Jonathan G. Lestage, détective privé au flair lupin, à votre service.

NOM : G. Lestage (Garret. Lestage)

PRÉNOM : Jonathan

SURNOM : John

NATIONALITÉ : Anglo-Américaine

SEXE : Masculin

ORIENTATION SEXUELLE : 100% hétérosexuel

STATUT SOCIAL : Célibataire

STATUT AU SEIN DE LA MEUTE/POSTE : Bolverk

ÂGE : 24 ans

ÂGE RÉELLE : 146 ans

OÙ HABITE T-IL : Jonathan habite dans son sous-sol de bureau, qu'il qualifie personnellement de ''tanière'' dans son jargon personnel. Ont ne peut pas dire qu'il est distant car son bureau est a moins de 5 minutes a pieds de la résidence principale de la meute, le gardant a porté de l'Ulfric et de la Lupa pour les questions d'importances. Il y vit seul avec ses chiens.

CELUI QUI LUI A TRANSMIT LE GÊNE DU LOUP-GAROU : Alors que John n'était encore qu'un jeune policier de Scotland Yard, ca carrière prit fin très prématurément. Un sombre et sinistre personnage commit son premier meurtre publique, un nouveau et terrifiant tueur en série arpente les rues de Londres connu sous le nom funeste de Jack l'Éventreur... Et oui, vous devinez facilement la suite. John fut transformé suite à la morsure du werewolf caché derrière le sanglant meurtrier. Selon les documents et les rapports remis au Scotland Yard, Jack l'éventreur était très probablement issu de la classe populaire, ayant surement été victime de sévices durant l'enfance et d'autres violences antérieures. Il était très intelligent pour un homme du peuple, quoi que asocial ou antisocial. Pauvre, il n'avait surement pas les moyens ni le bon cadre pour entrer dans des facultés d'anatomie et de médecine, malgré que la brutalité chirurgicale de ses
meurtres met cet hypothèse sur le doute. Aucun nom ni aucune description
physique connu ne permet de l'identifier. Au bout du compte, Jack l'éventreur n'était qu'un werewolf ordinaire soumis à sa soif de chasse et de sang, mais au mauvais endroit et surtout à la mauvaise époque ou il était bel et bien seul.


AMIS/ENNEMIES CONNUES : Si ont exclu les criminel qu'il a aider a expédier en prison, les maris et femmes infidèles dont il a confirmer les torts et certains des cas les plus ardent coucher sur papier et empiler dans ses porte-documents d'affaires classés, John n'a aucun ennemi parmi les créatures de l'ombres actuels. Mais bien sur, tout peu changer d'un instant à l'autre. Les affaires quoi...

DESCRIPTION PHYSIQUE : Sous sa forme originelle, Jonathan est un homme de bonne taille et bien sur une bonne carrure et bien muscler. En terme mathématique, il mesure 5.12 pieds et pèse 98 kilo, en chair en os et bien sur en muscles fortement travaillés. Sa peau est claire et ne bronze pas. Aucune pilosité faciale ne cache sa forte mâchoire et encore moins ses semis-sourire mi-sérieux, mi-confiant. Il se tient une chevelure tombant sur le haut de la nuque. Le mélange bien mixte de blond et de châtain s'identifie à lui. Ses yeux sont d'un bleu ciel perçant et luisant d'un éclat typiquement lupin à la lumière lunaire, qu'il soit sous forme humaine ou animale. Malgré son auto-régénération surnaturellement rapide typique aux werewolfs, certaines cicatrices et brûlures restent encore visible, la raison logiques étant bien sur des blessures d’argent. Une légère cicatrice se discerne si l’on y prête longue attention depuis le milieu du front à la pommette de joue gauche et passant sur la paupière gauche de son visage. Cette cicatrice ne l’enlaidit pas, au contraire elle fait honneur à sa réputation de dur à cuire. Ses autres ‘’blessures de chasse’’ sont éparpillé de part a autre de son corps, prenant le plus souvent des apparences de griffure ou d’éraflures causer par des lames.


