Petite pause entre deux enterrements. (Avertissement: Sujet avec caractère sexuel)

La fossoyeuse était assise au bar, habillée d'une longue robe noir assez moulante, avec ces bottes noires, mais recouverte d'un long manteau noir. Ce n'était pas les fièvres lunaires, et pourtant elle était habillées tout comme. Tout simplement, cela faisait trois mois d'affilées qu'elle n'avait pas eu de crise de colère, donc elle avait eu envie de se faire une sortie. Elle avait fait du shopping, était au coiffeur, bref, fait ce qu'une femme de la vingtaine faisait en général. Et se soir, elle buvait un verre dans un bar et allait s'amusait un peu. Et ceux, même si il n'y avait peu de monde. Respirant à plein poumon et s'étirant, la belle avalas un verre de rhum cul sec et allas danser au milieu de la petite foule qui se trouver là. C'était la première fois qu'elle se sentait aussi bien. Qu'il était bon de ne pas avoir de crise de colère et d'être normale. Elle se moquait bien des regards qui se posait sur elle, car c'était la première fois qu'elle mettait les pieds dans se bar. elle crut même voir quelqu'un téléphoner en la fixant. Mais elle s'en foutait complètement.

La fièvre lunaire et la nuit de pleine lune étaient passé depuis plus d'une semaine, et pourtant John revins sur les lieu avec un boulet en guise de tête. ce mal de crâne monstre avait besoin d'une forte dose d'alcool. Ne lui demandez pas comment cela peu bien marcher, mais ça marche sur le détective. À croire que le métabolisme des Werewolf réserve bien des surprises même avec presque un siècle et demi avec cette peau.

À peine il entra depuis l'entrée du vestiaire ou il y avait déposer son manteau qu'il n'en cru à peine ses yeux. Félicia Faust, la fossoyeuse du cimetière local, ici à danser dans une tenus des plus urbaine. Ça alors, ça change des habits typiquement ruraux qu'elle portait à leur première rencontre. Le temps de balayer soigneusement la salle du regard, il remarqua qu'ils étaient les seuls werewolf de la salle... Alors tant qu'à y être. Le Bolverk s'avança vers le bar en contournant la piste de danse et passa sa commande... Un commande invitante. Il paya deux verre de Brandy et souffla au barman de faire savoir à la femme aux cheveux de neige que le second verre est pour elle, payée aux frais du privé. Un assistant du barman alla porter le message à Félicia.

- Excusez-moi madame. Cet homme au comptoir vous a commander un verre de Brandy qu'il a payer pour vous...

Et le second barman retourna derrière le comptoir. Ayant tout entendu, le détective leva le verre à l'attention de la fossoyeuse, se doutant fortement qu'il le voyait malgré qu'il était dos tourné à elle.

La belle louve albinos dansait comme une folle sur la piste lorsqu'un serveur l'accostas pour l'avertir que quelqu'un venait de lui payer un verre de Brandy et d'une certaine façon, l'inviter à sa table. Souriante, elle se retournas d'une pirouette élégante et fixas l'homme qui l'invitée à boire. Et elle fut surprise de voir qu'il s'agissait du détective qui étais venu la voir quelque mois plus tôt. Souriant tranquillement, elle allas le rejoindre au bars, s'asseyant à ces côtés en croisant ces jambes, des jambes assez fines malgré les pantalons amples qu'elle met habituellement.

Si je m'attendais à vous trouver ici. Quoi que, se serais plutôt le contraire, non ?

Appuyant son menton sur ces deux mains jointe, la belle sifflotas l'air qui étais passée plus tôt. Cela changer aux habituels air funeste que fredonner la fossoyeuse lorsqu'elle travaille dans son cimetière. En tout cas, sa bonne humeur ne semblait pas vouloir partir.

- Vrai! Vous m'avez l'air très bien et de bonne humeur, ma chère. Quel bons vent vous guide?

Il ne perdit pas de temps pour se prélasser dans une pose beaucoup plus plus décontracte, maintenant qu'il n'était plus seul. Maintenant qu'il l'avait juste sous les yeux, il pu l'analyser avec plus de détails... Et alors là, elle était belle et bien tout ce qu'il y a de plus féminine. Tenue, coiffeur, le tous était là, seule sont petit accent bien slave était toujours au rendez-vous. Mais pourquoi s'en plaindre? Ça lui donne une petite touche exotique.

