Le jour de paye (Pv Evelyne/John. Sujet XXX, 18 ans et plus)

C'était une journée qui commence comme les autres... Hormis un détail, il a beaucoup neiger cette nuit. Et dire que le sol extérieur était encore vert hier, en se réveillant ce matin, un bon vingt centimètres de neige avait couvert le sol et de neige il continuait à chuter. Il faisait un froid de canard à l'intérieur de son appartement, heureusement qu'il avait fait ramoner son poêle à bois. n'ayant pas le chauffage, c'est au bon vieux poêle à bois que John se chauffait. Le feu craquant dans la cheminé et Einhengar, son fidèle chien-loup, se reposait lascivement devant.

Pour sa part, John se préparait lentement dans les rituels quotidiens. Aussitôt il se leva, il déjeuna vite fait et hop à la douche. L'eau chaude est rationnée dans un bloc, même si ont y vit seul, raison pourquoi John se lava à l'eau tiède. C'est utile avoir l'endurance animale et ne pas être aussi influencé par les éléments et la nature que l'humain normal. Un constitution aussi forte que celle d'un werewolf ne lui faisait aucunement craindre le froid, même frôlant les -30 ou - 40 degré. L'homme loups, sous l'eau coulante et dans sa plus pure nudité était si absorbé par son état de semi-sommeil (il a mal dormi cette nuit là), que lorsqu'il entendit la sonnette de sa porte d'appartement, il sorti vite-fait de la douche et s'avança vers la porte, piquant dans la cuisine sous els yeux de son chien confus et curieux... Et... Ce n'est en ouvrant la porte et sentant le mordant du vert d'hiver venir fouetter son corps humide à lui en faire dresser le poil de la tête au pied qu'il comprit. Venait-il de faire cela?... Mais oui, il venait de répondre à la porte totalement nu et sans aucune censure. Comme un idiot, il ne chercha pas sa se couvrir, mais il figea complètement...

- Euuuhh...

Que pouvait-il dire pour le rendre encor eplus idiot qu'il ne l'était déjà?

Par cette froide journée d'hiver, j'avais enfiler mon splendide manteau blanc cassé tout en replacant ma chevelure de sorte de les décoincé de mon manteau. J'avais prévu de rendre visite à Jonathan pour le remercié de l'aide qu'il m'avait donné pour retrouvé ma fille. Les choses c'étaient plus ou moins bien passé mais tout de même, il avait fait le sale boulot afin de la retrouvé pour moi. Je sortie donc dans ce froid pour me rendre à pied chez lui. Fredonnant un air que je connaissais bien je me mis à tournoyer sur place comme si je me retrouvais subitement à la place d'Anastasia lorsqu'elle s'apprête à prendre une direction pour se rendre à St-Petersbourg pour revivre son passé et découvrir ce qu'elle ait.

Seulement, je n'étais pas dans un film et je devais retrouvé Jonathan. Heureusement que j'avais encore sa carte, son adresse y figurait. Je pris donc le chemin second et me dirigea vers le bloc. Je me doutais bien qu'il n'était pas au travail à cette heure-ci alors j'ai pris l'initiative de fouillé le bloc jusqu'à ce que je trouve son appartement. Finalement, une porte sur la façade gauche du batiment, près du garage, me donne enfin ce que je recherche, ou presque. Je sonne puis j'attend lorsqu'enfin il m'ouvre sauf que je ne peux m'empêcher de resté sans voix pendant quelques secondes. Causé évidemment par la situation. Disons que ce n'est pas tous les jours que l'on se fait répondre de la sorte. Sourire de gène s'affiche sur mon visage tandis que j'hésite entre lui dire que je reviendrais plus tard ou d'entrée. Puis je laisse tombé la gène et je lui demande:

-Laisse moi entrée avant que tu gèle sur place et que tu deviennes un popsicle.

Puis une fois à l'intérieur, sans porté un regard dans sa direction, j'enlève mon manteau, mes gants, mes bottes et mon foulard tout en lui disant:

-Je voulais te remercier pour tout ce que tu as fait.

Je porte des jeans noir foncé avec un chandail de laine blanc cassé col en V qui moule très bien mon corps. Puis je commence à réchauffer mes mains tout en prenant place sur l'une des chaises.

À sa réponse, il na la fit aucunement patienter. Il se mit à la tâche rapidement et en un temps presque record, le thé était prêt. C'est comme ça qu'on remarque qui est anglais ou pas, à la façon de voir le thé presque comme un culte. Sa soigneuse préparation de ce chaud breuvage trahissait son apparence américaine et dévoilait ses origines. Certaines habitudes ne meurent tout simplement pas, même malgré le temps.