Sous forme lupine, Jonathan deviens un grand loup musclé et athlétique. L’éclat de ses yeux deviens permanent
et surtout plus visible en pleine obscurité. Ses pattes deviennent puissantes
et agiles, ses crocs acérés comme des lames de rasoir. Une forte pilosité
apparait rapidement à l’instant de la transformation, laissant place à une
épaisse et soyeuse blanche comme neige par endroit, noire de jais par ailleurs. Le noir étant plus présent sur son dos, sur ses pattes sur sa nuque et sur une bonne partie de son visage, le blanc couvre le reste du visage en harmonie, le bas des pattes, la point de la queue et le ventre du loup.


DESCRIPTION VESTIMENTAIRE :: Les manteaux de cuir forment la majeure partie de son garde robe, tous de bonne qualité. Autrement, son habillement est varié. Chemise, vestes, polo, t-shirt, camisoles, chaque jour à sa touche particulière dirions-nous. Le seul détail s’apparentant aux manteaux est les pantalons, uniquement composé de jeans. S’il n’est pas chausser de souliers de ville, c’est de bonnes vieilles bottes d’armée noire à cap d’acier qui prennent la relève, aimés à la fois de leurs robustesse mais aussi pour leurs puissances d’impact lorsque vient le temps de botter quelques derrières. Inutile de demander à John
quel est sa marque vestimentaire préférée, la signature Calvin Klein se
remarque presque partout sur lui, comme quoi même les hommes cohabitant avec leur bestialité intérieure peuvent aimer être bien vêtus.

Au travail irrégulier, les risques irréguliers. Risquant souvent des représailles de la part de cibles d’enquêtes vindicatives, Jonathan a toujours garder à l’esprit l’utilité pratique des gilets pare-balle et leurs protections aux jambes et aux bras. Face a un ennemi intelligent utilisant des balles argentée, il faut se tenir prêt à terminer le travail coûte que coûte. Il entrepose plusieurs de ces tenues tactiques dans son appartement. Vous lui demandez comment? Il vous répondra qu’il est toujours pratique d’avoir un surplus de l’armée au coin de rue le plus proche…

DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE : Quiconque ne connaissant pas Jonathan le prendra pour un être renfermer, froid, distant et d’un sérieux plus stoïque que le marbre. Ce premier reflet n’est pas entièrement faux, puisque sa nature et son sang-froid britannique y trouver leurs premières racines. Ex-policier en croisade contre le crime, punisseur de la meute et devant veiller à la lettre aux lois de cette dernière, détective privé à l’agenda très stricte… Ont ne peut soutenir une vie si surcharger sans une solide discipline. Parler pour ne rien dire n’est pas dans ses manies, alors que l’honnêteté et son sens aigu du détail sont ses politesses les plus évidentes. Même devant des insultes soutenues et cinglantes, il ne bougera pas d’un poil et dévisagera son interlocuteur avec un œil totalement non-intéressé. À moins qu’un membre de la meute, un ami, un allié ou lui-même soit menacer évidement, Jonathan ne vois pas
l’intérêt de se salir les pattes inutilement et surtout stupidement. Il prend
ses responsabilités de Bolverk avec honneur et sa loyauté envers la meute est indiscutable. En guise de chasseur de prime personnel de l’Ulfric, il lui répondra toujours droit et véritable tant que l’Ulfric prouve sa suprématie. Il devra également tout ses respects avec une petite touche de courtoisie envers la Lupa. Il voit son Baugi, son Suttung et son Guunlod comme ses subordonnés et assistant. Il n’aime pas particulièrement que l’ont pense ou parle pour lui, vu son titre. Même s’il arrive qu’il doive lever un peu le ton pour rappeler qu’il est le Bolverk, il n’est pas non plus un tyran. En dépit de son mépris pour le manque de discipline, John apprécie et récompense les preuves d’initiative, l’esprit d’entraide et le respect entre ses aides et lui. Il voit le Galgagrarnr en égal et lui laisse volontiers la branche de l’exécution des coupables juger par l’Ulfric. Il parle généralement sur un ton amical avec les membres de la meute et accepte volontiers les accolades proprement adoré des werewolfs.


