentation de me mordre, à moins, bien sûr, que je lui donne la permission. Comme de raison, il s'afféra à me procurer ses sensations électrisantes sans toute fois franchir la limite. Tandis que ses mains se baladaient lentement, l'une dans ma longue chevelure tandis que je cantais légèrement ma tête vers l'arrière et l'autre main se faufila lentement vers l'intérieur de ma cuisse gauche. Il avait maintenant une emprise sur moi, et croyez-moi, je n'avais aucune intention de lui résisté. Ce petit jeu dura quelques minutes avant qu'il me soulève pour me placer debout devant lui. Ses mains carassèrent mes cuisses avant de détacher mon pantalon et le faire descendre jusqu'au sol.

Toujours en talon haut, j'en profita pour déprendre mes pieds du pantalon au sol tout en admirant le spectacle que Gabrièl m'offrait en enlevant son chandail. Tout en admirant son torse nu avec un sourire espiègle affiché sur mes lèvres, Lorsqu'il me saissit de nouveau, je m'esclaffa de stupeur. Mais la pluie de baisers et de léche tendre dans mon cou laissa vite place à un soupir de plaisir. Puis subitement, il parla de James. Cette rivalité entre son garde et son amant durait depuis des siècles. Soupirant d'exaspération, je pris le temps d'envoyé un message télépathique à Cassiandre même si, j'en metterais ma main au feu qu'elle n'avait pas besoin d'un dessin.

* Cassiandre, je vais verrouillé magiquement la porte du bureau pour quelques heures. Je n'attend personne d'autre. Si jamais c'est urgent, envoie moi un message télépathique avant de laisser qui compte venir frapper à cette porte*

J'ai eu le droit à un rire télépathique comme réponse. Tout le monde connaissait le caractère de James par rapport à mes amants. Puis je murmura une formule dans un langage très ancien puis le contour de la porte et des fenêtres s'illuminaire d'une lumière blanche. J'ouvris les yeux pour ensuite constater que celui que je convoitais ce soir venait juste de s'emparer de mon sein gauche.

-Personne nous dérangera ce soir. Je viens dans donné l'ordre même si je doute que Cassiandre soit assez cruche pour envoyé James à la porte de ce bureau en plein dans nos plaisirs charnelles. Chaque issue est sceller. Rien que toi et moi, seul dans cette pièce. Inutile de s'en faire pour des choses qui pourraient arrivés. Je suis là, dans tes bras.

C'est le moment que je choisis pour l'embrasser puis enlever lentement mon bustier, lui laissant une vue sur mon soutien gorge sans bretelle bleu nuit composé de fleurs brodés et semi-transparent qui s'harmonise bien avec son petit caleçon de la même couleur. Puis, je l'embrassa de nouveau avec passion, puis dirigea lentement mes lèvres vers son cou tout en fesant en sorte qu'une main se faufile dans sa chevelure tandis que l'autre descend lentement vers son pantalon. Au lieu de détacher sa ceinture et son pantalon, ma main s'amusa plus tôt à toucher son sexe par dessus le vêtement. Sans aucun doute, il avait vraiment envie de moi. Maintenant ma s'amusa a se faufiler dans l'ouverture de son pantalon sans rien détaché tandis que mes jambes s'entourèrent autour de sa taille et que mes lèvres s'emparèrent de sa bouche avec désir. Puis tout en lui mordillant sa lèvre inférieur, je croisa son regard avant d'ajouté:

- Ou peut-être que c'est moi qui domine en ce moment...

Un clin d'oeil et sourire en coin. J'étais d'humeur taquine et enflammée de désir, Je n'allais pas laissé la mention d'un de mes gardes ruinés cette nuit qui s'annoncait mouvementée.

Gabrièl poussa un léger grondement de plaisir du aux administrations des mains et des doigts de fées que son amie possédait. Elle savait comment s'y prendre pour lui faire oublier ses soucis! La voir en sous vêtements fit en sorte que son désir de l'avoir toute entière augmenta encore en flèche. Sienne. Elle serait sienne pour la nuit entière! Il ne la partagerait pas! James ne pourra pas venir briser l'ambiance et faire tout rater! Son employeuse allait coucher avec un vampire, qu'il le veuille ou non! Une main arpentait fiévreusement ses cuisses, ce délectant de la douceur de sa peau, montant de plus en plus vers son intimité pendant que l'autre ce faufila adroitement sous son soutien-gorge pour masser la chair tendre de son sein.

Voulant lui donner des sensations fortes, il cessa de caresser sa cuisse et sa poitrine un court instant que pour ce baisser de manière a pouvoir asperger les cuisses de son amante de baisers chauds et de léchées sensuelles. Il laissa une main remonter le long de sa hanche, puis passa deux doigts dans l'élastique de sa culotte pour l'arracher sans cérémonie, laissant la pièce de tissus ruiné tomber au sol, exposant l'intimité humide de la belle fée. Avec un sourire prédateur aux lèvres ayant un effet dément dû à ses crocs, il ce lança à la charge, embrassant l'intérieur de ses cuisses une à la suite de l'autre avant de plonger vers son intimité, humant son odeur avec grand plaisir avant de ce lancer à l'assaut de ses lèvres intimes, utilisant ses mains pour maintenir ses cuisses ouvertes.

l'avantage à être un vampire était la non fatigue des muscles. il pourrait demeurer dans cette position durant des heures et il n'en serait pas plus incommodé. Le simple fait de s'installer confortablement était dû à de vieux réflexes humains ou bien a un acte finement préparé pour mieux ce fondre dans la masse. Entre deux léchées, il lança son index et son pouce de sa main gauche à l'assaut de son clitoris, voulant la rendre folle de désir et la préparer à une nuit de passion torride. Après tout, elle était vivante, il devait bien la traiter! Sinon il ne pourrait pas avoir son plaisir!

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