- Du nouveau au sujet de notre marché? Comptez-vous toujours vous approchez voire rejoindre notre meute?

Les nouvelles concernant la meute était toujours les premières dans l'agenda du détective et il ne comptait pas changer cela. Il n'était pas en pleine fièvre lunaire, ni hors-service, alors aucune raison valable de changer a façon d'agir typiquement Lestage.

La fossoyeuse sourit d'un sourire étrangement joyeux à la question du détective, puis bu tranquillement son verre de Brandy avant de répondre à l'homme.

Et bien, disons que delà fait plus de trois mois que je n'ai pas fait de crise de colère, donc pour le moment, tout vas pour le mieux. D'autant que je n'ai jamais eu d'aussi longue périodes de calme.

La fossoyeuse remarquas bien que le détective ne manquait de la dévisager sous un nouvelle angle. Elle devait bien admettre que cela devait être assez déroutant de la voir avec se genre de tenue, alors qu'habituellement, elle était habillée de vieux vêtements poussiéreux et miteux. Finissant son verre, elle entendit la question du détective au sujet de leur marché et sourit encore plus.

Et bien, ma tenue est aussi surprenante que ça pour que vous ne me quittiez pas du regard? En tout cas, notre marché tient toujours, surtout si cette période de calme durent indéfiniment. Mais ne vous arrêtez pas de vous renseigner de votre côté, s'il vous plaît.

- Trois mois! Et bien alors, vous semblez avoir fait guérison vous-même. Il fallait seulement que je vous secoue un peu, ont dirai...

Le petit rire coquin mais de bon cœur qui se dégagea des lèvres fermés du détective prouva qu'il ne dit pas cela par sérieux ou pour faire son intéressant, c'était seulement tentant. À l'instar de la louve à la chevelure de neige, il ne cala pas son Brandy lui non plus. Des moment comme celui là ça se déguste, ça ne se vide pas en un trait sans considération.

Elle devait avoir l'œil vif elle également, elle remarqua qu'il l'avait identifier à la moindre fibre de tissus. Il fallait dire qu'il n'avait pas fait son discret cette fois-ci. Elle avança même ce qu'il était en train de penser presque au même moment? Avait-elle un dos ou quelque chose du genre?

- Vous me tirez presque les mots de la bouches. La première et dernière fois que je vous ai vu, vous étiez disons... Plus rurale. Et pour répondre à votre question, non je n'ai pas négliger notre accord, j'attends des nouvelles d'ici peu d'ailleurs... Mais puisque j'ai une soirée de libre, j'ai une sérieuse envie de bouger. Une dance vous dirai? Aprèes notre verre, bien sur.

La fossoyeuse rias de bon coeur lorsque le détective lui dit qu'elle avait fait guérison d'elle même. Si seulement c'était vrai. Elle savait qu'elle subirrait une nouvelle crise d'ici peu, alors elle profitait du moment présent, tant qu'il était encore temps. Riant d'un rire cristalin, elle finit d'un rait son verre et prit la main du détective,qui pouvait constater que celle-ci était étrangement agréablement douce pour des mains qui travaillait la terre jour et nuit et enseveliser les morts dans leur derniére demeure. La musique qui passait était une musique des plus toniques et entrainante. La belle au cheveux de neige entrainas Jonathan dans la danse, se collant à lui de temps à autre, s'éloignant pour mieux revenir, jouant avec lui comme le ferait l'animal qu'elle était. Elle était de si bonne humeur qu'elle était prête à faire se genre de folie.

Alors, surpris qu'une fossoyeuse puisse savoir danser sur des trucs modernes et pas du postmortems?

La belle éclatas de nouveau d'un rire cristalin, fit une sorte de petit pirouetteet recommenças à danser avec le détective.

Au moment ou il allait saisir son verre mi-plein pour le terminer en un trait à son tour, la fossoyeuse le saisit vivement et le kidnappa en direction de la piste de danse. N'était pas né de la dernière pluie, il aurai pu résister dans trop de problème... Mais il ne le fit pas, car refuser une telle exigence d'origine féminine est fort discourtois. Tant pis pour le verre, il attendra un peu encore...

