Une rencontre, une carte d'affaire et le début d'une enquête [P.V: Jonathan]

Faëry, modératrice Messages : 264 Date d'inscription : 07/04/2010 Age : 38

À chaque Lundi, je débutais ma journée en remplaçant Tyl'Vanise la gérante de la boutique aux milles herbes jusqu"à midi. Cela me permettait d'être en contact avec mon peuple d'une autre façon moins formel que dans un bureau et aussi parce que cela me permettait d'être en contact avec l'extérieur. C'était vraiment l'une des seules journées de la semaine que je n'avais pas toujours un ou deux gardes du corps qui me suivais partout durant la journée. Oh, je vous vois déjà imaginé deux gars costaud vêtu de noir avec une cravate blanche sans oublié les éternelles lunettes fumés. Je vous rassure, ils ne sont pas toujours habillé comme ça et dans d'autre circonstance, surtout quand je l'exige, il garde un peu leur distance. C'est pas toujours la joie d'être surveillé de très très près.

Mais retournons à nos moutons. En somme, j'étais prête. Le miroir de mon hall d'entrée reflêtait mon image à la perfection. Aussi bien les qualités que les défauts. Après tout, ce n'était pas un miroir ensorcelé. Aujourd'hui je portais un chapeau beige avec un ruban rose qui tournait habilement autour, une robe blanche parsemé de fleurs multicolore sans bretelle découvrant légèrement le dos afin d'y laisser passé mes ailes pour ensuite s'arrêter en bas de mes genoux et finalement, des sandales à petit talons plat qui se mariait très bien avec le reste de la tenu. Bien sûr, mes cheveux étaient lousses et légèrement frisés afin de donné un peu de volumes. Je pris ensuite mes clés, ma paire de lunette fumée et mon sac à main pour ensuite me diriger vers la porte de ma demeure. Avant de sortir, j'activa mon glamour en un clin d'oeil puis je quitta mon manoir tout en barrant la porte.

J'aurais pu utilisé ma voiture mais j'étais d'humeur à me dégourdir les jambes. Avec entrain, un pas après l'autre, j'arrivais quinze minutes avant l'ouverture. Même si c'était une avant midi de congé pour Tyl, elle prenait toujours ce petit quinze minutes pour tout m'expliqué en détail les nouveautés. Et tandis qu'elle m'expliquait le tout, je lui souriais toujours d'un sourire protecteur. Après tout, cette boutique était son bijoux qu'elle polit sous toutes ses angles afin qu'il resplendisse. Puis je fini par la mettre dehors moi-même tandis qu'elle leva la tête dès le premier tintement de la cloche de la porte d'entrée, prête à accueillir la clientèle même durant sa journée de congé. Elle sourit bêtement et pouffa même de rire quand tandis que j'utilisais mes meilleurs répliques pour la convaincre d'aller profité de sa journée.

Une fois seule, je servis tout d'abord les premiers clients pour ensuite m'attaqué à la commande. La popularité de certaines herbes avaient fait en sorte que Tyl en avait commandé en double cette semaine. Je parle bien sûr de la lavande, basilic, sauge et saureau, les plus grands vendeurs grâce à leur propriété anti-stress, relaxante, antioxydant et pour contré l'insomnie. J'étais occupé derrière le comptoir à compter les quantités tout en vérifiant sur la facture que c'était bien la bonne quantité quand le tintement de la cloche m'indiqua que j'avais maintenant un client. Je leva les yeux de ma facture pour voir qui était entrée lorsque je senti toute suite que ce n'était pas un humain comme les autres. Pour être plus précis, il s'agit d'un werewolf. En tant normal, je vous dirais que mon coeur a fait un triple tour et que soudainement, je serais devenu nerveuse. Mais aujourd'hui, je sais très bien que je me trouve dans la boutique qui a justement, une protection contre ce genre d'évènement. Et puis, un client est un client, je me dois de le servir peut importe ce qu'il est. Je pourrais même croisé un vampire dans cette boutique que rien n'arriverait. Ma plume déposé, je pris les devant et alla à sa rencontre. Je pris parole en lui demandant:

-Est ce que je peux vous aidé? Que cherchez vous à apaiser?

