Lorsque se croise chat et chien... (Pv Maeve/Jonathan)

Il n'était pas encore trois heure de l'après-midi et Maëve ressentait déja l'attraction de la lune. Ce qui lui fit penser que ce mois-ci, la fièvre lunaire serait très forte. Malheureusement, cela ne faisait pas encore une semaine qu'elle était en ville. Donc, elle allait devoir se trouver de nouveaux partenaires susceptibles de la satisfaire pour la semaine à venir. Elle n'aimait pas se donner à des inconnues, préférant avoir les même partenaires qui la connaissent bien, mais dans cette nouvelle ville, elle allait devoir se fier à son instinct, du moins pour se premier mois.

C'est dans cet optique qu'elle était venue dans cette boite réservée aux métamorphes. Comme à toutes les fois qu'elle devait se rendre dans un établissement de ce genre, Maëve se douchait et s'habillait avec soin. Parfois, les habits sont très révélateurs sur la personnalité d'une personne. Comme les rayures d'un tigre sont révélatrice. Bref, elle portait un string en dentelle noire, accompagné du soutif assortit. Comme le sol de l'endroit était fait de tapis, elle laissa ses souliers à talons hauts dans les vestiaires, tout comme son manteau. Elle entra dans la salle aux environs de 20h30. La jeune femme jeta un regard circulaire à la foule. Elle ne s'était effectivement pas trompée, la fièvre lunaire serait forte ce mois-ci. La tigresse huma l'air et laissa tomber son glamour un peu question de s'attirer les regards des environs puis elle fendit la foule pour aller sur la piste de danse.

(HJ: Bon, je vais essayer de faire quelque chose. Je compte pas aborder ton personnage dans ce poste alors ca risque d'être pénible, XD ( pénible pour moi,XD).)

La musique était entrainante et presque hypnotisante. Les odeurs tout autour étaient de plus en plus fortes et de plus en plus franches. Depuis qu'elle avait mis les pieds sur la piste de danse, la chaleur devait avoir montée de trois ou quatre degrés. Ses sous-vêtements de dentelles lui irritaient la peau tant cette dernière était sensible. La tigresse avait beau aimer se prélasser au chaud, elle aimait bien aussi se rafraîchir et c'est ce qu'elle avait en tête lorsqu'elle se dirigea vers le bar. Elle y commanda un jus de fruit, n'ayant pas la tête à boire ce soir là. Pour elle, alcool égale une chaleur corporelle plus élevée et elle n'en avait pas besoin pour l'instant. Elle but son verre de jus d'un seul trait, remit son verre sur le comptoir et se fit tirer par la taille comme elle voulait s'en retourner sur la piste de danse. De grandes mains un peu calleuse la retournèrent et se perdirent en arabesque le long de son dos qui se couvrit, lui, de chaire de poule. Elle arqua le dos un peu, se rapprochant de l'homme, mais, même s'il essaya de croiser son regard, elle l'évita. Le rideau de ses longs cheveux d'ébène lui masquait totalement le corps du métamorphe qui la tenait par la taille.

- Hé,Hé,Hé....Un petit sourire lui échappa. Elle remonta lentement la jambe, faisant en sorte de la frôler le long de la jambe de l'étranger qui la tenait dans ses bras. Elle ferma les yeux légèrement et huma pour en savoir plus sur lui.

*Tien, tien...Un petit loup...* Pensa t-elle tandis qu'un sourire ourla ses lèvres.

- Que me veux-tu, petit loup? Murmura t-elle sachant pertinemment qu'il l'entendrait même avec tout le vacarme de l'endroit.