La musique était typique de clubs, mais dont la sélection était les meilleurs hits populaire de l'heure. Tous l'on donc déjà entendu au moins une fois, ou plusieurs plus exactement. Inutile de dire que danser sur cela est aussi instinctif qu'actif. Pas besoin d'être un roi de la danse pour montrer qu'on aime profiter des bon moment de la vie, ce que le duo Félicia/Jonathan aimait le prouver en plein milieu de la foule. Un recul par-ci, une accolade cadencée par-là, tout va selon le rythme. Merci à son ouïe lupine, il pu entendre à la perfection ce qu'elle lui dit. Il la colla depuis le os pour lui souffler la réponse près de l'oreille.

- Étrange, Je n'ai pas fait de commentaire pourtant. Vous en diriez autant d'un ex-agent du Scotland Yard?...

Et un nouveau rythme repris exactement à ce moment, endiablant la piste encore une fois.

La belle louve rias au éclats en écoutants la réponse de l'ancien inspecteur de Scotland Yard. C'est vrai, il n'avait fait aucun commentaires sur le faits qu'elle puisse danser sur rythme endiablées, alors que tout ceux qui la connaisse savent à qu'elle point elle préfére chanter des rythme plus funébres et plus lugubres. Enlaçant par dérriére le cou du détective, elle se frottas à lui d'une maniére assez séductrice et montras ainsiles courbes bien répartis de son corps.

Moi, je n'ai aucun commentaire à vous faire. Mais dites moi, qu'elle est la suite du programme?

Puis brusquement, elle bondit au millieu de la foule, hors d'atteinte, riant de son rire cristalin, alors que la musique prenant une tournure beaucoup plus lente, beaucoup plus sensuelle.

Le contact féminin apporte toujours cet sensation particulière, celle qui fait chaudement grogner un homme entre ses dents bien serrés. Affection avec une petite touche de tentation... De quoi faire fondre un glacier. C'est ce que se disais Jonathan alors qu'il santait les bras de la fossoyeuse autour de son cou depuis l'arrière et son souffle a sa nuque. Un chaud frisson lui parcouru l'échine en toute sa grandeur et il relâcha un long souffle par réflexe. Bon sang que ça lui plaisait.

Elle lui demanda à l'oreille à son tour quelle serai la suite du programme... Mais ne lui laissa pas le temps de répondre qu'elle sauta dans la foule, hors de sa porté. Comment expliquer ce comportement? Humeur momentanée... Ou envie du jeu? La seconde semblait plus attrayante, qu'elle soit fondée ou théorique. Invité, Jonathan décida de joindre la partie et se camoufla dans la foule. Aprèes avoir arpenter quelque peu entre les danceurs pour contourner la belle louve... Et d'une main rapide et ferme, il la saisit par la taille depuis le flanc et la serra contre lui, à un moment précis et coordonner par la musique. Son autre mains vint se glisser dans la crinière blanche de la femme-louve et il l'attira totalement contre lui. Ont n'échappe pas a un maitre-chasseur, c'est ce dont l'éclat dans les yeux du détective.

- Comment puis-je vous répondre si vous tentez de me fuir?

Telle fut sa réponse. Il la fit danser encore un peu sous la cadence lente et sensuelle. Puis la fir tourner à demi-tour sur ses pied pour la serrer contre lui mais de dos cette fois... Pour mieux sentir le contact des douceurs de ses courbes féminines contre lui et pour pouvoir mieux lui souffler mots à l'oreille.

- Ma voiture est garer à l'extérieur. Une balade en ville ça vous dirai?

Cachée au milieu de la foule, Félicia savourait se moment. Voilà longtemps qu'elle n'avait pas essayer d'attirer un loup dans ces filets, et ma foi, on dirait qu'elle n'était pas trop rouillée. Se levant sur la pointe des pieds, cherchant à repérait sa proie, sans vraiment se rendre compte que sur le coup, c'était la proie. Soudain, elle vit apparaitre le détective devant ces yeux et celui-ci l'enlaças pour une danse plus calme, plus sensuelle. Elle put sentir la seconde main de Jonathan se glissait dans ces cheveux pour mieux la collait contre lui. Glissant sa main contre le propre flanc du détective, elle sourit à la réponse que lui glissas Jonathan au creux de l'oreille. Se laissant retourner pour être à dos dos du détective, elle fermas les yeux et apprécias la danse, dont le rythme ressemblait au valse de son pays. En trois temps. Puis une nouvelle question lui fut poser et un nouveau sourit naquis sur ces lévres.