Tout en joignant mes mains derrière mon dos, affichant un merveilleux sourire, j'attendis la réponse de ce client.

Et une autre semaine qui recommence. L'épicerie était faite, le nettoyeur avait également été rayé de la liste. Il ne restait qu'une chose à faire, et cette chose ne peux pas être faite le dimanche car c'est fermer... Le métier de détective privé est un métier dangereux, stressant et fatiguant. Des moyens extérieurs sont souvent de mise, mais la drogue n'est non seulement pas une option saine, mais en plus John avait aidé a trop de reprise la police locale à expédier de virulents revendeur de drogue et baron du cartel pour s'y faire des ennemis. Être werewolf signifie être maitre de soi pour vivre quotidiennement, alors lutter contre le stress et la fatigue des heures supplémentaires est priomrdial. Heureusement qu'il y a cette charmante petite boutique à moins de dix minutes à pied de chez lui, plus près du centre-ville. Les herbes médicinales vendues font des miracles, d'autant qu'elle font d'excellent compliment pour le thé de quatre heure. Les herbes les plus en demandes sont très utiles pour quelqu'un à l'horaire aussi chargé et ayant en permanence besoin d'une vigilance constante, comme lui. Il doit ouvrir d'un instant à l'autre, alors pourquoi ne pas sauter sur l'occasion.

Se regardant pour la dernière fois dans son miroir de salle de bain encore légèrement embuée, John vérifia que sa barde de trois jours était belle et bien totalement taillée à la perfection, ses cheveux fraichement lavés, peignés et soignées, son col de chemise blanche qu'il acheva de tourner et plier en un angle fin. Il pouvait se l'admettre, il était bien chic malgré une légère touche d'humilité, de quoi prouver qu'il est loin d'avoir la grosse tête. Bien, il était près a sortir, Flattant ses deux vaillant chiens-loups et hop, il était en route.

Le magasin était pile à l'endroit ou il l'avait laissé la dernière fois... Comme s'il pouvait se lever pour déguerpir par lui même. Il était ouvert et déjà quelques clients y était présent. La même atmosphère de calme baignait la sale, atmosphère que John mettrai sa main au feu d'être d'origine autre que naturelle... Mais il y avait un parfum différent dans l'air cette fois, étrange et plus envoutant que d'habitude. John n'y pris pas grand intérêt au début, trop occuper a silonner les rangées à la recherche des dites herbes... Mais poser la question était inutile car la réponse vint d'elle même. Pile au moment ou il trouva enfin ce qu'il cherchait, une superbe femme habillé de vives couleurs et avec élégance vint lui adresser la parole. La dite aura émanait d'elle, mais couvait tant de mystère qu'elle en était indéchiffrable, mais d'un calme hypnotisant. l'animal en John en était sommeillant, laissant à l'homme tout le loisir d'interagir. Il se tourna face à la belle dame avec un sourire charmant.

- Vous tombez à pique, je venais justement de trouver ce que je cherchais. Il est mauvais pour un homme dans ma condition d'être soumis au stress trop intense et mon métier me fait courir dans toute la ville jour et nuit durant, je dois donc me tenir enjoue contre la fatigue... Mais dites-moi, remplacez vous Tyl'Vanise, la gérante de cette boutique. Je la vois toutes les semaines et je constate qu'elle n'est pas ici aujourd'hui...

Faëry, modératrice Messages : 264 Date d'inscription : 07/04/2010 Age : 38

*On dirait bien qu'il a trouvé ce qu'il cherchait sans ton aide, ma chère* pensais-je au moment même où il prit parole. Toujours en souriant d'un sourire chaleureux, je buvais ses paroles. Étrange quand on y pense, j'étais à l'aise pour la première fois en présence d'un werewolf et pour tout vous dire, je ne crois pas que les sorts y étaient pour quelque chose. Ce werewolf avait quelque chose de différent. En faite, c'est un peu rassurant. Toute fois, je n'arrive pas à cerner de quoi il s'agit exactement. Pour une première impression, C'était plutôt bien réussi. Distraite, étais-je réellement distraite? Peut-être bien mais ce n'était vraiment pas le moment. Et puis, il attendait une réponse à sa question, je lui devais bien cela:

-Et bien, nous sommes Lundi et c'est sa journée de congé aujourd'hui. Je la remplace ce matin. Pour le stress, il y a aussi des infusions de Basilic ou de Lavande qui pourrait très bien vous aidez. Un puissant relaxant, je vous le garantie. Par contre, j'en ai pas sur les étagères mais j'en ai reçu ce matin. Si vous voulez l'essayer, je peux vous laissez un échantillons gratuit.