Mais une fois cette première impression passé, Jonathan prend une apparence plus changeante, allant de plus agréable à plus désagréable. John est courtois et plaisant, amical, affectueux sympathique et même farouchement protecteur envers ceux qui mérite le meilleur de lui. Inversement, il est froid comme un glacier et inflexible envers ceux
qui lui montre ou lui font tort. Toutefois, même de nature résistant au stress,
il ne l’est pas indéfiniment. Si on le pousse a bout, son contrôle de soi
engendra un véritable retour de flamme et une réaction totalement subite et forte. Poussé irrégulière d’adrénaline, hyperactivité, insomnie, trouble de l’appétit, comportement imprévisible, brutalité, entêtement extrême,
transformation… Il y a un prix à payer à se maitriser continuellement, et ce
prix change selon la situation.

Ses sens lupins exacerbés lui permettent de voir, entendre,
sentir et même ‘’goûter’’ les moindres détails de son environnement,
faisant de lui un limier plus que remarquable. Diriger le dans un ancien
bar incendier et même au cœur des cendres noires, il vous dira de par
son pif que ce n’est pas de l’essence qui a accélérer l’incendie comme
le sous-entend le rapport de police, mais bien qu’une forte
concentration d’alcool fort tel du Rhum fut l’élément inflammable qui
provoqua le sinistre.

En pleine fièvre lunaire, le gentleman devient son parfait opposé. Attitude lasse et décontracte, habillement plus négligé (pour ne pas dire presque déshabillé), démarche magnétisante, regard envoutant, respiration saccadé, nécessité de prouver son panache, fort plaisir aux jeux de séduction, appétit sexuel vorace et insatiable… Il faut se le dire, le gentil garçon devient vilain, très vilain…


Malgré toutes ces facettes, Jonathan reste un homme qui a son flair pour guide de conduite. Il ne fera rien que son intuition lui déconseillera de faire et inversement, il foncera avec entrain en pleine maison incendié si son intuition lui dit qu’il a de forte chance de survivre. Cela dit, il a une grande confiance en lui et est loin d’être un idiot. Il ne reste jamais inactif bien longtemps, même en situation très critique. Cette façon de penser lui a sûrement sauvé la vie plus souvent qu’il ne peut le penser lui-même…

SIGNES DISTINCTIFS : Son vocabulaire peut être riche aux oreilles de certains tout comme étrange aux oreilles d’autres. Il parle parfois en utilisant des tournures anciennes, à l’anglaise quoi, et parle avec positif des petits plaisir de la vie. Ses phrases souvent imprégnés par la sagesse de l’expérience seraient presque nue sans cela. Les différentes cicatrices d’anciens combat marquant son corps sont les vestiges d’une longue vie de bataille, mais Jonathan ne vois pas l’intérêt de les faires totalement guérir, préférant les voir comme des ‘’souvenirs de chasses’’.

QUALITÉS :
-Juste : Le sens de la justice de Jonathan est fort et bien droit. Même si
personne n’est infaillible, il est vrai que John se trompe rarement. Il est
suffisamment patient et connait assez bien son credo pour écouter les deux partis, les analyser chacun dans leurs moindre détail et arguments et trancher au moment pile et précis. Bref, s’il n’avait pas été policier jadis, il aurait fait un excellent juge ou procureur.

-Professionnel : John ne fais jamais rien à moitié, d’autant qu’il ne laisse rien en plan. Si ont lui confie une tâche, il la fera à 110% et pourra même vous étonner. Peu de chose est pour lui plus remarquable que l’art de bien faire les choses comme elles se doivent.