- Pourquoi pas. Cela pourrait être interessant.

C'est un outrage de quitter la piste en plein rythme, alors il attendit avec toute la patience du monde que cela se termine en continuant à amuser la louve par la danse. Même si tout devenait de plus en plus sensuel, rien ne le gênait, pas ici et surtout pas lui. Il ne se gêna pas plus de la prendre par la taille, sachant très bien que les femmes en général aime bien cela. Et d'ailleurs, il a toujours pour excuse que la musique est complice...

La valse terminée, il la guida vers la sortie et y ramassa leurs manteaux au passage. Le ciel extérieur était étoilé et une superbe lune décroissante illuminait de son mieux le voile obscur de la nuit. Il la guida avec beaucoup de courtoisie vers son véhicule, son bon vieux jeep. Il le déverrouilla avec le démarreur à distance et lui ouvrit la porte...

- Oh, juste une chose avant que vous s'y entrez... J'ai mes deux compagnons dans la voiture, mais ils ne sont pas méchant, surtout puisque vous m'avez assez coller sur la piste pour être imprégner de mon odeur à leurs museaux. Il y a deux chiens mi-loup à l'intérieur, les miens, Einherjar et Valkyrie. Valkyrie est gentille et adorable, elle vous aimera dès que vous la caresserai et ne vous souciez pas d'Einherjar. Il est peut-être un mâle dominant et territorial, mais il sait que je suis le patron entre nous trois. Il ne s'en prendra pas à vous si vous portez mon odeur...

Félicia se laissas berças par la danse, la tête posait contre le torse du détective, n'écoutant que trés peu la musique, ces bras ayant enlaçée le cou de Jonathan lorsque celui-ci avait passée ces mains sur sa taille. Ce contact était des plus agréable pour la fossoyeuse, qui n'avait pas l'habitude de cotoyer autant les vivants. Après tout, elle était fossoyeuse à la base, et c'était plutôt avec les morts qu'elle bavardée. Mais comme sa furie c'était calmée, elle en profitait pleinement, et celà se voyait, et même trés bien. La danse se terminas, et la belle se laissas conduire par le détective, enfilant son fin manteau noir et sortant dehors, le bras de Jonathan sur son épaule, un superbe clair de lune décroissant les éclairant. Arrivant au niveau de la jeep, son ami le prevenu quecelui-ci avait emmenée avec lui deux de ces amis. Deux superbes chien mi loup, un mâle et une femelle, qui semblait bien respectée la hierarchie canine, car le mâle ne montras pas les crocs, sauf peut être pour sourire, et la femelle apprécias le grattage d'oreilles qu'effectuas Félicia en s'installant sur le siége passagers.

Mais pourquoi des noms Nordiques? Pour les légendes vicking?

La fossoyeuse s'installas confortablement dans le siége, continuant délicatement son grattage d'oreilles à Valkyrie, tout en regardant la route. De magnifiques spécimens. Le poil bien brillant, la truffe humide, mais pas trop. Bref, en parfaite santée..

- Et bien... Parce que de base, nous sommes nous aussi des légendes Vikings...

Il prit un léger temps pour lui répondre avant de fermer la porte. Bien sur, il allait lui expliquer plus en détail après quelques secondes, le temps de contourner la voiture et y entrer lui aussi du côté conducteur. La porte refermée derrière lui, il glissa sa main pour aller caresser ses deux chiens-loups. Les deux acceptèrent avec grand plaisir la marque d'affection de leurs maitre, mais remarquant que Félicia et Valkyrie se sont déjà bien accoquiner, il ne lui vola pas la vedette. Les clés dans le contact, le moteur démarré, ils quittèrent le stationnement sans aucune encombre et empruntèrent le boulevard.