Remarquant qu'il y avait une fil d'attente qui se formait, je lui fis signe d'attendre Je me faufila entre quelques clients pour me rendre à mon comptoir et les faire payer. Puis, j'en profita pour prendre un échantillon et revenir le rejoindre à nouveau.

-Voilà, vous m'en donnerez des nouvelles. Mais, je suis curieuse de savoir qui vous êtes. Votre aura me semble familière, pourtant je suis certaine de ne pas vous avoir croisé auparavant.Quant à moi, je suis Evelyne Orfrayes.

Je tendis la main en signe de respect et de politesse. Je me doutais bien que mon nom allait lui dire quelque chose. Je mettrais ma main au feu que toutes les sociétés dite surnaturelle me connaissent. Si vous pensez que je me donne des airs hautains à cause de cela, détrompez-vous. Cela à ses inconvénients et ses avantages. Mais pour le moment ce qui m'intriguait le plus était de connaitre l'identité de ce client intriguant. Oh, je pourrais très bien utilisé mes pouvoirs et le découvrir moi-même. Mais, je préférais avoir recour à des méthodes disons plus civilisé. Puis, contre toute attente, je pris l'une de ses mains et l'amena vers le fond du magasin. Une table en bois d'ébène avec des motifs de branches et de fleurs incrusté s'y trouvait avec deux chaises. Je lui fis signe de prendre place sur l'une des chaises libre tandis que je prenais place sur la chaise oposé.

-Tant qu'a être debout et parler des heures, aussi bien prendre place à cette table.

Puis, j'attendis la suite avec patience tandis que la boutique n'avait aucun client pour le moment mise à part nous deux, assis à cette table.

Ainsi Tyl'Vanise ne travaille plus le lundi. C'est dommage dans un sens, sa compagnie étant très agréable malgré le bref moment qui séparait son entrée dans le magasin et sa sortir les semaines précédentes. Mais au moins, elle laissa en remplacement une autre femme tout aussi charmante et accueillante. Cette autre femme possédait ce même magnétisme mystique, voire plus puissant même. c'est étrange, ces femmes ne sont pas dans le moyenne humaine, cela est évident... Et tout ce mystère tomba dès qu'elle lui dit son nom.

La réputé Evelyne Orfrayes, la plus ancienne et influente fée de la ville, répondant presque au titre de matriarche. Alors là, John eut de la difficulté a ne pas montrer son étonnement. Il ne la connaissait que de réputation jusqu'à maintenant, et il ne pouvait plus rien douter maintenant. Être détective privé lui procure de sérieux avantage sur ce qui n'est pas connu à la lumière du jour, que se soit du monde des humains ou des phénomènes de la nuit. Cela explique aussi pourquoi elle fit mention de son aura, elle savait très sûrement qu'il était werewolf et voulait sûrement s'assurer qu'il ne représentait pas une menace pour elle. Si c'est ce qu'elle souhaite savoir, alors d'autant lui donner satisfaction.

- Enchanté, madame d'Orfrayes. Je suis Jonathan Lestage, détective privé à votre service.

Et il fit un léger truc digne de magicien de cabaret. En tendant la main à Evelyne, il cacha discrètement une carte d'affaire ans sa baume sans se faire ni voir ne douter. ainsi en lui prenant la main avec courtoisie pour lui embrasser les doigts à la façon d'antan, il lui glissa le morceau de papier dans la main de la fée, ni vu mais bien toucher. En la relâchant, elle était désormais la dernière à tenir la carte entre ses doigts. Jonathan n'était pas dupe non plus. Sa réputation de détective et de Bolverk de la meut locale avait fait beaucoup de bouche à oreille chuchoté depuis les dernières années. Il serai illogique que quelqu'un d'aussi bien placé qu'Evelyne d'Orfrayes n'ai jamais entendu parlé de lui, un temps soit peu...