-Empathique : tout comme les sens de Jonathan lui permettent de ‘’scanner’’ de font en comble une scène de crime et trouver la prochaine piste en un rien de temps, son regard inquisiteur et transperçant atteint vraiment l’âme des gens. Ce don devenu force a permit de déceler la tristesse d’autrui depuis ses racines, détecter un membre de la
meute dont le comportement s’approche de celui d’un Fenrir en quelques seconde et analyser précisément les subtilités du langage corporel d’autrui. Se mélange de psychologie et d’aptitude sociale naturelle se marie bien aux habitudes commune des Werewolf qui vivent beaucoup de leurs intuition. En pleine fièvre lunaire, ce sixième sens est d’autant plus alerte... Inutile de se demander pourquoi...

- Protecteur : Le lien soudant les werewolfs d’une meute est pour maximiser leur survie commune et leurs épanouissements dans un monde secret et à l’extérieur hostile, beaucoup de werewolf se montrent alors très protecteur envers les leurs et leurs alliés. Jonathan fait immanquablement parti de ceux-là. Il préfèrera se pointer entre un allié et une troupe de S.W.A.T armée jusqu’au dent et encaisser les balles à la place de son allié, sachant qu’il est plus apte à se relever qu’un humain normal. Il montre d’avantage de zèle s’il doit protéger ses aides ou les gens à
qui il a fait serment de tenir en vie en termes d’aide mutuelle.

-Sage : Jonathan connait le 70% de choses qu’il peut faire et le 30% de choses qu’il ne peut pas faire. Il sait ce qui est bien de faire et ce qui est mal de faire. Il sait que chaque action entrainement inévitablement une réaction. Il sait que chaque actions-réactions peuvent partir d’un petit rien et devenir une catastrophe si personne ne fait rien… Tout ça pour dire qu’il ne fait rien pour rien et coordonne ses connaissances conjointement à son intuition pour marchander de son mieux avec les situations. Créature sociale, il ne se gêne pas de faire quelques remarques à autrui s’il juge que ces dernières pourraient les aider.

DÉFAUTS :

-Perfectionniste : S’il y a une chose qui inéluctablement peut faire perdre la tête à Jonathan, c’est bien l’échec. Vivre dans un monde ou sa réputation ne tiens qu’à un fil d’autant sur le plan professionnel que social donne de quoi avoir des migraines monstrueuses. Sa phobie de l’échec peut le pousser à mettre de la pression sur ses subordonnés, à remettre en cause d’anciens protocoles, à s’entêter et parfois être totalement catégorique. L’amenant parfois sur la fine couche de glace craquante entre le bon entrepreneur et le despote.

- Institutionnalisé : Sauf en temps de fièvre lunaire, John poignardera d’un regard plein d’intimidation toute personne ou créature prompte à l’irresponsabilité ou à l’insubordination. Plongée dans la discipline stricte
depuis sa plus jeune enfance, il ne voit pas d’autre vie que celle qu’il a vécue.

-Intraitable : Ce point peu s’apparenter à la cruauté, mais à un degré heureusement moindre. John prend parfois son travail un peu trop au sérieux, l’obligeant parfois à fermer les yeux sur certains de ses principes pour un meilleur ordre ou pour une réparation. Par exemple, face à un rival virulent et récalcitrant, Jonathan ne se gênera pas d’utiliser tout les moyens nécessaires ou presque pour lui faire comprendre qu’on ne piétine pas ses plates-bandes. Brutalité, intimidation, vandalisme, espionnage de la vie privé… Simplement faire les choses ne suffit
pas, l’obsession d’avoir le fauteur de trouble sous sa botte lui vient de son
créateur… Et non pas par son exemple, bien au contraire…

- Ne mâche pas les mots : Si John sait être poli, courtois et éloquent envers ceux qui s’attire sa sympathie, ceux qui s’attirent son antipathie croient recevoir un coup d’épée dans les trippes à presque chaque tournures de phrases de sa part. C’est le cas de le dire, si vous le
mettez de mauvais poil, il va mordre et avec beaucoup de férocité et
méchanceté.