- Théoriquement, les premiers vents des Werewolfs seraient très possiblement Nordique, si ont en crois tout les termes utilisés. Ulfric, Bolverk, Skoll, Vargamor, Gargagrarnr... Tout ces termes sont Scandinaves... À moins que mes connaissances linguistiques soient bien rouillés. Mais sinon il y a un autre indice. Les noms venant du Panthéon Viking. Heimdall, Geri et Freki, Fenrir...Heimdall était le dieu veilleur de la mythologie nordique, veillant éternellement aux abord d'Asgard pour avertir les autres dieux de l'arrivé de leur apocalypse, le Ragnarok. Il agissait en guise de surveillant et informateur envers les autres dieux, tout comme notre Heimdall dans la meute est notre espion et informateur personnel, chargé de rapporter à l'Ulfric et ses agents les informations pouvant interesser la meute ou le prévenir d'éventuels dangers. Geri et Freki étaient les Loups d'Odin, le père des dieux, dieu de la sagesse et de la victoire. La relations maitre et bête est représenté comme une relation chef et lieutenant dans le cas des Geri et Freki d'une meute... Tandis que le Fenrir, mythologiquement le fils de Loki, le dieu de la malice, de la fourberie et du meurtre... Le Loup géant qui a dévorer la main de Tyr, le dieu de la justice et de l'honneur et qui était destiné à tuer Odin au Ragnarok. Que dire de lui... Il représente le déviant, le rebelle, le traitre et l'agitateur. Celui qui défi l'Ulfric et qui remet l'ordre de la meute en cause et qui peux tout faire basculer, il peut aussi bien améliorer une meute que la faire sombrer dans la déchéance et la violence, mais peut importe son but, il est seul... Alors en bout de ligne, J'ai décider de donner à mes compagnon des nous nordiques tirer des légendes pour me rappeller nos plus anciennes origines et le fondement de la meute, une meute qui est ma famille que je ne souhaite pas reperdre... Pas une seconde fois...

Il avait soif après avoir tant parlé. Malgré tout, sa concentration sur la route était impeccable et sa vitesse bonne. Quand ont travaille sur des cas tordus, que l'on dois être en permanence alerte et que l'on a de grandes responsabilités sur les épaules, ont s'habitue a faire plusieurs choses... Mais toute son érudition avait-il servi à l'attention ou l'ennui de sa passagère?

- Et désolé pour tout ce bla bla... Je flâne un peu trop souvent dans mes livres ou sur le net, il faut croire...

Félicia écoutas attentivement les dires du détective, et fut assez surprise de sa réponse. Les werewolfs étaient d'origines nordiques? Voilà une chose que ne lui avait pas enseignait son mentor. Finissant de caressait Valkyrie, elle écoutas attentivement les explications de Jonathan, tout en tenant l'animal sur ces jambes. La hiérarchie des werewolf correspondait donc à plusieurs légendes Viking. Chaque place dans la meute avait une correspondance mithyque. Et bien, elle riquait de se souvenir de cette leçon d'histoire assez longtemps.

C'est quelque chose que mon mentor ne m'a pas enseignée. C'était trés interessant, Jonathan.

Finissant sa phrase avec un sourire, elle observas les étoiles par la vitre. Cette nuit, elles étaient particuliérement bien visibles. On pouvait voir lan grande et petite ourse avec une grande netteté. Souriant de nouveau, elle appuyas sa tête contre la vitre et sourit de plus belle en ne sentant pas son front bouillant de colére. Sifflotant un air scandinave plutôt joyeux, la belle caressas tendrement la tête de Valkyrie.

Décidement, cette nuit est magnifique.

Ouf, elle était intéressée. Au moins, il n'avait pas parlé dans le vide pendant tout ce temps. Elle mentionna toutefois son mentor... Tiens, un nouveau détail pris en compte. Elle ne lui en avait pas parlé la première fois, pas même glisser mot. Serai-ce un sujet honteux comme c'est son cas pour lui? Son mentor était0il un être particulièrement cruel et dépravé? Avaient-ils le même mentor? Habituellement, un Werewolf ne se gêne pas de parler de son créateur s'il n'est pas sujet de honte, alors que ceux dont c'est le cas, restent muet comme des tombes... Ironiques pour une fossoyeuse. Les étoiles sont certes magnifiques depuis l'intérieur du véhicule maintenant garré dans un stationnement de parc national désert, à l'abri des lumières de la ville. Au moins, tout est superbe ici... Mais quelque chose semble agiter Jonathan, tout comme Einherjar en arrière, qui laissa échapper quelques grognement malgré les avertissement de son maitre. Il devait le sentir lui aussi, mais c'est étrange que ce ne soit pas le cas de Valkyrie. À moins que cette dernière l'ai senti mais réagis à sa façon. C'est à se moment que John commença a y voir plus clair. Il avait prit un grand risque en l'amenant avec lui, elle dont les crises de colère inexpliqués sont toujours un mystère. Connaissant Valkyrie, elle devait s'être approcher si près d'elle et la coller ainsi dans un espoir instinctif de la calmer a l'aide de son affection naturelle. C'était une bonne idée, mais le détective décida de rester alerte et surtout, il devait penser à protéger sa petite meute...