( HJ: Voilà, je te laisse le choix de décider si le loup en question est Jo où bien si encore c'est un autre loup qui l'a abordé )

Déjà six heure du soir. Le soleil achève sa cours dans le ciel. Regardant une émission de variété à la télé, je commence à ressentir cette chose devenu si familière au fil des ans. Alors que le programme tire à sa fin, je sens les Celsius monter. Je retire alors ma veste de cuir. Mon fauteuil devient presque insuportable dans cette solitude. Soudainement, je me lève dans un geste bestiale, et me dirige vers le réfrigérateur. En ouvrant la porte, le bouffé de fraicheur m'est relaxante pour quelques secondes. Malheureusement, Je me dois de boire cette bouteille d'eau cul-sec pour faire durer l'effet.

Sept heure. ça y est, l'heure est à la fête : direction la Métamorphose Lunaire. Cheveux au vents, c'est abord de ma Audi que je me suis rendu au club. Je suis encore relativement loin, mais je peux déjà sentir la quantité phénoménale d'hormones dans l'endroit. L'odeur est aggressante, presque étouffante.

Ah, voilà, la destination par excellence pour la fièvre. Je gare ma voiture deux où trois rues plus loin. Je porte mes vêtement habituels, moins ma veste que j'ai laissée dans la décapotable. J'entre en faisant un léger signe au portier, il m'a reconnu. L'ambiance est chaude ce soir, très chaude. Il semble qu'il y a plus de mondes que le mois dernier. Mais qu'est-ce qui...cet odeur... ! Voilà pourquoi tous ces métamorphes. J'aurais reconnu une odeur de ce genre n'importe où.

La piste de danse est bondée de couple qui se frotte et se trémousse. À chacun de mes pas, la température augmente. Je m'immobilise au centre. Les yeux fermé, je me concentre sur cette odeur unique. Le Bar. Elle prend un verre? En creusant mon chemin dans l'océan d'hormones ambulants, je me dirige vers le comptoir à boisson. Je la vois, juste là. Dans la perfection de sa silhouette arrière, je vois une cascade de cheveux noirs. Le doux mouvement de ses hanches au rythme de la musique, surement instinctif dans cette soirée. Je n'en peux déjà plus. Je m'approche d'elle. La prenant par la taille, je l'a tire jusqu'à la piste de danse. Pendant que mes mains parcouru son dos et ses courbes sensuelles, mon regard cherchait le sien. Je sentis la douceur de sa jambe malgré mes pantalons.

- Que me veux-tu, petit loup?

Cette question me laissa perplexe. Je humai donc l'air afin de confirmation un nouveau doute dans mon esprit. Une Faëry, c'est évident...mais aussi...une Métamorphe. Comme c'est curieux. C'est la première fois que je rencontre une telle créature. Le léger sourire au coin des lèvres, je répondit à sa question avec une chaleur distincte dans la voix.

- Héhé, je crois que tu connais déjà la réponse magnifique nymphe de la nuit...

Je déposai alors mes mains sur ses hanches invitantes, la rapprochant d'avantage de moi. Le rythme de la musique nous entrainait parmi la foule agitée. Cette fièvre lunaire promettait d'être particulièrement...unique.

(HJ: Ton poste est vraiment super bien! Chapeau, mais par contre, ton loup sera incapable de sentir son odeur de Faëry, elle le cache sous son glamour pour l'instant. Sinon, elle se ferait tout simplement violer dans cette salle remplit de métamorphes en fièvre lunaire, XD. )

Le contact des mains de ce loup sur son corps la rendait dingue! Chacun de ses doigts lui laissaient des trainé de feu sur sa peau satinée. Il était grand et musclé sans être grotesque. Elle aimait ses partenaires comme lui. En tant que seule représentante féminine de son espèce de garou, Maëve avait l'embarras du choix de ses partenaires de jeux, mais elle ne les aimait pas quand ils étaient trop musclés, ce que les mâles de son espèces avaient tendance à être.

La tigresse se laissa entrainer sur la piste de danse, ne s'opposant pas. De toute façon, tout ce qu'elle voulait c'était qu'il la touche encore. Il rigola un peu avant de répondre à sa question. C'était bien qu'il ait le sens de l'humour, c'est un petit plus qu'elle appréciait. La réponse qu'il lui fit lui donna une GROSSE bouffée de chaleur. Maëve laissa couler un ronronnement de contentement, cette réponse l'enchantait!