- Réaliste : C’est malheureux, mais cela fait longtemps que Jonathan a compris que le monde n’est pas noir et blanc, mais bien gris. La corruption est souvent caché sous un masque de vertu, les mœurs disparaissent avec le temps, la loyauté devient celle qu’on achète avec le plus de billet, etc. Même s’il travaille à titre privé. Résultat, même armé d’une volonté de fer, son moral de mine facilement.


STYLES DE COMBATS, DE DÉFENSES : Il est rare et surtout extrême que Jonathan engage le combat de façon létal, surtout alors que son devoir de Bolverk consiste d’abord à soumettre et ramener les contrevenants des lois de la meute devant l’Ulfric et que l’exécution est le domaine du Galgagrarnr. Il ne tirera jamais le premier, préférant pointer le canon en guise d’intimidation plutôt que réelle menace. Si ce bluff s’avère inutile, il tentera de neutraliser ou désarmer son adversaire plutôt que de le blesser ou le tuer. En cas de second échec, il engagera la mélée à l’aide de ses armes de corps à corps, sa force et son endurance surnaturelle et en utilisant le terrain à son avantage. Il n’utilise les armes à feu qu’en cas de réelle nécessité. S’il doit engager un autre werewolf en combat, se sera dans les règles de l’art. Autrement dit en vrais loup, face à
face, crocs contre crocs. Sur le même principe que les
armes à feu, John ne se transforme qu’en cas d’ultime nécessité si sont
n’ennemi n’est pas werewolf, métamorphe ou hybride.

ARMES : John s’arme et s’équipe à la façon d’un chasseur de prime plutôt que
d’un tueur à gage. En un premier temps, John ne concentre sur les armes non
létales tel le pistolet Teaser et les matraques. Si l’adversaire est trop
dangereux, il utilisera les armes à feu uniquement en contrepoids à un tel
danger. Que se soit le fusil à pompe (Shotgun), la mitrailleuse légère Mp5 ou
le bon vieux pistolet U.S Colt, Jonathan sait se débrouiller avec les armes de
l’armurerie des forces de polices et des surplus de l’armée. Si le combat létal
est engager au corps à corps, il s’équipe souvent d’au moins un poignard, si ce
n’est pas plusieurs. Il n’utilise jamais de balle ou de lame en argent, mais utilise volontiers grenade fumigène et flashbang s'il en a sous la main.

Note bonne à savoir: Il est rare que John utilise des armes à feu autre que son pistolet, pour raison qu'il n'en possède pas d'autre pour des raison de discrétion. Il a pour dire: ''Si j'ai besoin d'un plus gros calibre, je me pencherai et en ramasserai un au sol en temps voulu. Sinon, je me débrouille!''. Cela dit, combattre sans arme est loin d'être un problème pour lui qui s'y connais en plusieurs discipline d'art martiaux, partant de la boxe anglaise au Karaté en passant par le Ju-Jitsu brésilien. Il n'est pas nécessairement ceinture noir, ne pratiquant pas pour la compétition, mais sa grande polyvalence lui fait honneur.

MODE DE DÉPLACEMENT : Il en a deux, soit une Moto Harley Davidson lui donnant une allure ‘’Vient pas me chercher’’, soit un Jeep tout terrain lui permettant de transporter beaucoup de matériel si nécessaire. Il ne les utilise pas toujours, étant grand amateur du parcours, il préfère sauter de toit en toit et lorsqu’il a le temps de le faire. Il n’utilise ses véhicule que s’il doit être à un ou plusieurs endroit très rapidement.