- Et si nous allions dehors pour les observer, il y a un banc un peu plus loin dans le parc, la vue serai meilleure...

Au moins, si le pire devait se produire, il aurai plus d'espace pour gérer la situation et ses chiens-loups pourraient déguerpir sans gêne. Jonathan fit tout pour masquer son alerte et rester le plus naturellement détendu possible...

Félicia observas doucement les étoiles, jusqu'à se qu'elle sente une sorte de tension. Jonathan et Einherjar semblait tout les deux tendu, comme s'il s'attendait au pire avec elle. Et elle savait pourquoi. Un discret sourire apparut sur son visage, mais étant donnée que l'étrange fossoyeuse était tournée vers la vitre, il était difficile de savoir si celui-ci était joyeux ou triste. Or celui-ci était triste. Félicia savait que même avec tout les efforts du monde, elle ne pourrait jamais prévoir quand une nouvelle crise allait se produire, et elle savait aussi qu'elle prenait un gros risque en s'aventurant se soir en ville. Mais pourquoi ne prendrait elle pas de risque juste pour vivre une seule fois, une journée dite normale. Mais en était ce vraiment une? Hochant de la tête à la question du détective, la belle sortit la premiére du véhicule et allas dans l'immense parc, enlevant ces bottes pour mieux sentir l'herbe fraiche sous ces pieds. Finalement, elle se laissas tomber dans l'herbe en respirant un grand coup, les bras croisée dérriére la tête.

Ouais, les étoiles sont bien plus belle ici.

Elle comprenait la méfiance des deux mâles, mais sa joie et son entrain à la "chasse" étant retomber aussi sec lorsqu'elle s'en était rendu compte. Dommage, elle serait bien allée plus loin se soir. Oh et puis zut, ça avait le temps de revenir aprés tout.

Malgré le bon commentaire de la fossoyeuse, il ne fallait pas grand chose pour deviner que ce n'était qu'une façade. Il y avait une étincelle de moins maintenant, moins de chaleur et plus de froideur... Tout cela permet de mieux la comprendre. Tout les werewolfs, généralement dans leurs jeunesse, prennent conscience et craignent l'animal en soit, pour le dessus qu'il peut exercer sur nous. Beaucoup finissent à trouver l'équilibre entre l'homme et la bête, comme c'est le cas de John... Mais certain cas sont extrêmes, comme celui de Félicia. Si personne ne trouve de solutions, qui sais les conséquences que cela entrainera pour elle...

Voulant mettre tout ça de côté, John décida de faire preuve d'audace et venir d'étendre dans l'herbe juste à côté d'elle, presque hanche à hanche. Il croisa les bras sur son torse et regarda le ciel avec elle. Quelques minutes de pleine contemplation et soudain, une étoile filante passa juste au dessus d'eux. Cela fit sourire John, étant enfant, ont lui avait murmuré la rumeur des voeux exaucés à la vue d'une étoile filante passante... Pourquoi ne pas retomber en enfance un peu?

- Avez-vous un voeux en tête?

Felicia observas silencieusement les étoiles, plongeait dans ces pensées, la belle ne se rendit compte de la présence de Jonathan qu'une fois qu'il fut allongé à ces côtés, hanches contre hanches, pour regarder les étoiles avec elle. Humant l'air un bon coup, elle se rendit compte que les deux chiens loup étaient partis se balader de leur côté. Appuyant sa tête contre ces bras, la belle continuas son observation, jusqu'à voir une étoile filante passée. Jonathan lui demandas alors si elle avait un voeu en tête. Oh oui, un voeu, ca elle en avait un.

Pouvoir vivre normalement. Sans être un monstre qui peux tuer à chaque instant... Juste.... être un werewolf normal.

Felicia restas silencieuse après ces mots. Ouais, juste être une werewolf normal, se serait déja bien. Même miraculeux. Mais elle ne savait pas si ce qu'elle avait pouvait être guéris. Si elle pouvait un jour redevenir normal. S'asseyant doucement, elle se frottas les yeux, son manteau à terre, devoilant ces épaules légérement dénudées.