- Alors, c'est tant mieux, petit loup! J'ai un appétit immense à satisfaire pour les prochains jours...Tu te porte volontaire? Demanda t-elle, aguicheuse avec sa voie roulante et suave. La magnifique jeune femme leva enfin ses yeux vert qui tiraient en ce moment sur le doré à cause de la proximité de la pleine lune et croisa le regard du loup. Elle s'humecta les lèvres et de mit sur la pointes des pieds ne le quittant pas du regard. Doucement, elle alla frôler les lèvres du loup des siennes, se lovant contre lui...

La soirée allait plus que bien, je n'aurais pas cru qu'elle se contente du premier venu. Je suis conscient de mon charme, mais j'étais étonné qu'elle soit si sensible à ses besoins lunaires. Son corps ondulant me rendait fou, mais beaucoup moins que le léger contacte de ses lèvres si tendres. J'en eu des frisson tout le long de l'échine. La chaleur devient alors insuportable.

Laissant sur place ma partenaire de danse, et surement plus, je reculai de quelques pas en déchirant brutalement mon t-shirt. Je lançai les lambeaux de vêtements avant de prendre les mains de Maëve pour l'attirer contre mon corps. Approchant mes lèvres de son oreille je dis :

- Salsa, tu connais?

J'eus pour seule réponse, deux mains délicate mais forte qui me repoussèrent quelques pas plus loin. Suite à quoi, elle se plaça en position. Je fis de même. Le Dj, qui n'avait rien manqué depuis le début, changea tout de suite la musique. L'intro de rythme latino entra dans la salle. Ma partenaire s'approcha alors de moi en se déhanchant comme si le démon de la sensualité était en elle. Elle fit quelque tour de ma personne, glissant sa main sur mon torse désormais nu. Sur un coup de percussion, nous figeâmes la pose l'un contre l'autre. Le regard profond, sa jambe sur mon flanc et ma main sur sa cuisse.

Ce n'était plus simplement de la danse, c'était complètement autre chose. Les mouvement que nous étions en train d'effectuer n'était plus de l'essor de ce que l'on appelle "danse". Nous étions en train d'extérioriser nos passions mutuelles.

À un moment, je la soulevais alors qu'elle effectuait un grand écart. À l'autre, elle jouait avec moi, me repoussant puis se collant contre moi. C'était ensuite la pirouette où je la faisais passer par dessus ma tête puis entre mes jambes pour la reprendre par l'avant. Plus loin, son corps de déesse était adossé au mien, et ma main passait de l'intérieur de sa cuisse jusqu'à son ventre plat et ferme. Je sentis les frissons qui la parcoururent.

La salsa endiablée se termina sous une autre pose, où j'étais debout, jouant un homme outré, et elle, à genoux les deux mains sur ma cuisse, qui actait une femme suppliante. Le rythme latin se termina avec les cris envouté de tous ceux qui nous regardaient...


[HJ : J'espère que tu auras/vas apprécié ce post ]

(Humm... Détournement de situation imprévu... Bon ben, je vais improviser avec ça. )

Elle savait qu'il était là, a lui tourner autour, à la prendre en chasse... Mais elle ne le voyait pas. Au un moment venu, elle alla vers le bar pour déguster un verre, sentant l'appétit devenir de plus en plus fort, il s'avança vers elle, lentement avec une grâce prédateur, pour venir la prendre par la taille et lui proposer quelques avances. La patience est une délicieuse épice qui accentue le délice de la chasse...

...Et si seulement tout les Werewolfs pensaient comme lui...