Elle m'invita à la rejoindre sur une superbe table fruit d'un artisanat raffiné. Les fées aiment bien le raffinement, enfin, comme le veux les ouïe dires, aucune preuve apparente... Au moins que cette table en soit une flagrante. Il n'y avait plus un seul client à l'intérieur pour l'heure, c'était le bon moment pour une telle invitation. Mais que lui veut-elle exactement, là reste la question. Il s'assit avec courtoisie à la place que Evelyne lui désigna et s'y fit confortable.

- De quoi voudriez-vous que l'on discute, alors?

Faëry, modératrice Messages : 264 Date d'inscription : 07/04/2010 Age : 38

Ce qu'il était bien important à noter ici, dans le moment, c'est que ce Werewolf avait du charme. Sa façon de se présenter, ok peut-être que c'était pour vendre ses services sauf que je me doutais bien que cela fesait partie de son caractère. Et qu'il n'était pas du genre à sortir ses atouts uniquement pour son travail. Mes jambes se croisèrent sous la table tandis que je regardais brièvement la carte d'affaire. Effectivement, je ne l'avais jamais croisé sauf que son nom était renommé puisqu'il était un détective privé et que plusieurs fées m'ont raconté ses divers exploit. Et voilà que je me retrouvais assise devant lui, avec sa carte d'affaire entre mes mains. Un petit sourire narquois s'affichait légèrement sur mes lèvres puis un voile de désespoir s'afficha dans mon regard pendant quelques secondes avant que je me resaississe. Devais-je le faire? Devais-je réellement prendre cette opportunité? Retrouvé ma fille à toujours été l'un de mes plus profonds désirs. Devais-je allé contre les lois de ma société en tentant d'avoir simplement une soirée avec elle?

Après tout, une mère restera toujours une mère. Et en tant que mère, je m'inquiète énormément pour elle. Ce n'est qu'une réaction totalement normale et justifiable. ma décision fut prise en un instant. Je devais lui dire avant que mes remords prennent le dessus et que je change d'avis. Au même moment où il me demandait de quoi nous allions parlé, je lui dis:

-Sans paraître trop hâtive, je crois que j'aurais besoin de vos services. Voyez-vous, dans l'ordre des choses chez les Faërys, nous portons un enfant et à sa naissance, il nous est arracher pour être donné dans une famille d'adoption. Cette famille peut être humain ou bien, un clan de Faërys éloignée. En aucun cas la mère à le droit de contacte avec son enfant durant toute son existence. Cela semble cruelle mais c'est nos lois et c'est une vieille coutume qui est difficile à changer. Toute fois, je souhaite la retrouvé, peu importe le prix. Dite moi votre prix et je vous payerais. Mais, je n'ai qu'une seule condition, si vous acceptez bien sûr. Que cette rencontre se fasse dans la discretion et que cela ne se sache pas. Je risque mon rôle de dirigeante mais peu importe, en autant que je sache qu'elle va bien et qu'elle est heureuse, c'est tout ce qui compte pour moi.

Puis je me rendis compte que je m'étais légèrement rapproché jusqu'au milieu de la table durant mon monologue. Je me recula pour reprendre appuie sur le dossier de la chaise lorsque un léger tintement me rappela que j'étais loin d'être en pause. Je servis les deux clients puis je revins m'asseoir. Cela lui avait laisser le temps d'y réfléchir. Du moins, j'espèrais avoir une réponse positive.

-Alors, vous en pensez quoi?

Elle dit ne pas vouloir être hâtive, mais ironiquement, elle se précipita à lui faire une proposition de contrat. Elle doit sois être vraiment déterminée, soit elle a en face d'elle une opportunité à ne pas laisser filer entre les doigts. D'autres facteur gestuel étaient apparent, le plus évident était le fait qu'elle s'avançait vers lui presque au point de grimper sur la table. Malgré que cela mettait la généreuse poitrine de la fée en valeur vu son nouvel angle, John resta concentré sur le regard de cette dernière, gardant ses idées peu catholiques pour plus tard. Il écouta avec attention les dires de cette jolie fée, car elle en avait beaucoup à dire...