Une fois servie, ils burent tout eux en entamant la discussion...

- Je suis ravi de l'entendre. Je pourrai me porter mieux il faut dire, j'ai enchainer plusieurs contrats successifs ces temps-ci, ne me laissant que très peu de temps de repos et inutile de compter sur les semaines de fièvres pour cela non plus, inutile de dire pourquoi...

Effectivement, inutile de dire pourquoi, cela se lisait sans l'étincelle profonde qui animait les yeux de la belle fée. Ces yeux, il les voyait souvent et les connaissaient que trop bien. Elle s'approcha de lui en même temps que ce dernier posa sur la table sa tasse vide et elle vint s'asseoir en biais sur le coins de après l'avoir contournée. Elle évoqua le sujet de payement, une mention qui échappa à John...

- Payement hum?... Je dois admettre ne pas vous en avoir parlé à notre première rencontre. Comme c'est étrange, ce n'est pourtant pas un sujet que je néglige...

Tiens tiens, serai-ce un désir cacher qui s'anime lentement mais sûrement dans le regard de plus en plus ardent de la fée? Son approche, sa façon de s'approcher, d'imposer sa présence, il faut l'admettre, est des plus sexy. Les fées possèdent ce secret jalousement gardé pour attirer l'attention, il faut croire. Elle posa son pied sur la cuisse du werewolf, trahissant d'avantage cette mascarade qu'elle semble maintenir, mais sont ses yeux confirme son contre-gré. Tout cela fit sourire aussi largement que malicieusement John qui se fit plus las sur sa propre chaise.

- Mais puisque-vous avancer le sujet, Discutons-en... Oh et je vous en pris, approchez-vous d'avantage!

C'était plus uen exclamation qu'une proposition, malgré son ton mielleux et invitant. Il la pris par les hanches et la convia sans lui laisser la moindre possibilité de fuite à s'asseoir sur ses cuisses, ses puissants bras entourant le corps de la fée complètement. Ils sont maintenant deux à avoir le même éclat dans les yeux...

Humm... Tout ça est... Comment dire... Très appétissant! On peut vraiment dire qu'il avait droit à la table d'hôte royale directement dans sa salle à manger. Il n'en fallut pas gros pour que cette dernière mouille aussi vite, mais il faut dire qu'il lui avait fait un digne numéro d'accueil. Malheureusement... Ou heureusement, pour la belle fée, le werewolf qui la tenait dans ses pattes est d'un appétit des plus voraces et imposant sa domination...

Alors en le temps de le dire, Il la souleva et la coucha de force dos contre la large et épaisse table de bois, sur laquelle les festivités commencerons à n'en pas douter. Il bouillait en ses veines, et le puissant charme de cette délicieuse créatures ne modérait absolument pas son appétit. Elle avait tenté la bête, alors la bête elle aura. Elle lui avait chuchoté quelque chose juste avant qu'il de le plaque sur la table... Si c'était le prix pour son service...

- Je prendrai ça pour un payement, en effet...

Il retira ses doigts du sexe d'Evelyne pour la libérer en un rien de temps de son jeans et de son fin sous-vêtement de dentelle qu'il lança au sol sans retenue. Aussitôt cela fait, il commença à se défaire de son propre pantalon. Ce n'est que lorsqu'il était fesse et queue à l'air qu'elle lui demanda s'il avait prévu tout ça... Il profita de son moment de réponse pour mieux ajuster sa position entre les cuisses écarté par la force et saisir les poignets d'Evelyne pour lui empêcher toute résistance. Son regard de fauve savourant du regard son imminent repas, il prépara son ton grave mielleux pour sa réponse...

- Planifier... Non. Ont ne planifie pas une chasse, c'est toi qui...

Et lentement mais vigoureusement, il entra en elle jusqu'à son plus long et profond.

-... M'ouvre l'accès au poulailler...

Cette fois, puisqu'il savourait avec ivresse la fine fleur de la féminité de cette belle fée, son ton devins saccadé et extasiée. Il ne se fit pas prier pour commencer à aller et venir en elle avec une fougue et puissance. Ses hanches claquaient contre les fesses bien rondes et fermes d'Evy et résonnaient dans l'appartement en sa totalité. Il se redressa un peu sur les coudes pour que la poitrine de la fée se frotte chaleureusement contre son torse musclé... C'est confirmé, les fées sont des créatures sublimement délicieuses, et son souffle bestial et grognement plein d'appétit ne cessaient de le prouver!