Samuel, le fils de l'Ulfric, le pris littéralement d'avance et laissant un froid glacial dans l'estomac de Jonathan qui lui coupa presque l'appétit. Là, sous ses yeux. Le Bolverk baissa la tête, laissa les cheveux lui servir de voile facial pour couvrir ses crocs serrés pour contenir ses grognements. Rien n'est plus désagréable pour un chasseur de perdre sa proie, même si au profit d'un autre... Mais en même temps, Samuel était de la même meute alors ils se devait un respects digne et de plus en sa faveur, être fils de l'Ulfric offre certains avantages, certes indirects, mais bien présents. Alors qu'il la ramenait sur la piste, lui rejoignit le bar et demanda un autre verre. Peu importe ou en était le celcius, il n'en avait rien a faire.

Danser une Salsa est toujours le bienvenue... Enfin, si ont est deux, dans son cas John était bien seul. Il sirote son second et surement dernier verre de Whisky de la soirée, lentement, presque écœuré, mais à chaque fois la vue de la piste de danse le revint depuis le grand miroir derrière le bar ou par les reflets sur son propre verre... Mais ce qu'il remarqua surtout c'était sa mine, qu'est-ce qu'il avait de mauvais crocs, ça se devinait en son regard. Depuis quand Jonathan G. Lestage manque d'audace? Oh que non, Jamais et surtout pas se soir. Soit elle aura aussi des yeux pour deux prétendants, soit rien! Il cala son verre cul sec et se retourna sur son bac au moment ou Le duo fit la scène de drame publiquement. Seulement, le public ne remarquait pas encore le troisième acteur, l'homme au regard inquisiteur en son coins qui dardait Samuel d'un regard de ''Hey, je l'avais en chasse le premier!''. L'angle était trop parfait, soit directement devant Samuel, pour que celui-ci ne le manquer malgré la foule.

Le duel, amical ou rival, est typiquement lupin pour marquer les différences entre deux Werewolf d'une meute, mais vu le niveau d'excitation et l'atmosphère était beaucoup plus à la danse qu'à l'affrontement musclé.

(HJ: Je vais maintenir la même cadence de posts si vous préférez, deux post chacun, sam et moi, avant de passer Maeve à l'autre, ca vous vas?)

Il compris le jeu, parfait! Jonathan était heureux que son ancien frère d'arme avec lequel il a fait les deux guerres mondiales comprenait les termes du duel et l'ai pris d'un bon point. Au moment pile ou la musique changeait d'air, elle envoya la sublime femme aux cheveux de ténèbres dans ses puissants bras. Bien évidement, il s'était relever d'un bond et l'accueillit à bras ouvert... Alors là, mais comme son parfum est envoutant!

Le Bolverk la colla à lui à la taille de par sa main gauche, sa main droite allait avoir une autre utilité pour le moment. Il leva les yeux vers Samuel et lui fit un salut comme il l'avait souvent salué sur le front de l'ouest, le salut militaire traditionnel et avec tout le respect qui lui est dû. Il avait raison, les Werewolfs sont d'un tempérament généralement très possessif, mais dans ce cas ci, l'honneur allait créer l'exception.

Il se frotta la joue sur le cou jusqu'à joue contre joue de la mystérieuse femme en relâchant un léger grognement canin plein d'appétit. Sa seconde main vint se faufiler dans la soyeuse chevelure de ténèbres de la belle, venant lui saisir l'arrière de la tête. Sa poigne au niveau des hanches de la belle devenait plus ferme également de son côté. Malgré tout, aucun de ses mouvements étaient trop dominant car le Bolverk faisait de son mieux pour la mettre en confiance, la faire sentir femme d'abord et avant tout.

- Bonsoir belle déesse nocturne... Je n'ai pas eut le temps de bien t'approcher tout à l'heure, sur la piste. Me ferai tu l'honneur d'une danse?... Ah tiens, ça commence avec un peu de Meringue ont dirai...

Sa voix était chaude et plein d'avances. Il la regarda dans les yeux un moment, l'admirant jusqu'en la profondeur de ses pupilles et attira ses lèvres sur les siennes, les dégustant avec sensualité. Quelques secondes de délices avant l'entrée sur la piste, un classique qui marche toujours.