La normalité... Un Werewolf normal a oublier ce que cela signifie, mais un werewolf tourmenté, tel Félicia, en a une définition bien plus précise. Agir par les commandement de la lune sans avoir honte de ce que l'on est, savourer les plaisir des sens sans aucune honte, sentir l'adrénaline à fond, vivre en plein harmonie entre l'homme et sa bête... John avait appris a se connaitre et s'accepter tel qu'il est et depuis, plus rien ne lui faisait honte chez lui. Ni son animal intérieur, si ses désir ardent de luxure, ni rien d'autre. Malgré qu'il ne comprenait pas encore pourquoi tant de colère indomptable, il savait très bien ce qu'elle ressentait... Pour l'avoir lui aussi vécu.

Lorsqu'elle enleva son manteau, un choc parcourut John à la simple vue de sa peau légèrement plus dénudée... Un désir de luxure, une semaine après la dernière pleine lune?... Humm, c'est compréhensible, sa dernière fièvre lunaire n'a pas été des plus festive. D'autant plus, un homme reste un homme. Même s'il savait qu'il jouerai avec le feu, il garda toute son audace. Ce n'est pas comme s'il serait sans défense face à elle...

- Et si votre souhait se réaliserai ici et maintenant, que vous seriez libéré de votre trouble... quelle serai votre première réaction, la première chose que vous voudriez faire que vous ne pouviez pas faire aussi souvent que vous le souhaitiez... Que feriez-vous?

Il se colla à elle d'avantage, obéissant plus à son instinct qu'à sa raison...

Félicia restas un moment silencieuse, jusqu'à écoutaitla question de Jonathan. Si son voeu devenait réalité, que ferait elle tout de suite, maintenant ? Ce qu'elle ferait, et qu'elle ne pouvait faire habituellement. Une chose qu'elle n'avait pas fait depuis longtemps, c'était sur. Un sourire illuminas légérement son visage, et la belle se retournas vers le détective, qui c'était collé un peu plus à elle. Posant ces bras de chaque côté du torse du werewolf, ces cheuveux de neige tombant en cascade sur ces épaules, mais tout en restant assise à côté de lui, elle murmura d'une voix suave:

Je crois, que je croquerais la vie à pleine dents. En commençant par faire l'amour à un homme. Après tout, quand on ne peut toucher personne sous risque de tuer son partenaire, on ne peut s'empêcher de vouloir rattraper le temps perdu. Vous ne seriez pas comme ça, vous?

Ces yeux dorées fixait avec une certaine intensité les yeux du détective, son doux sourire ne quittant pas son visage. Elle ne savait pas comment il réagirait à cette réponse, mais elle était toujours trés direct et son mentor lui avait souvent reprocher de anquer de tact. Mais pour l'heure, elle éspérait que le détective mordrait à l'hameçon.

À vrai dire, il était difficile de dire qui avait jeter l'hameçon à l'eau le premier. Celui qui a poser la première question en se rapprochant ou celle qui lui ai répondu en terminant par une autre question... Mais dans les deux cas, le résultat resterai le même. Lorsqu'elle se redressa pour se retourner presque sur lui, les mains sur son torse a chemise déjà mi-déboutonnée. Le doux parfum de la coiffe couleur neige de la jolie louve vint chatouiller ses narines. Le murmure qu'elle lui offrit, et la réponse en sortant, fit légèrement grogner le loup, mais d'un grognement nettement plus amusé et plein d'appétit que menaçant d'une quel qu'on que façon. Rendu là, le message était bien clair. Il comprit d'instinct que la jolie louve ne lui en voudra pas s'il faufilait son bras sous elle, l'entoura à la taille d'une poigne quelque peu jalouse et l'attira avec force à lui, bel et bien coller l'un contre l'autre alors que la chaleur augmentait considérablement entre eux. Il lui murmura sa réponse d'une voix masculine légèrement grave, mais plein de séduction...

- Vous devinez juste... À vrai dire, je suis exactement comme ça!

Comme s'il n'avait pas déjà assez jouer avec le feu, il guida sa main à la nuque de la jolie louve, glissant ses doigts dans ses soyeux cheveux et l'attira à lui. Son mignon cou lui donnait faim depuis quelques instants déjà, il y déposa ses lèvres une fois à porté et commença à l'embrasser dans le cou en savourant doucement ce délice, sans ni la mordre ni être brusque... Ça peut attendre après tout, rien ne sert de courir, il faut partir à point...