FAMILLE : Fils unique et vieux de presque un siècle et demi, sa seule famille était ses parents, aujourd’hui six pieds sous terre depuis fort longtemps.


HISTOIRE

L'ENFANCE, LA VIE AVANT LA TRANSFORMATION : Jonathan est né en 1864 dans une famille au père militaire, officier de surcroit. Sa maison natale était une maison de ferme dans la région du Northumberland, dans le nord de l’Angleterre. Ayant un père à la fois très strict et souvent absent, c’est sa mère qui l’éleva en veillant à ce que le fils soit digne du père, discipliné, ordonné et direct. Il assista sa mère dans diverses corvée dès l’âge de quatre ans, se couchait au couvre feu chaque soir et était debout à six heure pile chaque matin. Travailler avec des animaux était quotidien tout comme vivre au gré des saisons, la moisson à la fin de l’été et les températures anglaise, soit très pluvieuse. Vivre ainsi à la merci des éléments et à la sueur de son front fit du jeune garçon un adolescent solide, agile et en excellente forme physique. La discipline augmentant d’un cran plus haut chaque année et face à un père très sévère mais aussi franc et juste, il n’eut pas de rébellion typique à l’adolescence à cette phase de sa vie. Le haut grade militaire de son
père et sa personnalité digne d’un soldat endurci ouvrit de grandes portes au jeune Jonathan Garret Lestage, mais tout comme le souhaitait son père, le fils voulait servir sa majesté le reine à sa façon.


LA ''TRANSFORMATION'' : Ayant suivi un entrainement déjà familier et ayant répondu avec brio à tout les critères de sélection, Jonathan devint policier à l’âge de 19 ans et agent du Scotland Yard deux ans plus tard en 1885. Son avenir était prometteur, son exemple pour ses pairs remarquable, son uniforme bien décorer… Mais seulement au début ce qui aurai pu être un héro de police défenseur de la justice, un impie agent du mal entra en scène.

Un tueur en série surnommé Jack l’Éventreur
assassine les prostituées des rues de Londres et déclare la guerre aux forces de l’ordre. Immédiatement, plusieurs réputé inspecteurs du Scotland Yard assisté par Jonathan sont sur l’affaire. Il fallut plusieurs victimes encore et beaucoup d’arrache pour se faire ridiculiser à chaque fois… Puis finalement un soir, lors d’une simple patrouille de ruelle quotidienne, le jeune justicier londonien pris le malfaiteur notoire en flagrant délit et le pris en pourchasse effrénée dans les ruelles sombres. D’abord étonné de constater que cet homme sombre coutait plus vite que lui, Jonathan aux jambes d’athlète, il fini par le perdre de vue et se mit à fouiller de fond en comble le secteur, seul. Il eut finalement l’idée d’ouvrir une vieille porte de cave matraque à la main pour ne voir uniquement qu’une grande silhouette de loup noir aux yeux injecté de sang lui foncer dessus et le mordre avec violence à la gorge. Le pauvre homme ne pouvait rien contre une telle masse de muscle et tomba sur le dos écrasé par la masse de fourrure sanguinaire qui le saignait tel un porc. Son dernier souvenir de ce moment effroyable est de se voir impuissant, les deux mains sur la gueule du loup, débattant pour se libérer et pour respirer, avant de sombrer dans l’inconscience.