Décidément, la société des fées est très contradictoire face à celle des loups-garous. Pour une société très soudée et communautaire qu'est la sienne, l'idée d'abandonner un de leur, surtout en si bas âge, est monstrueuse. Sur le même principe, le rejet et l'exile sont les pires châtiment que l'on puisse infliger à un werewolf, pire que la mort. Ces racines le poussait à aider cette pauvre mère en détresse, mais prudence est aussi mère de sagesse. Bien sur que cela allait rester dans la plus grande discrétion, il doit maintenir sa réputation et le secret professionnel qui viens avec après tout. Et pire, si ça venait à s'ébruiter, les relation entre la meute locale et les fées des environs s'envenimera et rendu là, son titre de Bolverk sera le dernier de ses soucis... C'est donc une affaire très délicate, mais ça lui plaisait. Ont a rien sans rien, rien pour aucun défi. Ça tombe bien, la voilà qui reviens de servir ses nouveaux clients. Alors John décida de ne pas la faire attendre pour ce qui est de la réponse.

- J'accepte le contrat, madame d'Orfrayes. Je m'y met dés cet avant-midi, mais avant, je dois vous interroger vous puisqu'il s'agit de votre fille. Lu avez-vous donner un nom, avec vous récupérer un objet que vous lui aviez à la naissance, une couverture, un ourson de peluche ou une poupée... N'importe quel indice que vous me donnerez accélèrera l'enquête.

Même si les probabilités son mince, il faut le demander. Le flair d'un Werewolf est si fin qu'il peut sentir la moindre odeur relié à une personne même après des années. Retracer l'odeur signifie pouvoir traquer la dite personnes sur des distances pouvant aller sur des kilomètres...

Faëry, modératrice Messages : 264 Date d'inscription : 07/04/2010 Age : 38

J'étudiais les gestes de celui que j'allais engagé pour retrouvé ma fille. Il semblait réfléchir à ma proposition. Sa tombe bien, car il n'y avait que des bénéfices pour chacun d'eux. J'avais ainsi la chance de voir ma fille et lui empochait une belle somme d'argent. Alors lorsqu'il prit parole pour me dire qu'il acceptait en faisant son petit discours, j'étais soulagée et heureuse. Cela ne m'aurait même pas étonné que des larmes de joie m'auraient monté aux yeux. Je répondis ensuite en lui disant:

-Merci beaucoup. Sincèrement, vous ne pouvez pas savoir comment cette demande vaut cher à mes yeux. Pour ce qui est de vos demandes, je l'ai appelé Maëve et j'ai insisté pour qu'elle garde le même nom dans la famille qui allait l'adopté. C'était ainsi, un moyen pour moi de la retrouvé plus tard. Pour ce qui est d'un objet qui lui appartenait. j'ai en ma possession, une pierre que l'enfant fée reçoit à sa naissance.

Je lui fit encore signe d'une petite minute pour ensuite me rendre derrière le comptoir, fouillé dans mon sac à main et en sortir un bout de tissus. Cette fois-ci, je ne repris pas place sur ma chaise mais je me rapprocha de lui et j'ouvris le bout du tissus qui laissa entrevoir un bracelet et des boucles d'oreilles dont la pierre de naissance était l'attrait principale. Il y avait aussi la pierre original non modifié, mais j'étais heureuse de pouvoir enfin le montrer à quelqu'un. Puis elle tendit la pierre original et lui dit:

-Voilà, j'espère que cela vous sera d'une quelconque utilité, c'est malheureusement, tout ce que j'ai.

Puis, elle attendit qu'il prenne la pierre avant de fermer le tissus sur les boucles d'oreilles et le bracelet.

Spoiler:

[HJ: c'est mon topic de fermeture. Tu peux soit répondre pour le cloturer de ton côté vu qu'on est en train de faire la réunion de famille ^^ ]