Félicia gardas se sourire de cristal en sentant le contact de la peau de Jonathan sous ces doigts. Depuis combien de temps n'avait elle ressentit ça? Elle l'avait oublié et elle s'en moquait, car pour le moment, elle profitait pleinelement du moment. Un frisson la parcourut lorsqu'elle entendit le léger grognement du loup, qui semblait avoir d'une certaine façon, les mêmes pensée qu'elle. Celui-ci prit rapidement les chose en main, lui saisissant la taille pour l'attirait, et la collait à lui. Caressant du bout des doigts le peu de peau qu'elle avait sous la main, elle savouras la caresse de la main dans ces cheveux, poussant un léger soupir au contact des lévres contre son cou. Comme ça lui avait manquée. Se collant un peu plus à lui, le détective put sentir la poitrine de la fossoyeuse collait à son torse, à travers le tissu, ces hanches contre les siennes, ces mains parcourant son cou dans une caresse des plus soyeuse. Qui aurait pu imaginer qu'une fossoyeuse puisse faire preuve d'autant de douceur? Personne je pense. Son souffle chaud allas titiler l'oreille de Jonathan, tandisque son visage frolait le sien.

C'était presque un jeu, tout comme deux loups adorent se frotter les uns contre les autres en signe d'affection. À première impression, c'est comme retomber dans une enfance de louveteau que l'on a jamais eut, toujours occuper à jouer, lutter et se coller à nos pairs. L'âge ou l'on apprend la toute première forme d'affection connue, le contact.

Dans cet état d'être, John pouvait bien mettre sa personnalité ultra organisé et discipliné de coté pour se soir, ça ne lui fera aucun tort après tout. En plus du contact, ils pouvaient savourer une autre chose, quelques chose de tout aussi essentiel à un moment comme celui-ci... La chaleur! Sentir la chaude poitrine de la louve blanche contre son puissant torse était déjà envoutant, le souffle chaud de Félicia sur son oreille lui donnait des ces envies... Si bien qu'il la retourna sur le dos et monta sur elle, sa taille entre les cuisses de la fossoyeuse, ses coudes sur ses côtés, la tenant prise dans son piège. Il continua à l'embrasser dans le cou pendant un moment... Mais son envie devenait de plus en plus charnel, alors il commença a guider ses lèvres vers le décolleté de la belle, y aventura déjà une main pour la libérer de cet obstacle. Il fit de son mieux pour ne pas abimer la robe de la belle louve malgré la tentation montante. Rendu à portée, il infiltra ses lèvres entre ses seins et il continua ses louanges assisté de son souffle chaude, à l'affût des réactions de Félicia... Bon sang qu'il commence à faire vraiment chaude dans sa chemise!

Félicia cotinuas son petit manége, jusqu'à etre retournait dos contre terre, Janathan sur elle, sa taille entre ces cuisses, la prenant au piége de ces coudes enfermant le haut de son corps. Malgré son cou pris d'assaut par les baisers du détective, elle put sentir sa robe être baisser, pour libérer ces seins, maintenu par un soutien goerge en fine dantelle noir, légérement transparent. Une lingerie bien sympathique, mais étonnante sur quelqu'un qui enterrait les morts. La belle louve blanche poussas un petit soupir animal en sentant les lévres de son amant d'un soir s'inflitraient entre ces seins. Ces mains arpentait le cuir chevelu du détective et ces lévres posait quelques baiser lorsque son front était à portée de main. Elle n'avait qu'une envie, c'était d'enlever cette fichu robe. Mais il lui manquait quelque chose pour ça. L'intimité d'une chambre.

Dites moi, Jonathan. Ca vous dérange si nous continuons chez vous ? Se sera disons, plus confortable et plus intimes, vous ne croyez pas ?

Profitant du fait que Jonathan remontait vers elle pour lui répondre, la belle en profitas pour lui voler un baiser, chose dont il ne tiendrait surement pas rigeur en se moment. Ces lévres caressérent avec sensualité celle du détective et lorsque le baiser sur fini, elle souris doucement, attendant la réponse de Jonathan en lui caressant le cou.

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