SA VIE DE WEREWOLF, LES ÉVÉNEMENTS MARQUANT JUSQU'À AUJOURD'HUI :

Il se réveilla à l’hopital, entourer de médecins et de prêtres protestant qui le dévisageait étrangement. En trouvant la force de lever la main pour toucher sa gorge, il constata avec étonnement qu’il ne sentait aucune douleur et que sa plaie était totalement refermée. Au moment ou il voulu demander par quel miracle cela c’était produit, Un prêtre lui colla
une croix d’argent sur le cœur, provoquant une ignoble douleur au jeune
policier. Les doutes confirmant la superstition, un médecin prépara une
seringue de cyanure pour expédier John ans le grand sommeil. Voyant cela et subissant une grande poussé d’adrénaline, Jonathan brisa la menotte qui l’immobilisait à son lit et sorti en flèche de l’hôpital, ignorant la douleur. Il quitta Londres, hommes armées aux trousses et passa trois jours d’enfer à fuir ses poursuivants dans les bois. La réalité cruelle le sépara éternellement de ses grands idéaux, le monde était devenu noir et son élan de gloire venait de mourir avec une partie de lui.


Ayant tout perdu, ses croyances, ses espérances, son identité, son respect de soi et plus encore, Jonathan retourna chez lui dans le Northumberland pour y retrouver sa famille… Mais en sa demeure natale, il y trouva la lettre de conformation de décès de son père, mort à la guerre des Boers et la lettre de suicide de sa mère… Qu’il trouva aux pieds de son cadavre pendu dans le salon après les barreaux d’escalier. En fouillant la maison empoussiérée les larmes aux yeux, le jeune werewolf trouva une seconde lettre marquée du sceau du Scotland Yard, confirmant la mort en service de l’Agent Jonathan Garret Lestage. Dégouté par se mensonge et cette semi-vérité à la fois, Jonathan enterra la dépouille de sa mère le lendemain, lui fit une simple croix de bois en guise de pierre tombale et lui rendit ses derniers hommages avants de rassembler le peu de son héritage et il quitta l’Angleterre tête haute. Il embarqua dans un
navire d’émigré en direction des États-Unis d’Amérique. Il débarqua à New York mais se dépêcha vers l’État du Maine en premier lieu, lieux fortement boisé et solitaire pour y trouver sanctuaire. N’ayant aucun guide, aucune meute pour l’heure, il s’étudia intensivement et parvint à se reforger une identité semblable à sa première, mais en tenant compte de sa seconde-nature et des grande possibilités qu’il peut désormais accomplir avec. Ses sens exacerbés, sa force et endurance physique incroyable, son instinct encore plus vrai que vrai, son immortalité temporelle… Au bout de quelques décennies, il ne se vit pu comme un homme maudit, encore moins comme le monstre qui le transforma, mais
bien comme un être à part entière cohabitant avec les premières racines de toute choses, les racines animales de l’homme. C’est lors de la première guerre mondiale, en 1915, qu’il revint vers la société alors que la loi martiale était décrétée et la constitution le força à rejoindre l’armée. Pour une seconde fois en sa vie, il enfila l’uniforme et pris les armes. Entourer de ses compagnon, il trouva dans le cœur de la guerre contre l’empire allemand d’autres werewolfs parmi les autres soldats et fut sauvé et récupérer par ces dernier. La guerre forge les fraternités, et c’était d’autant plus vrai. Il fit les deux grandes guerres avec ses camarades marines werewolfs des plages ensanglantées de Normandie aux chaines de montagne de Bavière à la fin du second grand conflit. C’est ainsi qu’il fit parti de la meute, en se battant avec eux, pour eux et en ne craignant pas la mort.


Jonathan ne quitta jamais sa nouvelle famille, les suivirent de ville en ville à la grandeur de l’Amérique et réside maintenant dans cette ville solitaire ou sa meute a trouvée un territoire confortable et à bon goût. Il exerce en tant que détective privé depuis presque 20 ans aujourd’hui, et toute sa vie et son ancienne vie lui a donné tous les outils nécessaires pour devenir Bolverk. Titre dont il démontre silencieusement les mérites depuis presque aussi longtemps.


Aujourd’hui, Jonathan fait son travail tel qu’il doit être fait et se tiens parer à ce que demain réserve… Étant d’âge moyen, il sait qu’il est encore loin d’en avoir fini avec l’action et l’aventure.

Ça me semble plausible